All Chapters of Gâtée par M. Langlois: Chapter 321 - Chapter 330

« Lambert, ce n’est pas la faute de Sonia, elle a sauvé Jean, je suis le témoin !». Il semblait que Lisa connaissait aussi cet homme, elle a pris l’initiative de défendre Sonia, en fait, elle ne s’attendait pas à ce que Perrine fasse quelque chose comme ça non plus. « Lisa, » l’homme lui fait un signe de tête, l’air cultivé, « C’est ton amie ?» « Oui. Sonia sauvait Jean et ne lui faisait pas de mal, je peux t’assurer !» D’un côté, Perrine parlait encore, « Lisa, est-elle médecin ? Comment peux-tu garantir qu’elle n’a pas fait de mal à Jean. Peut-être que Jean allait bien à l’origine, mais elle a tout gâché et ça a empiré. Elle a même mis ses mains sales dans la bouche de mon fils ... » En entendant cela, les yeux de Lambert derrière les lentilles ont vacillé : « Qu’est-ce que tu lui as fait ?». « Elle a fourré ses mains dans la bouche de Jean et a déboutonné sa chemise, Lambert, ce n’était pas moi ... Ce n’était vraiment pas moi ! Comment pourrais-je faire du m

« Au fait, Sonia, quel parfum viens-tu de dire, comment se fait-il que je ne semble pas en avoir entendu parler, c’est un nouveau produit ?» M. Will était un grand parfumeur, un grand maître dans le monde de la parfumerie, mais sa fille ne connaissait rien sur le parfum et elle ne travaillait pas non plus dans ce domaine. Selon ses mots, elle n’avait aucun talent pour cela et ne s’y intéressait pas vraiment. Sonia a ri : « Ce n’est pas un nouveau produit, c’est un vieux modèle, si vieux qu’il est épuisé et qu’il n’est plus commercialisé. » « Huh ?» Lisa était surprise : « C’est alors très difficile à trouver ?» « Ce n’est pas si difficile à trouver, c’est juste que... » Elle a souri de manière significative, ce parfum avait été développé et lancé il y a plus de cent ans, le premier parfum développé par les gens dans le pays R, et non seulement le parfum lui-même avait une signification spéciale, mais la bouteille qui le contenait était aussi extraordinairement belle

Tard dans la nuit, dans la chambre d’hôtel, Justine venait de raccrocher le téléphone quand quelqu’un a frappé à la porte. Fronçant les sourcils, elle s’est levée pour ouvrir la porte, par la porte entrouverte s’est révélé Igor appuyé sur la porte avec une bouteille dans une main, accrochant ses lèvres dans un sourire malicieux en la regardant. « Qu’est-ce qui t’amène ici ?» Justine, peu d’impatience, n’avait pas l’intention d’ouvrir la porte : « Il est tard, je me suis reposée. » « Qu’est-ce que tu fais semblant !» Avec une force sur sa main, il a poussé la porte. Elle n’était pas de taille face à sa force, elle ne pouvaitque faire que deux pas en arrière, le regardant entrer dans la pièce avec l’ivresse et se retourner pour refermer la porte derrière lui. « Igor, n’oublie pas pourquoi nous sommes ici, regarde-toi ce que tu es maintenant !» Elle a dit froidement en se retirant délibérément un peu et en le regardant. « Tu dis pourquoi on était là ?» Igor a ronf

« Alors, tu enquêtes sur moi ?» Tâtonnant pour trouver une cigarette et l’allumant, il est resté là, le regard obscur et incertain. « Oui, j’enquête sur toi, mais ne t’inquiète pas, je ne te ferai rien, de toute façon, nous sommes dans le même bateau, nous avons des intérêts communs, n’est-ce pas ?». Elle souriait et avait l’air gentil. « Que veux-tu ?» Igor a compris qu’elle devait avoir quelque chose en tête lorsqu’elle a dit cela, non pas juste pour s’amuser. « Je peux te donner d’autres choses, mais la première place au concours de dégustation, je n’ai pas cette capacité. » « Tu peux le faire, je te crois !» Justine s’est levée et lui s’est avancé, elle s’est tenue sur lui en disant d’une voix douce, « J’ai entendu parler du Concours Européen d’Invitation l’année dernière, tout le monde s’intéressait à un autre parfumeur, mais enfin, c’est toi qui a pris la première place, malgré que tu aies été interrogé sur la tricherie par la suite, il n’y avait finalement pas eu de

Stéphane a jeté un coup d’œil à sa voiture garée, « Je vais au bureau, pourquoi ne viendrais-tu pas avec moi ?». Il était sûr qu’elle ne pouvait pas l’accompagner parce que sa voiture était encore garée sur le bord de la route, mais à sa grande surprise, elle était si heureuse qu’elle a fait le tour du siège passager et a tiré la portière pour entrer, « Ok !» Stéphane : « ... Mais ta voiture ?» « Ce n’est pas grave, laisse-la là ! Je reviendrai avec toi ce soir et je la conduirai. » C’était merveilleux d’y penser, oups, c’était décidé ! Elle a tapé dans ses mains avec plaisir. « Ta voiture sera remorquée avant la nuit, tu me crois ?» Stéphane était un peu déconcerté. « Ce n’est pas grave, je demanderai à quelqu’un de la ramener. Qu’aimes-tu manger, Stéphane ? Je ne sais pas si tes goûts ont changé, alors j’ai acheté plusieurs sortes de nourriture, tiens, voilà, tu choisis ce que tu veux. » a-t-elle dit en lui tendant le sac comme un trésor. Stéphane s’est in