Tous les chapitres de : Chapitre 531 - Chapitre 540

En entendant ces mots, Mélissa a soudainement repris ses esprits, et c'était alors qu'elle a réalisé qu'elle n'aurait pas dû dire ce qu’elle venait de dire !Ses paroles semblaient être un grand cadeau pour Valentine, mais pour elle-même, c'était l'ironie ultime !Le visage de Mélissa a soudainement changé et elle regrettait beaucoup. Elle voulait vraiment retirer ce qu'elle venait de dire, mais il était trop tard.En voyant Valentine se tourner avec élégance, Mélissa a crié en panique : « Valentine, reviens ! Reviens ici ! Ce que je viens de dire était un mensonge et Maurice ne t'aime pas ! Il ne t'aime pas du tout, il m'aime ! C'est moi... »À la fin de son argumentation, les émotions de Mélissa se sont complètement effondrées.Mais plus elle essayait de cacher la vérité et d'argumenter, plus Valentine était convaincue du fait que Maurice l'aimait.Sur le chemin, les pensées de Valentine se sont involontairement égarées à plusieurs reprises, et son esprit n'a pas pu être en paix.Les

Le visage glorieux de Maurice s'est soudainement assombri et dans ses yeux profonds s’est montée une furie évidente.« Tu es folle ? Tu sais de quoi tu parles ? » Ses yeux brillaient d'une lumière froide et amère et il a craché des mots comme de la glace, « Tu n'es pas digne d'être la grand-mère de Lohan avec ces mots ! »Clémence a senti un frisson lui parcourir le dos, réalisant qu'elle avait dit quelque chose à tort.Elle s'est empressée de se corriger avec un ton adouci : « Maurice, j’étais aussi en colère avant de dire ça, mais cette femme s'est effectivement jointe à Malo pour détruire notre famille. »« Cette affaire peut être laissée de côté pour l'instant, mais elle avait l'intention de tuer ton grand-père ! » Zenon a jeté un regard furieux à Valentine.« Lina n’a pas fait une telle chose. » Maurice a dit d’un ton sûr sans réfléchir.Valentine n'avait jamais pensé que Maurice choisirait un jour de lui faire confiance sans hésitation, mais à peine avait-il terminé son assurance

La vitre de la voiture s'est brisée instantanément avec un bruit sec et de la fumée s'est échappée de l'avant de la voiture. Les roues raclaient encore violemment le bitume, et les airbags ont éclaté au moment du choc.À cet instant, Maurice a resserré ses bras encore plus et a tout fait pour protéger Valentine.En entendant la faible douleur étouffée de Valentine, Maurice a levé ses yeux profonds et inquiets pour observer l'état de Valentine sans examiner ses propres blessures.Cependant, dès qu'il a levé les yeux, il a vu les sourcils duveteux de Valentine se froncer et son visage pâlir.Ce qui l'a fait plus paniquer, c'est que la tête de Valentine pendait impuissante et que ses yeux étaient hermétiquement fermés.L'esprit de Maurice est resté vide pendant un instant. Il a senti son cœur plonger dans un abîme sans fond. Ses yeux étaient grands ouverts, et ses mains, qui avaient été coupées et ont saigné par des morceaux de verre de la voiture, ont embrassé le visage de plus en plus p

Le médecin, voyant l'air anxieux de Maurice, a dit gentiment : « Ne vous inquiétez pas, monsieur, la vie de votre femme n'est plus en danger, et il n'y a pas d'ecchymoses sur son corps, mais les blessures sur vos mains semblent plus graves. »Maurice n'a même pas regardé sa paume qui saignait encore : « Je n'ai qu'une blessure superficielle, je veux savoir dans quel état est ma femme maintenant ? Si elle va bien, pourquoi s'est-elle évanouie à ce point ? Comment va-t-elle vraiment ? Je veux entrer et la voir ! »Il était sur le point de se précipiter à l'intérieur de la salle d'urgence.Il y avait trois ans, Valentine était entrée aux urgences comme ça et n'en était jamais ressortie.Ce qui s'était passé ce jour-là a laissé une marque psychologique indélébile dans son cœur.Il avait peur, peur que la scène de ce jour-là se répète à nouveau, peur que Valentine, qui était entrée dans la salle d’opération, ne ressortirait plus jamais.Il ne pouvait plus se permettre ce genre de souffrance

Les mots que Valentine avait prononcés à ce moment-là ont figé tout le monde dans la salle.« Sab… Sabine, je suis maman. » a dit Estelle en se désignant d'un air consterné et des larmes lui montant aux yeux.Maurice avait du mal à y croire et regardait avec encore plus d'incrédulité le petit visage délicat en face qui était empreint de confusion et d'alarme.Comment était-ce possible ?Comment une telle chose avait-t-elle pu se produire ?La femme qui l'avait autrefois tant aimé et qui lui vouait un amour et une haine si profonds ne se souvenait pas de lui ?Après le choc, Malo n’a pas pris beaucoup de temps pour trier ses doutes, puis il a crocheté ses lèvres et s'est approché de Valentine avec un sourire chaleureux : « Vérane, ne t'inquiète pas, quoi qu'il arrive, je serai à tes côtés. Laisse le médecin t’examiner un peu d'abord. »Valentine a écouté attentivement les paroles de Malo et a vraiment coopéré en laissant le médecin l'examiner.Maurice ne voulait vraiment pas croire ce q