All Chapters of Mon Mari Puissant: Chapter 311 - Chapter 320

Térèse a poursuivi : « Faire la pilule n'est pas difficile, le point important est de maîtriser la proportion des ingrédients et de contrôler la température. Toutefois, beaucoup de formules ont déjà disparu, comme la pilule de ciel et la pilule de trempe, ces deux pilules extraordinaires, personne ne sait comment les faire. » À ces mots, un air regret est apparu sur sa figure adorable. « Madame Lenoir est très naïve. Selon elle, la pilule de ciel et la pilule de trempe sont des pilules extraordinaires. » Laurent a souri. « À vrai dire, d'après Les pilules magiques, la pilule de ciel et la pilule de trempe ne sont pas rares, en raison qu'il existe trop de pilules plus rares que la pilule de trempe. De plus, la pilule de trempe n'est pas très difficile à faire, cela n'a besoin que sept ou huit ingrédients. Dans le livre, il y a une pilule destinée uniquement aux personnes supérieures au roi, la pilule de faiblesse, qui nécessite une cinquantaine d'ingrédients, c'est compliqué

Dans la Rue de Montagne, la rue piétonne la plus grande de la Cité Mer de l'Est. Le samedi, beaucoup de jeunes sont descendus dans la rue, et la rue était en effervescence. Quand Laurent avait été au seuil de dévoiler son identité, Jacques l'avait donné un coup de fil. Charlotte, perdu l'intérêt, ne lui a pas demandé de nouveau. Elle a saisi étroitement la main à Laurent, épanouie comme une petite fille. À la main droite, il y avait une grande barbe à papa que Laurent lui avait achetée. « Chéri, ce jean va bien avec moi ? » Elle a demandé doucement. Elle avait été fascinée par un jean lors de passer devant la vitrine d'une boutique, bien qu'elle veuille l'acheter, elle avait trouvé qu'elle pourrait voir un meilleur vêtement, alors, elle ne l'avait pas acheté. Une fois sortie, elle se sentait un peu regrette, et voulait y revenir. Les filles étaient toujours comme cela. Quand elles faisaient les courses, elles voulaient toujours acheter, toutefois, elles hésitaient toujours.

Ne voulant pas disputer avec le vendeur, Laurent a sorti la carte noire de la Banque d'Améthyste, l'a posée sur la caisse, et a dit avec l'impatience : « Dépêchez-vous. » Les vendeurs ont hésité, mais ils n'ont pas reconnaît la carte noire et ont ri. Un entre eux s'est avancé vers Laurent, et a ironisé : « Monsieur, vous n'entendez pas très clair ? Le Cœur permanent coûte soixante-cinq millions d'euros, ce n'est pas six mille cinq cents euros ! » Laurent a éclaté de rire à cause de la colère. « Tant pis, je n'ai pas de chance de rencontre les deux camarades de ma femme. Et puis, les vendeurs de la boutique des parures sont aussi valides ! » « Appelez votre directeur. » Laurent a poussé un soupir, il ne voulait plus parler avec ces vendeurs. Juste à ce moment-là, la directrice est venue. Elle était une belle dame d'une vingtaine d'âges. À la vue de la carte sur la caisse, sa mine a pâli. En guise de directrice depuis longtemps, elle reconnaissait sûrement la carte no

En ce moment, une femme est sortie de la foule. « Il ne peut pas être un voleur », a dit la femme doucement. C'était Ingrid. Elle aurait voulu y acheter un rouge à lèvres, mais à sa grande surprise, elle a rencontré Laurent. Laurent était un peu pétrifié de la voir, ça faisait des jours qu'ils ne se sont pas vus, Ingrid devenait plus ravissante. Un costume a fait ressortir sa taille bien prise et elle a pris l'Amour de Cristal qui avait était offert par Laurent à l'Enchère Lusson-Lusson. Une fois apparue, elle a attiré beaucoup d'attention des hommes. Un bel homme se tenait à côté d'elle, portant un costume et des lunettes à monture noire, avait de l'allure. Ingrid s'est avancée et a présenté l'homme à côté d'elle à Laurent : « Laurent, c'est Didier Brosseau. » Ingrid était déprimée ces derniers jours, son père était inlassable de lui présenter des amis, soit des jeunes riches, soit des hommes d'affaire avec succès, ce qui l'a rendu ennuyée car elle pensait à Laurent tout le temps.

Ingrid, Didier, Laurent et Charlotte ont parlé en marchant. Charlotte a proposé un repas, et tout le monde était d'accord. Lorsqu'ils ont discuté où manger, le téléphone d'Ingrid a sonné, c'était son père. Leclair a dit : « Ma fille, comment ça va ? Didier est-il pas mal ? » Il avait présenté plusieurs jeunes à sa fille mais elle ne les aimait pas. Leclair a pensé que sa fille a encore aimé Laurent. Qu’est-ce qu’il y avait de bon chez Laurent ? Il n'avait pas autre mérite que d'expertiser le trésor, donc Leclair a présenté Didier à sa fille. Tout jeune, Didier a fait preuve d'une maîtrise exceptionnelle en antiquité comme disciple de M. Marcel ! Laurent ne lui était pas comparable. Didier était si beau et décent que sa fille l'aimerait certainement. « Ma fille, dis-moi, tu aimes Didier ? » Leclair était impatient. Entendant la voix remplie d'enthousiasme, Ingrid a dit doucement : « Ça va. » « Ça va ? » Leclair a poussé un soupir : « Ma fille, tu demandes trop. » Après avoir dit