Tous les chapitres de : Chapitre 951 - Chapitre 960

Omar a été emmené dans la villa.Dans une pièce, une vieille dame était sur l’écran de l’ordinateur, elle coiffait son chien en s’essayant sur un fauteuil.La femme est entrée dans la pièce par la porte, une autre femme se tenait à côté de l’ordinateur, cette femme était Miyuki.La femme s’est respectueusement dirigée près de l’écran de l’ordinateur et a dit : « Madame, on a emmené monsieur Omar Mathias. Une fille nous a suivis, et il semble qu’elle n’est pas d’une famille simple. »Le mouvement de la vielle dame s’est figée, elle a levé la tête et a demandé : « Quelle est son identité ? »La femme a répondu en secouant la tête : « Je ne le sais pas encore, je sais qu’elle est dans la même classe que monsieur Omar Mathias. »Miyuki a immédiatement froncé les sourcils, elle a dit : « Elle est de la famille Brunerie, elle est la fille d’Albert Brunerie, pourquoi est-elle ici ? »La femme s’est figée, elle a dit : « Je … Je ne connais pas son identité, et elle a insisté d’y venir avec mon

Isabelle a serré son sac, elle a demandé en fixant sur Gabin un regard perçant : « Savez-vous que Miyuki travaille comme agente d’information pour votre mère ? »« Oui. »« Du coup, comment pouvez-vous laisser les enfants en danger ? »Après un moment de silence, Gabin a dit en levant la tête pour la regarder : « Madame Brunerie, je ne suis pas capable de tout contrôler. Au début, j’avais des doutes sur le rôle de Miyuki mais je n’étais pas sûr. J’ai planifié l’incident à l’occasion de Noël, c’est alors que j’ai appris qu’elle travaille comme agente d’information pour ma mère. »« J’avoue que je me suis servi d’Albert en l’impliquant dans cette affaire, mais je ne m’attendais pas à ce qu’ils emmènent les enfants dans la région Oisie aujourd’hui. »Il n’était pas un prophète, il ne pouvait pas tout prévoir, il ne pouvait que faire de son mieux pour protéger les enfants, et il n’avait pas prévu leur plan d’emmener Omar dans la région Oisie ce jour-là. Il a envoyé des gens pour surveiller

Il a arrêté les pas.Il s’est tourné vers elle et a demandé : « De quoi parlez-vous ? »Isabelle a bu l’alcool dans la coupe et a dit en levant les yeux pour le regarder : « Mon fils a eu un accident à l’école, votre voiture était alors à l’école, du coup, j’ai mené des enquêtes sur vous. »Chambois restait impassible, mais son visage s’est rembruni.Isabelle a remarqué le changement de son expression. Elle a compris qu’il n’était pas au courant de cet accident, mais il savait bien qui avait le droit de conduire sa voiture.Isabelle a posé la coupe sur la table, s’est levée et a dit : « Nous étions dans la même classe au lycée, et nous voilà ici. Je voudrais parler avec vous, sincèrement. »Chambois a ri et a dit : « Si la conversation ne se termine pas bien ? »Il était clair que son visage doux était seulement un masque.Isabelle le regardait dans les yeux, elle a dit : « Si la conversation ne se terminait pas bien, il faudrait voir si votre famille pourrait régler ces problèmes pour

Gérard a dit : « Je ne connais pas ton père. Nous habitons dans de différentes villes, alors comment est-il possible que je le connaisse ? »Poema a crispé la bouche.En voyant que les deux enfants ne mangeaient pas, Gérard a froncé les sourcils, il a dit : « Ne vous inquiétez pas, les nourritures ne sont pas toxiques, je vous jure, mangez si vous ne voulez pas mourir de famine. »Après avoir entendu ses mots, Poema a pris la fourchette et a commencé à manger avant qu’Omar ne fasse quoi que ce soit.Omar a secoué la tête d’un air impuissant, comment pouvait-elle faire confiance à un homme qu’elle ne connaissait pas du tout ?En voyant que Poema lui faisait confiance, il aimait encore plus cette fille.Il ne savait pas pourquoi, mais il ne détestait pas cette fille.Gérard s’est assis sur le côté et a demandé : « Comment tu t’appelles ? »« Je m’appelle Poema », a répondu Poema en mangeant un morceau de viande.« Poema », a répété Gérard en hochant la tête, « c’est un nom plutôt beau. »

Elle a éclaté de rire et a dit : « Je n’ai pas peur de quoi que ce soit », a-t-elle dit en croisant les bras, « je me disais que ce serait bien si la famille Penot me cherche des problèmes, comme ça je pourrais leur montrer cette vidéo. Est-ce que ta famille sait que tu couches avec des hommes à Aegean ? Ta famille ne te trouve pas humiliante ? »« Tu as violé les lois en faisant cela. »Le sourire sur son visage a disparu, elle a dit d’un ton effrayant : « Si je violais les lois, la police me punirait, mais maintenant, je vais leur demander d’enlever tes vêtements. »Les quatre gardes du corps ont rassemblé le courage avant de s’avancer vers Chambois pour lui enlever les vêtements. Avant qu’ils ne le touchent, Chambois a crié : « Arrêtez ! Isabelle, tu veux parler avec moi, n’est-ce pas ? Alors, on va parler ! »Isabelle a fait un signe de la main, les quatre gardes du corps se sont reculés, elle s’est penchée vers lui et a soulevé son menton, elle a dit : « C’est toi le chauffeur qui