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Chapitre 312
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Mon Mari Puissant Chapitre 313
Dans la Rue de Montagne, la rue piétonne la plus grande de la Cité Mer de l'Est. Le samedi, beaucoup de jeunes sont descendus dans la rue, et la rue était en effervescence. Quand Laurent avait été au seuil de dévoiler son identité, Jacques l'avait donné un coup de fil. Charlotte, perdu l'intérêt, ne lui a pas demandé de nouveau. Elle a saisi étroitement la main à Laurent, épanouie comme une petite fille. À la main droite, il y avait une grande barbe à papa que Laurent lui avait achetée. « Chéri, ce jean va bien avec moi ? » Elle a demandé doucement. Elle avait été fascinée par un jean lors de passer devant la vitrine d'une boutique, bien qu'elle veuille l'acheter, elle avait trouvé qu'elle pourrait voir un meilleur vêtement, alors, elle ne l'avait pas acheté. Une fois sortie, elle se sentait un peu regrette, et voulait y revenir. Les filles étaient toujours comme cela. Quand elles faisaient les courses, elles voulaient toujours acheter, toutefois, elles hésitaient toujours.
Mon Mari Puissant Chapitre 314
Tout le monde les regardait, en effet, Fabienne et Charlotte portaient toutes les deux l'Amour de Cristal, les hauts talons les plus coûteux du monde, avec un prix près d’un cent million d'euros ! Dans le monde, il n'en y avait que 99 paires, et elles portaient toutes les deux l'Amour de Cristal. Laurent a froncé les sourcils, à vrai dire, les chaussures de Fabienne étaient un peu drôles et probablement, elles étaient factices. « Oh là là, Charlotte, d'où viennent tes hauts talons ? » Fabienne a ricané. « C'est mon mari qui me les a achetés », Charlotte a répondu. Tous ont éclaté de rire. Tout à l'heure, Octave avait dit que Laurent avait été pincé par la police pour vol. Il était impossible qu'un voleur ait le moyen d'acheter l'Amour de Cristal à sa femme. Les chaussures de Charlotte étaient sans aucun doute factices. Fabienne a ironisé : « Charlotte, je me souviens que tu as promet de ne pas porter des produits faux. N'as-tu pas la honte de faire les courses s
Mon Mari Puissant Chapitre 315
Ne voulant pas disputer avec le vendeur, Laurent a sorti la carte noire de la Banque d'Améthyste, l'a posée sur la caisse, et a dit avec l'impatience : « Dépêchez-vous. » Les vendeurs ont hésité, mais ils n'ont pas reconnaît la carte noire et ont ri. Un entre eux s'est avancé vers Laurent, et a ironisé : « Monsieur, vous n'entendez pas très clair ? Le Cœur permanent coûte soixante-cinq millions d'euros, ce n'est pas six mille cinq cents euros ! » Laurent a éclaté de rire à cause de la colère. « Tant pis, je n'ai pas de chance de rencontre les deux camarades de ma femme. Et puis, les vendeurs de la boutique des parures sont aussi valides ! » « Appelez votre directeur. » Laurent a poussé un soupir, il ne voulait plus parler avec ces vendeurs. Juste à ce moment-là, la directrice est venue. Elle était une belle dame d'une vingtaine d'âges. À la vue de la carte sur la caisse, sa mine a pâli. En guise de directrice depuis longtemps, elle reconnaissait sûrement la carte no
Mon Mari Puissant Chapitre 316
Charlotte ne s'attendait pas à ce que Laurent l'ait acheté un cadeau sous prétexte d'aller aux toilettes, elle était joyeuse. « Ne l'ouvre pas. » Laurent a ri : « C'est pas grand-chose, on va l'ouvrir à la maison. » Après tout, ce collier avait été distingué par Fabienne dans la bijouterie, si Charlotte ouvrait le cadeau, Fabienne serait jalouse. Charlotte a hoché la tête et a dit bas : « Chéri, même si ce n'est pas précieux, tant que tu me donnes, je l'aime. » A ce moment, Fabienne a soudain ri. « Charlotte, ouvre. Je veux voir ce que ton mari t'a acheté. Je m'y intéresse », a-t-elle Fabienne ricané. « Ouvrir le cadeau à la maison ? Il a peur d'être ridiculisé à cause d'un cadeau bon marché ! Ha ha ha, bien certainement ! Charlotte, tu étais la fille la plus populaire à l'école, à ma grande surprise, tu as épousé un bon à rien », Fabienne s'est dit. Charlotte a souri : « Mon mari a déjà dit que c'est pas grand-chose, ne le vois pas. » En parlant, elle a mis le cadeau dans son sa
Mon Mari Puissant Chapitre 317
En ce moment, une femme est sortie de la foule. « Il ne peut pas être un voleur », a dit la femme doucement. C'était Ingrid. Elle aurait voulu y acheter un rouge à lèvres, mais à sa grande surprise, elle a rencontré Laurent. Laurent était un peu pétrifié de la voir, ça faisait des jours qu'ils ne se sont pas vus, Ingrid devenait plus ravissante. Un costume a fait ressortir sa taille bien prise et elle a pris l'Amour de Cristal qui avait était offert par Laurent à l'Enchère Lusson-Lusson. Une fois apparue, elle a attiré beaucoup d'attention des hommes. Un bel homme se tenait à côté d'elle, portant un costume et des lunettes à monture noire, avait de l'allure. Ingrid s'est avancée et a présenté l'homme à côté d'elle à Laurent : « Laurent, c'est Didier Brosseau. » Ingrid était déprimée ces derniers jours, son père était inlassable de lui présenter des amis, soit des jeunes riches, soit des hommes d'affaire avec succès, ce qui l'a rendu ennuyée car elle pensait à Laurent tout le temps.
Mon Mari Puissant Chapitre 318
Rouge de stupeur, Fabienne a soudain vu la directrice de la bijouterie courir vers eux, elle s'est pressée de crier : « Viens. Vois si c'est le collier dans ta boutique. » Fabienne s'est avancée et a donné la boîte à la directrice. En parlant, elle a montré du doigt Laurent : « C'est volé par lui. » Perplexe, la directrice de la bijouterie ne savait pas quoi faire. Fabienne a ri aux éclats, elle a pensé que la directrice est sortie pour attraper Laurent, il serait condamné à l'emprisonnement à vie pour voler un collier très cher ! Tous les gens autour ont convergé leurs regards à la directrice qui s'est dirigée vers Laurent. « Monsieur », La directrice a tendu la boîte à Laurent avec respect et a dit en s'inclinant, « Monsieur, j’ai oublié de vous dire tout à l’heure que vous êtes devenu directement suprême VIP de notre boutique, ça vous convient de nous donner votre numéro de téléphone ? Je vais vous aider à vous inscrire. En plus, vous êtes trop pressé pour prendre le ticket de c
Mon Mari Puissant Chapitre 319
Ingrid, Didier, Laurent et Charlotte ont parlé en marchant. Charlotte a proposé un repas, et tout le monde était d'accord. Lorsqu'ils ont discuté où manger, le téléphone d'Ingrid a sonné, c'était son père. Leclair a dit : « Ma fille, comment ça va ? Didier est-il pas mal ? » Il avait présenté plusieurs jeunes à sa fille mais elle ne les aimait pas. Leclair a pensé que sa fille a encore aimé Laurent. Qu’est-ce qu’il y avait de bon chez Laurent ? Il n'avait pas autre mérite que d'expertiser le trésor, donc Leclair a présenté Didier à sa fille. Tout jeune, Didier a fait preuve d'une maîtrise exceptionnelle en antiquité comme disciple de M. Marcel ! Laurent ne lui était pas comparable. Didier était si beau et décent que sa fille l'aimerait certainement. « Ma fille, dis-moi, tu aimes Didier ? » Leclair était impatient. Entendant la voix remplie d'enthousiasme, Ingrid a dit doucement : « Ça va. » « Ça va ? » Leclair a poussé un soupir : « Ma fille, tu demandes trop. » Après avoir dit
Mon Mari Puissant Chapitre 320
Il y avait un monde fou partout lorsque Laurent est arrivé. Ingrid et Charlotte ont attiré beaucoup d'attention une fois arrivée. Comme elles étaient éblouissantes ! Certains hommes ont fixé les deux beautés ayant leur propre qualité. Ignorant les regards des autres, les deux belles ont regardé les éventaires éblouis par tant d'antiquités. Tels que les peintures, les jades, les objets céramiques et les ouvrages exquis, les gens n'avaient pas le temps de promener leurs regards sur toutes les belles choses. Laurent les a vus en marchant. A vrai dire, il y avait effectivement des antiquités de haute qualité. Un peu plus loin, il y avait beaucoup de gens y compris Leclair entourant un grand éventaire. Ingrid était ravie de voir son père et s'y est précipitée : « Papa. » Leclair a hoché la tête et s'est pressé de dire : « Didier, viens voir, ça coûte combien cette peinture ? » Il y avait une peinture dans la main du patron. Dans la peinture, il y avait des tournesols de couleurs bril
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