All Chapters of Je suis un milliardaire : Chapter 281 - Chapter 290

« Mon Dieu, pourquoi suis-je devenu un malfaiteur de la ville de Savoy ? » Charley se demandait avec stupéfaction. « Oui, j'ai entendu son nom, mais les autres disent toujours qu'il est gentil. » Il a répondu avec un air embarrassé. « Monsieur Marchand est-il gentil ? Charley, tu ne connais rien des affaires commerciales, auparavant, il a fait des investissements d'une manière féroce dans beaucoup de grandes compagnies de Savoy, en effet, il a jeté des troubles dans la ville. Les entreprises ayant reçu des investissements se sont épanouies, et cela a cassé la balance de la ville, alors, les PMEs comme ma compagnie ont fait face à des défis dangereux, beaucoup de monde le déteste. » Marguerite a dit. À ce moment-là, il a touché son nez et a posé sa fourchette sur la serviette. En effet, il connaissait bien qu'il avait fait des investissements d'une manière féroce à Savoy, auparavant, Lily l'avait envoyé pour faire des investissements dans des institutions telles que les

À vrai dire, c'était à cause de lui que sa compagnie avait été presque ruinée et qu'elle subissait tout cela. À la vue que Margueritte avait été presque violée, Charley se sentait vraiment désolé, et s'est mis en colère tout d'un coup. « Zut ! Marguerite, est-il ton amant ? Pourquoi ose-t-il me battre ? Mec, je vais te donner des leçons tout de suite ! » Bien que le sang coulait sur son visage, Roland a hurlé avec irritation. Mais Charley n'avait pas du tout peur de lui, et s'est rué sur lui avec la chaise. Ayant passé toute son enfance dans son pays-natal, il avait mené une vie très pénible auparavant. Bien qu'il ait été pauvre, frileux et timide, il avait toujours la force. À cet instant, quand il était irrité, bien que Roland soit grand et gros, il n'osait pas du tout résister, et a reçu des coups. À la fin, Roland a hurlé avec douleur et s'est enfui avec peur. « Marguerite, ça va ? » Ensuite, Charley a posé la chaise par terre et a demandé avec inquiétude. M

Il y avait beaucoup de monde, et Charley regardait toutes les marques avec hésitation. En effet, il ne voulait qu'acheter un portable solide. À la fin, il a fixé ses yeux sur un portable de bonne qualité, dont le prix était 1 8888 euros, c'était un portable cher. « Madame, je voudrais voir ce genre de portable, merci. » Charley a dit à une vendeuse avec politesse. En fait, elle avait déjà constaté qu’il était toujours là, selon ses vêtements, elle pensait qu'il était en train de chercher un portable bon marché. « Ce jeune homme est trop vaniteux. Il veut certainement voir les grandes marques, et feindre de ne pas aimer ces portables, à la fin, il achète un portable à deux ou trois cents euros et s'enfuit. » La vendeuse pensait, en effet, beaucoup de monde était comme cela. Alors, en voyant que Charley en vêtements médiocres, s'est avancé vers elle, elle avait un air méprisant. Ayant entendu qu’il voulait voir le portable le plus cher, elle a répondu d'un ton enn

« Mon Dieu, Sylvie, qu'est-ce que tu as dit ? Ce portable coûte-il 18 888 euros ? C'est trop cher ! C'est comme un pillage ! » Au même moment dans un autre magasin de portables, André a poussé un cri avec stupéfaction. À ce moment-là, Lavande et Hélène étaient aussi stupéfaites, mais en effet, elles avaient vérifié le modèle et les fonctionnalités de ce portable, et elles le trouvaient extraordinaire. Surtout le pixel du portable était très clair, pour les jeunes femmes aimant prendre des photos comme elles, elles étaient fascinées par ce portable. Alors, elles regardaient toutes les deux André avec des yeux étincelants et voulaient qu'il puisse leurs en acheter deux. Mais ce dernier était paniqué : « Non, c'est trop cher. Un portable coûte plus de dix mille euros, deux portables coûtent presque quarante mille euros, c'est trop cher ! » André a essuyé son front, en effet, sa famille allait recevoir des investissements, mais à ce moment-là, il n'a pas encore touché de l'

« Mon Dieu ! » « Probablement, Charley a-t-il gagné de l'argent au loto ? » « Alors, combien d'argent a-t-il maintenant ? » Évidemment, Hélène et Lavande faisaient toutes les deux une extrême attention à cela, et elles voulaient fortement le savoir tout de suite. « Je peux accepter qu'il soit un voleur ou qu'il ait fait des saccages, mais il ne peut pas gagner au loto ! Sinon, je me sens très mal à l'aise. » Hélène pensait. « Pardon, j'ai d'autres choses à faire, au revoir. » En effet, Charley ne voulait pas répondre à cette question, car il ne voulait pas du tout dévoiler la vérité devant ces personnes vaniteuses. À ce moment-là, il a fait un demi-tour avec un air indifférent, et a quitté le magasin devant leurs regards stupéfaits. Ensuite, une fois sorti, il a sorti son portable et a téléphoné tout de suite à Pascal pour lui prévenir de la situation, puis, il lui a aussi demandé d'y venir, car il avait besoin de son aide. Ayant entendu cela, Pascal était s