All Chapters of Mes trois petits anges gardiens: Chapter 611 - Chapter 620

Isabelle a levé les yeux : « Qui est venu provoquer des troubles ? » « Angelina. » Victor l’a regardée et a répondu : « Pendant ces trois dernières années, elle venait souvent pour nous tourmenter, disant que même si nous avons changé le nom de Buccellati à Soul, ce magasin de bijoux restera toujours la propriété de la famille Leroy, et que les droits de propriété de Sébastien devraient légitimement être hérités par Kevin puisqu’elle est certaine de votre mort. » Isabelle a souri en faisant tourner son stylo : « Après toutes ces années, la famille Leroy n’a pas du tout changé. » Victor était assez épuisé : « Elle est allée encore plus loin et vient encore plus fréquent qu’avant. Les policiers n’ont pas pris la peine d’y prêter attention même s’ils sont obligés de s’occuper de la farce, parce que les officiers savent bien que vous êtes l’héritier légal des droits de propriété de Sébastien, et ils ne peuvent pas le changer. » Il a regardé Isabelle après ces mots : « T

« Est-ce que c’est parce que j’ai perdu la mémoire que tu n’as pas besoin de moi ? » Albert a dit avec un léger mouvement de ses lèvres. Il était si mécontent qu’on avait envie de lui caresser la tête en signe de pitié. Isabelle ne s’est pas empêchée de rire, et s’est lancée dans les bras d’Albert et l’a étreint. Elle lui a murmuré en appuyant ses lèvres sur une oreille d’Albert : « Comment ça ? J’ai besoin de ton cœur, de ton corps, j’ai tellement besoin de toi. » Albert l’a regardée fixement. Le sourire d’Isabelle était charmant et émouvant, ce qui le séduisait beaucoup et lui donnait des démangeaisons au cœur. Il l’a embrassée sur son front et a dit d’une voix sérieuse : « Quand est-ce que nous arriverons à la maison ? » Il se faisait tard. Un espace éclairé par la chaude lumière jaune au-dessus du lit, et le visage d’Albert était tourné de côté contre la lumière, sa main caressant ses cheveux. Isabelle s’est retournée et s’est cachée dans ses bras

Dans une maison louée de la ville côtière, les objets étaient tous en désordre et il y avait encore des boîtes vides de fast-food sur la table. Ils semblaient être là depuis plusieurs jours. Comme il ne faisait plus aussi chaud qu’en été et que le climat côtier était humide avec la nuit froide, il n’y avait pas une mouche en vue. Le cendrier débordait de mégots. L’écran du téléphone portable posé sur le lit s’est allumé et Luc s’est retourné sur son lit, l’a ramassé et y a jeté un coup d’œil. À l’origine, il avait encore la gueule de bois, mais il s’est dégrisé brusquement après avoir vu le message sur son téléphone portable, s’asseyant et regardant le million supplémentaire sur son compte à l’écran. Ses mains tremblaient alors qu’il tenait le téléphone. Il s’essuyait soigneusement les yeux, et le million était vraiment sur son compte. Il s’est connecté à son compte bancaire pour vérifier, et il s’agissait d’un transfert effectué il y a une heure. Entendan

L’expression d’Isabelle Hanel a changé légèrement : « Alors dites-lui que je suis ici pour le voir. » La réceptionniste gardait toujours un sourire patient et professionnel et lui a répondu : « Mademoiselle Hanel, nous ne pouvons que suivre les instructions données par Monsieur Albert. Si vous voulez le voir, appelez-le vous-même, s’il vous plaît. » Isabelle Hanel n’était pas contente. Elle a sorti lentement son téléphone portable mais n’a pas composé le numéro, parce qu’elle n’avait pas du tout le numéro d’Albert. La dernière fois, elle était venue au bureau pour inviter Albert à dîner, alors pourquoi il ne la voyait pas maintenant ? À ce moment-là, Albert est sorti de l’ascenseur, mais il était suivi par une jeune femme aux cheveux courts, au lieu de Maléo. Cette femme ne portait pas de vêtements formels, mais des vêtements très décontractés, et avait l’air d’un garçon propre. « Albert ! » Isabelle Hanel a couru droit vers Albert avec ses talons

Le plus drôle était que les mots étaient sortis de sa propre bouche. Isabelle Hanel l’avait dit à l’une de ses « amies intimes », qui était dans le groupe, et qui y avait envoyé l’histoire de leur dialogue. Giada a dû mourir de rire seulement en le voyant sur l’écran. Isabelle a secoué la tête et a dit d’un ton impuissant : « C’est trop compliqué pour moi de comprendre les gens dans votre métier. » « C’est parce qu’Isabelle Hanel a une mauvaise réputation chez nous et que ces gens qui semblent bien s’entendre avec elle ont beaucoup parlé d’elle en privé. » Giada a posé sa tête sur ses mains et a dit en clignant les yeux : « Je ne suis qu’une observatrice, je ne parle pas souvent dans le groupe, mais parfois, en me cachant parmi eux, je peux apprendre des ragots que les journalistes ne peuvent même pas déterrer. » Lorsqu’elle a dit cela, Isabelle était un peu curieuse. Elle a pris son téléphone et a dit en haussant les sourcils : « Pourquoi ne m’invites-tu pas a