Chapitre 121

Mais il était en fait mon oncle !

Il pouvait utiliser cette relation pour dire des bêtises devant Cédric !

« Ma sœur, c’est triste si tu parles comme ça. »

Vincent a jeté les graines de melon non consommées dans sa main dans le sac et a dit d’un ton clair : « Je sais, n’est-ce pas mon beau-frère qui triche ? Je l’ai vu tout à l’heure, cette femme est plus laide que toi. Elle a un visage de célébrité sur Internet. Tu laisses mon beau-frère jouer pendant un moment, et quand il est fatigué, il revient te chercher. »

Tromper la femme, ce genre de chose, aux yeux de ces hommes qui n’avaient aucune base morale, semblait être extraordinairement normal.

J’ai réprimé ma colère avec force, « J’ai dit, je n’espère pas que vous vous occupiez de mes affaires, comprenez-vous ? »

« Compris. »

Nicolas était un exemple typique du vieux méchant. Il tenait les dents jaunes d’un vieux pistolet fumant et a demandé un prix démesuré : « Ce n’est pas grave si tu ne veux pas que je trouve M. Baudet. Si tu pe