Tous les chapitres de : Chapitre 371 - Chapitre 380

Il n'y a que de l'argent dans ses yeux ! À son avis, la qualité la plus importante pour un gendre était d'avoir de l'argent, et il devait être prêt à le dépenser pour elle, sinon, même le meilleur gendre n’était que de la merde à ses yeux. Un homme comme Martial était le gendre idéal pour elle, car il était prêt à dépenser de l'argent pour elle ! Maintenant que sa fille était mariée, il était encore si généreux et voulait lui offrir une Mercedes-Benz de 1,6 million. Si Carina le suivrait vraiment à l'avenir, elle en aurait certainement profité davantage !En pensant à cela, elle était tellement excitée ! Cependant, elle devait garder son élégance superficielle. Elle a attrapé le bras de Martial et a dit sérieusement : « Oh, Martial, tu as vraiment ému tante, mais cette voiture est trop chère, si tante l'acceptes, j'ai peur que ce soit pas approprié, non ? » « Comment cela ? » Martial a dit sérieusement : « Tata, c'est moi qui veux te donner quelque chose, tu peux juste l'accepter a

Lucas a fredonné et a dit : « J'irai jeter un coup d'œil cet après-midi. » « C'est super, M. Lefevre ! » Magali a applaudi et a dit : « Alors je vais dire à grand-père maintenant, il doit être très excité ! » Après avoir nettoyé la cuisine, Lucas venait de sortir quand il a vu que Carina était prêt à sortir, alors il a demandé : « Chérie, tu vas au studio ? » Carina a secoué la tête et a dit : « Maman m'a dit qu'elle avait une amie qui voulait rénover une villa et voulait que je prenne cette commande. Je vais aller voir. » Lucas a demandé à la hâte : « Quelle villa ? » Carina a dit : « C’est juste au bord de la rivière. » Lucas a souri et a dit : « C'est bien, tu peux me déposer au Pavillon de soin à tous, et j'irai voir le docteur. » Carina a demandé avec surprise : « Tu vas voir le docteur divin ? Pourquoi ne vais-je pas avec toi aussi, surtout pour rendre sa grande gentillesse ! » Carina était très reconnaissante envers Silvan, parce que elle a toujours pensé que c'é

Comme l’a dit le proverbe, ce qui ne fait rien n’a pas le droit de recevoir le récompense. Selon lui, son petite effort n’était pas digne de ce médicament précieux. Mais Lucas s'en fichait. Et ce médicament n’était pas inaccessible pour lui. La raison pour laquelle nous chérissait quelque chose était principalement parce qu’elle était rare et chère. Alors il a dit légèrement : « Silvan, puisque tu veux y rester pour moi et partager mes soucis, alors tu devrais savoir que moi, Lucas, je ne ménage pas des récompense et des punitions, si tu as bien agi et tu devrais être récompensé, tu ne dois pas le refuser. » Silvan était si excité qu'il a osé précipitamment ses mains sur le sol, s’est prosterné et a dit : « Merci, M. Lefevre ! » Magali s'est également dépêchée et respectueusement s'est prosternée : « Merci, M. Lefevre ! » Lucas a regardé Magali, a souri légèrement et a dit : « Magali, lève la tête. » Cette dernière, ses yeux étaient un peu timides. Lucas l'a regardée, a sour

Elle a attendu un moment à la porte de la villa et a vu sa mère trotter tout le chemin pour la chercher. Plus tard, Sylvie a ouvert la porte de la communauté et l'a saluée : « Carina, entrez ! » Carina l'a saluée à la hâte. Lorsqu'elle a vu sa mère, Carina n'a pas pu s'empêcher de demander : « Maman, pourquoi n'ai-je pas entendu parler de cette amie de toi ? » La villa au bord de cette rivière était l'une des communautés locales haut de gamme. Les gens qui vivaient ici étaient très riches, évidemment au-delà de la portée sociale de Sylvie. Sylvie a dit avec un sourire : « C’est mon ancien camarade de classe. Il a fait fortune dans le commerce récemment et vient d'acheter une villa ici. À propos de la décoration, il a dit que le budget était de 8 millions ! Dis, c'est une grosse commande, non ? » Carina a souri et a dit : « Bien sûr, pour la décoration d’une maison normale, plus d'un million est une grosse commande. » Sylvie a souri : « C'est bien ! Dépêchons-nous pour regarder

Pour lui, il rêvait toujours de Carina. Vous saviez que Carina était la beauté numéro un de toute la ville, et elle méritait vraiment ce titre, on pouvait dire que sa beauté était irréfutable. Et maintenant, une telle femme presque parfaite serait bientôt la sienne, comment pouvait-il calmer son cœur ! Sylvie à côté de lui écoutait les propos avec incrédulité. Martial n'a-t-il pas a dit qu'il voulait s'excuser auprès de Carina puis se confesser à elle ? Mais maintenant, que s’est-il passé ici ? Elle s’est avancée précipitamment et a dit : « Martial, qu'est-ce qui ne va pas avec toi ? Tu n'as pas a dit ça à tata ! » « Tais-toi! » L'expression de Martial a changé. Il lui a donné un coup de pied au sol et a ricané : « Tu penses vraiment que je veux juste le cœur de ta fille comme ça, et ensuite être ton gendre ? une femme comme toi, es-tu digne d'être ma future belle-mère ?! » À ce moment, Julien est venu avec un pistolet et a dit avec un sourire misérable : « Fils, bien que Sylv