Tous les chapitres de : Chapitre 381 - Chapitre 390

Levant un sourcil en regardant son dos, Stéphane a demandé d’une voix froide :« Donc, tu veux que je l’ajoute en ami ? » « Oui ! » Elle a acquiescé et a poursuivi son travail, mais sa bouche n’était pas inactive. « Tu as dit que les deux familles sont amies, donc tu ne peux pas simplement couper le contact avec sa famille, n’est-ce pas ? Après tout, tu dois quand même voir sa famille. Donc s’il y a quelque chose, il vaut mieux en parler, mais pas la blacklister sur WhatsApp, c’est un peu ... » « Un peu quoi ? » Sa voix est devenue plus froide,il s’est levé et a marché derrière elle. « Hé, ce n’est rien ! » Les doigts ont touché le savon de Marseille devant elle, qui était délicat et lisse, et en regardant le bout de ses doigts, elle a ri :« Je pense juste que c’est un peu enfantin. » Cette petite fille a juste grogné devant lui pour attirer son attention mais il l’a simplement bloquée, même y compris toutes les autres applications de contact. Comme elle l’a dit, même ainsi

« Mais ... » Avant qu’il ait pu finir ses mots, Stéphane a appelé son nom à nouveau, « Lupin de Clichi... » Lupin :« ...Quoi ?»Il l’appelait par son nom complet comme ça, d’un ton effrayé, donnant à Lupin un sentiment comme s’il voulait manger quelqu’un. « Ne me passe plus d’appel vidéo à l’avenir. » a-t-il dit. « Pour ... Pourquoi ? » Inconsciemment, il a déjà deviné ses réponses pas trop gentilles, mais il lui a tout de même demandé hors de contrôle. « Laid. » Seulement un mot pour comprendre, puis il a raccroché directement. Lupin : « ... » Sonia s’est figée pendant deux secondes et a commencé à pousser un gros rire. Il fallait vraiment lui donner un coup blessant comme ça ? Il a dû se faire beaucoup d’ennemis puisqu’il avait une langue si venimeuse, non ? Seulement, il n’avait pas non plus peur de se faire des ennemis de toute façon. Les deux appels téléphoniques étaient comme une intrigue de comédie, mais elle ne pouvait pas rire à gorge déployée,

Qui le savait ?! Elle était toute mignonne en roulant des yeux, et Stéphane a souri, le plaisir tourbillonnant sous ses yeux et cascadant le long des lignes de son visage, comme une brise de printemps. « Eh bien, le passé est le passé, n’en parlons plus ! » Levant une main pour frotter le haut de ses cheveux, il a dit :« Qui a appelé ? » Rayonnante, elle s’est frotté la tête, qu’est-ce que ça veut dire par « ce qui est passé est passé » ? Comme si c’était elle qui était en colère hier, et maintenant, ses mots la rendaient encore plus confuse. Cependant, puisqu’il était d’humeur normale, Sonia ne s’embêtait pas avec lui, « Lisa a appelé et a dit qu’elle voulait m’inviter à dîner aujourd’hui, donc je dois y aller. » « Oh... » « Tu as des projets aujourd’hui ? S’il n’y a rien, alors je vais aller la rencontrer. » « Rien, vas-y. » Il a souri. Il y avait deux autres clients à rencontrer, puisqu’il est venu en Italie, il avait l’intention de régler des affaires en

Lisa, cependant, a secoué la tête et le coin de ses lèvres s’est plissé, « En fait, ils ne se sont pas mariés, sans parler du divorce... » « Ah ? » Un bref son de surprise, la réaction subconsciente de Sonia était : ils avaient un enfant si grand, même s’ils ne se sont pas mariés ? « La naissance de Jean est une intrigue de Perrine. » Avec un soupir, Lisa a dit doucement. Ses yeux regardaient par la fenêtre comme si elle était prise dans ses souvenirs. Elle savait ces choses parce qu’elle considérait encore Perrine comme une amie à cette époque et avait même un peu de sympathie pour elle. « Une intrigue ? Jean n’est pas son fils ? » « Si, il est son fils ! Perrine avait toujours aimé Lambert, elle l’aimait tellement qu’elle avait juré de l’épouser. Mais Lambert ne s’intéressait pas du tout à elle. Plus tard, Perrine a utilisé quelques astuces et est finalement tombée enceinte. Elle pensait qu’avec l’enfant, Lambert l’épouserait certainement, mais à sa grande surprise, L

Sonia a senti une sympathie envers ce petit enfant, dont le visage blanc et mignon, d’une pâleur comme un malade, en trouvant que les paroles de Lambert étaient vraies. « Pourquoi est-ce comme ça ? » « On dit que c’est une possibilité génétique, mais ce n’est pas certain. Dans un monde aussi grand, il y a des maladies spéciales, ce n’est pas rare. » Il a raconté cela d’une manière extraordinairement calme, avec un air retenu et nonchalant, sans aucune souffrance, comme s’il s’agissait d’une maladie tout à fait ordinaire. Sonia a regardé l’enfant, qui était si bien élevé et calme, tout comme le calme de Lambert. En voyant Sonia le fixer, il a probablement senti que ses yeux étaient pleins de pitié et a étonnamment pris l’initiative de dire : « Je ne me sens pas mal, j’ai l’habitude, ce n’est rien. » « ... » Plus il disait ça, plus elle se sentait mal à l’aise. Après tout, il était un enfant, il a dû souffrir comme ça à un si jeune âge et il était encore si comp