All Chapters of Dieu de la Guerre Sans Souci: Chapter 111 - Chapter 120

Raphal a levé ses yeux en disant avec dédain : « Premièrement, on est dans un hôtel, pas chez toi. Deuxièmement, je suis ici pour voir ma mère, pas toi. Donc tu n’as pas le droit de me mettre dehors, compris ? »Il a claqué ses mains et un homme étranger en tenue de cuisinier s'est immédiatement approché.Raphal a continué : « Je suis différent de vous, les pauvres. Vous ne savez qu'engager des cuisiniers indignes pour cuisiner des merdes que même les cochons ne mangent pas afin de dégoûter maman. Mais moi, au contraire, j'ai trouvé Monsieur Robert, un grand chef mondial extraordinaire, qui a un talent particulier en matière de la cuisine et a fait la couverture de magazines gastronomiques mondiaux. Alors, Jérémy, parmi les cuisiniers que tu as engagés, qui a atteint un tel niveau ? »Jérémy ne savait pas quoi répondre. Bien que les cuisiniers qu'il avait engagés soient tous les meilleurs de la ville, mais ils ne pouvaient quand même pas être comparés aux meilleurs chefs du monde co

Deux grandes tables ont été libérées, l'une couverte de plats de Robert et sur l'autre table, a été posé le pot d’Alex. Robert a enlevé tous les couvercles sur les assiettes, révélant les plats parfumés et colorés, ce qui a fait déglutir les gens. Non seulement les couleurs des plats étaient belles et les arômes étaient alléchants, mais la sculpture exquise était également à couper le souffle. C’étaient des plats parfaits. Contrairement aux plats de Robert, le pot d’Alex était laid et rustique. Les plats de Robert étaient comme une princesse noble et le pot d’Alex était comme une pauvre villageoise, il y avait une grande différence entre les deux. Raphal a dit d'un ton sarcastique : « Tu t’es amusé pendant une demi-journée, finalement tu as préparé une merde comme ça ? Regarde les plats de M. Robert. Chacun d'entre eux peut être décrit comme une œuvre d'art. Alors, tu sais maintenant quelle est la différence entre toi et lui, non ? » Alex a dit d’une façon ni arrogante ni servi

Raphal a jeté un coup d'œil à Léo et a dit en souriant : « Qui êtes-vous ? Comment osez-vous me parler comme ça ? » Léo s'est dirigé vers Raphal.Susanne a essayé anxieusement de retenir Léo, mais elle a été maintenue par Céline.Céline avait vu la puissance de Léo. À l'époque, Léo a vaincu seul une vingtaine d'hommes du Dragon Chauve, en l'espace de trente secondes.Les cinq ou six gardes du corps ne pouvaient pas vaincre Léo.En voyant Léo s'approcher, un garde du corps musclé, qui mesurait près de 1,9 mètres, s'est approché de lui et a tendu la main pour lui attraper le col.Mais Léo a levé sa main et a attrapé le poignet du garde du corps avec une prise ferme, des bruits des os qui se brisaient se sont faits entendre !« Ah ! »Le garde du corps musclé a crié misérablement et s'est écroulé sur le sol en souffrant.Voyant cela, les autres gardes du corps se sont jetés sur Léo qui les a faits tous tomber par terre avec de l'écume à la bouche.En l'espace de quatre ou cinq secondes,

Céline a jeté un coup d'œil en arrière et a constaté qu'une camionnette argentée et blanche les suivait furtivement de près.Avant qu'elle ne puisse réagir, Léo a soudainement appuyé sur les freins et la voiture s'est arrêtée.« Qu'est-ce qui s'est passé ? »Ceci dit, Céline a vu deux autres camionnettes blanches apparaître devant leur voiture. La route a été bloquée par ces trois camionnettes.Puis un groupe de personnes est sorti des camionnettes.On pouvait voir que chacun d'entre eux tenait dans ses mains des poignards, des machettes, des barres de fer, etc.En tant que femme, Céline a instinctivement eu peur surtout dans une obscurité totale comme ça. Même avec Léo à ses côtés, elle n'a pas pu s'empêcher de trembler.Même si Léo était puissant, il était à mains nues. Pouvait-il battre autant de voyous tenant des armes ?Céline a demandé avec crainte : « Qui sont-ils ? Ce sont les hommes de Raphal ? »« Non. »Léo lui a dit calmement : « Baisse la tête, verrouille la portière de la

Benjamin s’est forcé à se relever, mais un autre voyou lui a donné un coup dans l'estomac. Il s'est couvert le ventre et a toussé sèchement au bord de la route.Les autres voyous se sont jetés sur lui et Benjamin a fait un signe de la main : « Arrêtez, arrêtez-vous un instant. »Il a dit à mi-voix : « Doucement ! Ne le prenez pas au sérieux. »L'un des voyous a pris un bâton en le frappant à la jambe, ce qui lui a presque brisé les os et l’a fait s'allonger sur le sol en hurlant.« Putain, est-ce que tu as entendu ce que je t’ai dit ? »Les voyous ne se sont pas souciés de ce qu’a dit Benjamin, ils ont continué à lui donner des coups de poing et des coups de pied .Benjamin était abasourdi en endurant une douleur atroce.Qu'est-ce qui ne va pas ?Comment cela est devenu un vrai combat ?Un peu plus tard, la foule s'est séparée et Léo s'est avancé en toussant doucement : « Réalisateur Benjamin, n'allais-tu pas combattre dix personnes en même temps et protéger Céline ? Pourquoi es-tu a