Chapitre 122

L'homme portait un costume sombre de haute couture, son visage était condensé, ses sourcils et ses yeux étaient froids, mais son sentiment d'oppression était très fort et il avait une aura innée de supériorité.

J'étais un peu abasourdie.

Voyant que Nicolas s'est immédiatement calmé, son arrogance est soudainement disparue. Il s'est frotté les mains, a marché devant Cédric avec un visage timide, a hoché la tête et s'est incliné, « M. Baudet, M. Baudet, pourquoi êtes-vous ici ? Je fais la leçon à cette fille puante. »

Mon estime de soi semble avoir été piétinée par Nicolas ? Bien que nous divorcions tout de suite, je ne voulais pas que Cédric voie mon embarras.

Ou plutôt, de tels parents insupportables.

« Tu sors, ce n'est pas ton affaire. »

J'ai poussé Cédric dehors.

Je ne voulais pas que mon oncle se mêle de mes affaires avec lui, et je ne voulais pas qu'il se mêle de cette affaire.

« As-tu peur ? »

Nicolas s'est avancé à la porte et a crié : « As-tu peur que mon mari de nièce sache à