All Chapters of Le Premier Héritier: Chapter 401 - Chapter 410

Les deux personnes étaient vraiment arrogantes. C'était incroyable que des gens comme ça puissent vivre dans la Cour de la Cité du Dragon.Cependant, aucun d'entre eux n'ose montrer leur colère. Après tout, c'est la Cour de la Cité du Dragon et quand quelque chose se passait, c'est la famille Long qui le prenait en main.Ils n'étaient que des épiciers et ne pouvaient pas l’emporter sur eux.Cependant, cela ne les dérangeait pas que Gisèle se dispute avec l'homme. C'était mieux d'avoir des problèmes et ensuite ils s'asseyaient et regardaient le spectacle.Gilles n'était pas stupide et s'est avancé pour tirer sur la manche de Gisèle en murmurant : « Bien, Gisèle, arrête. C'est la Cour de la Cité du Dragon. Si nous offensons quelqu'un, nous ne pourrons pas partir. »La famille Long était la plus grande famille de la ville Haute-Rivière.Personne n'osait s'y frotter.Gisèle était tellement en colère qu'elle ne l'a pas écouté. Elle s'est retournée et a furieusement giflé Gilles en jurant :

Lorsque Mistral a vu autant de gardes de sécurité de la famille Long se précipiter, il a dit avec un sourire sinistre: « Stupide, tu es fini ! Si tu oses causer des problèmes ici, attends de retourner dans le ventre de ta mère. »Cependant, avant qu'il n'ait pu terminer ses mots, sa voix s'est brusquement arrêtée !En effet, tous ces gardes de sécurité de la famille Long qui s'étaient précipités ici se tenaient maintenant derrière Pascal de manière ordonnée, s’inclinant respectueusement et criant : « M. Chen. »M. Chen ? !Mistral était abasourdi !Qu'est-ce que c'est ça ?Même lui, il n'était pas si puissant pour que tant de gardes de sécurité de la famille Long l’appellent Jeune maître Cui.Ce type pauvre était-il vraiment un personnage ?Gisèle et les autres étaient aussi abasourdis !Ce raté, quel genre de M. Chen est-il ?Tous les gardes de sécurité de la famille Long sont-ils aveugles ?« Pas mal. Ils sont venus assez rapidement. Je ne veux plus revoir ces deux personnes, jetez-l

« Belle-sœur Gilberte, qu'est-ce qui se passe ici ? Ce raté de Pascal peut se permettre une villa comme celle-ci ? Deux cents millions d’euros! »Joanne a tiré Gilberte sur le côté, le visage plein de jalousie et de mécontentement.Elle était très contrariée. Ils étaient tous de la famille Jiang, pourquoi la famille de Gisèle pourrait-elle s'offrir une telle villa ?Gilberte était également morose. Tout le monde s’est mis d’accord qu'il était ici pour se moquer de cette mauviette de Pascal. Maintenant tout le monde était confus dans ce cas-là.« Je ne sais pas non plus. Le gendre de la belle-sœur Gisèle a toujours été une mauviette, où a-t-il trouvé autant d'argent ? »Gilberte a dit d’un air perplexe et se sentait très mal à l'aise en regardant Pascal qui se tenait avec Valérie.« Tu n'as pas vu tout à l'heure que les gardes de sécurité à l'entrée étaient tous respectueux envers Pascal ? Ce type ne peut pas être un riche de deuxième génération caché, n'est-ce pas ? »Jammes est interv

« Valérie, qu'est-ce qui se passe ? Quand as-tu acheté la villa et pourquoi ne l'as-tu pas dit à maman ? Et pourquoi Pascal est-il aussi le propriétaire ? »Gisèle a demandé d'une manière très perplexe.Pascal s'est levé et a essayé de répondre, mais il a été directement renvoyé par Gisèle qui l'a grondé : « Tais-toi, ça ne te regarde pas. Je demande à ma fille. »Gisèle était maintenant contrariée, qu'est-ce qui a fait que ce raté soit aussi le propriétaire de cette villa !Le visage de Valérie était malheureux, surtout quand elle a vu que Gisèle réprimandait Pascal. Ne pouvait-elle pas voir que cette villa a été achetée par Pascal ?« Maman, cette villa est en fait ... »Valérie était sur le point de répondre quand Fanny a intervenu : « Je vois. Est-ce que vous avez pris le milliard d’euros investi par le Groupe Chen de la capitale pour acheter cette villa ? »Tout à coup, la foule a ressenti la même chose et était envieuse tout en méprisant Valérie dans leur cœur.Depuis combien de

Peu de temps après que Pascal a quitté le Palais Unique, son téléphone portable a sonné. C'était Sylvie qui appelait : « Pascal, c'est mon anniversaire ce soir. N'oublie pas de venir me tenir compagnie. »À ces mots, Pascal s’est figé. Il l'avait promis : « D’accord, je viendrai plus tard. »« Bien, je passe te prendre ce soir ? »Sylvie a demandé avec un petit plaisir.« Pas besoin. » Pascal a secoué la tête.Jusqu’à ce jour-là, il n’a pas réussi à se débarrasser de Sylvie. Si elle venait le chercher avec sa voiture de luxe, il avait bien peur qu’il soit encore plus difficile de s’expliquer !Il ne voulait pas être vu par certaines personnes qui faisaient courir ensuite des rumeurs.« Dis-moi l'adresse, je viendrai en taxi plus tard. »« Très bien. Quand tu arriveras, tu pourras juste signaler mon nom. » Sylvie a hoché la tête et a dit, un peu déçue.Après avoir raccroché le téléphone, Pascal a réfléchi et n'a rien dit à Valérie.Il ne voulait pas que Valérie ait un malentendu. De plu