Tous les chapitres de : Chapitre 601 - Chapitre 610

Dès que Samuel a entendu cela, il a paniqué et s'est pressé de désigner Bercherie et de dire : « M. Lucas, c'est ma deuxième tante, elle m'a appelé hier et m'a dit qu'elle allait tendre un piège à une femme pour lui frauder une grosse somme d'argent. Et elle m'a demandé de venir la menacer, alors j'ai accepté... »Cela dit, Samuel a ajouté : « M. Lucas, j’ai été poussé par ma deuxième tante ! »Lucas a jeté un regard à Bercherie et celle-ci a été instantanément effrayée.Lucas l'a désignée et lui a fait un geste de la main en disant : « Toi, viens ici. »Bercherie n’osait pas hésiter et a commencé à dire en frissonnant : « M. Lucas, c’est un malentendu ! Si j'avais su que Sylvie était votre belle-mère, je n'aurais pas osé lui mentir... »Après avoir dit cela, elle a pointé du doigt Julia et a dit : « Tout ça est à cause de cette salope, Julia ! Elle a dit que sa belle-sœur était particulièrement riche et fière, et qu'elle voulait lui donner une leçon. Elle m'a donc demandé de piéger

Bercherie a été prise de panique. Elle ne s’attendait pas à ce que Lucas, qui avait l'air si inoffensif, serait si impitoyable !Il avait cassé ses dix doigts et lui avait demandé de jouer à pierre-feuille-ciseaux avec lui, et maintenant, elle ne pouvait que jouer à feuille avec ses doigts cassée, alors elle perdrait chaque fois, n’était-ce pas ?Lucas a regardé Bercherie à ce moment-là et a dit avec indifférence : « Allons, commençons. »Sur ce, Lucas a tendu sa main tout en murmurant : « Pierre, feuille, ciseaux ! »Dès que les mots ont quitté sa bouche, il a immédiatement fait un geste de la main en forme de ciseaux.Bercherie n'avait aucun contrôle sur ses doigts, elle ne pouvait donc que regarder Lucas d'un air paniqué.Lucas a souri légèrement et a dit : « J’ai joué aux ciseaux et tu as joué à feuille, je gagne, tu me dois 10 millions. »En disant cela, il a ajouté : « Allons, jouons la seconde partie. »« Pierre, feuille, ciseaux ! »« Oups, je gagne encore, tu me dois 20 milli

Alors que Bercherie criait de douleur, Lucas a demandé aux subalternes de Vincent de traîner Julia jusqu'à lui.Julia, qui tremblait maintenant de peur, a regardé Lucas et a dit en pleurant : « Lucas, je suis la tante de Carina, tu es le gendre de la famille Jolivet, n'est-ce pas ? Épargne-moi cette fois, s’il te plaît. »Lucas a ri et a dit : « Ne me raconte pas de conneries, dis-moi d'abord combien d'argent tu as maintenant ? »Julia a paniqué et a dit : « Je n'ai pas d'argent... Je n'ai vraiment pas d'argent ! »Lucas a dit froidement : « Je te donne une chance de rendre compte toi-même, tu dois la saisir, sinon, tu vas finir comme Bercherie. »Julia a frissonné d’un air effrayé et a dit à la hâte : « Je... J'ai 5 millions, c'est tout ce que notre famille a... »Lucas a hoché la tête et a dit : « Bon, montre-moi ta banque mobile et laisse-moi voir le solde. »Julia a paniqué pendant une seconde et a dit : « Je... Je n'ai pas de service bancaire mobile ! »Lucas a dit froidement :

Sylvie était tellement absorbée à regarder ces personnes pleurer de douleur qu'elle avait oublié qu'elle avait perdu plus de 2 millions euros en liquide par elles !Elle était occupée à dire à Lucas : « Dis-leur de me rendre tout l'argent ! Ils ont gagné plus de 2 millions euros de ma part ! »La raison pour laquelle Lucas leur avait demandé de donner tout l'argent à Projet d’Espoir était en partie pour les punir et en partie pour donner une leçon à sa belle-mère, car celle-ci était avide et accro aux jeux d'argent, et elle pensait même qu’elle pourrait faire fortune en jouant aux mah-jongs.Par conséquent, Lucas a fait semblant de demander à Bercherie et Julia d'un air prétentieux : « Dépêchez-vous de rembourser l'argent que vous avez gagné de ma belle-mère ! »Les deux femmes se sont regardées et ont dit en pleurant : « Nous avons donné tout l’argent à Projet d’Espoir ! Y compris l'argent qu'on vient de gagner... »Lucas s’est tourné vers sa belle-mère et lui dit d'un air impuissa

En entendant cela, Lucas a secoué légèrement la tête et a dit d’un air indifférent : « Oublie ça, Vincent, il y a certaines choses qu’on doit apprendre à accepter. »Vincent a regardé Sylvie d’un regard haineux, n’a dit rien d’autre.À ce moment-là, Sylvie n'osait plus évoquer la question de l'argent, et ne pouvait que se sentir lésée dans son cœur.À ce moment-là, plusieurs voitures se sont arrêtées dans la cour de la villa et Marc est entré en personne avec cinq personnes attachées par des nœuds.Dès qu'ils sont entrés et qu'ils ont vu Bercherie, le jeune homme lui a demandé : «  Maman, qu'est-ce qui s’est passé ? »Après avoir jeté un coup d'œil à son mari, son fils et sa belle-fille, sa fille et son gendre, Bercherie a éclaté en sanglots, pleurant et gémissant.« Je suis désolée, je suis désolée pour vous tous, c'est de ma faute... J'ai fait en sorte que vous allez tous souffrir avec moi... »Un homme d'une cinquantaine d'années s'est pressé de demander : « Chérie, que se passe-t-