Christina avait l'air gêné et ne savait pas quoi répondre, mais Virginie a regardé à nouveau Vincent avec une expression perplexe.Vincent a ri et a dit : « Tu ne sais pas, Virginie, que notre gendre matrilocal est ici pour acheter une voiture. Hé, il s'est pris de passion pour la Porsche Panamera. Pourquoi ne pas l’aider à choisir une couleur ? »Virginie a soupiré : « Laisse tomber, il n’y a pas de vert, donc ce n'est pas facile de choisir. »Après cela, elle a jeté un coup d'œil à Louis et a dit : « N'as-tu pas vu qu’ils sont au rendez-vous ? Si tu as de la conscience, tu dois partir immédiatement ! Ne sais-tu pas que tu es de trop maintenant ? » Vincent a ri quand il a entendu cela, et en même temps il a jeté un coup d'œil à Louis, ce gars était vraiment drôle, il a entendu dire qu'il devait aider Virginie à laver les chaussures !Le visage de Louis est devenu sombre, il savait que Virginie n’était pas une femme facile en parole, mais il ne s'attendait pas à ce qu'elle soit si vic
« C'est pas mal que ça vaille 200 à 300 millions ! Et il y a si peu de voitures, il doit y avoir un problème sur la chaîne des capitaux ! » « Je voulais investir dans cette zone d’automobile au début, mais maintenant, vu votre attitude, oublions ça. » La voix de Louis n'était pas forte, mais elle atteignait clairement les oreilles de tout le monde.La scène était remplie de chuchotements, tout le monde regardait Louis comme s'il regardait un imbécile.Vincent a failli se casser le ventre de rire : « Allez, vous pouvez investir dans notre magasin ? Ne dites pas que vous n’avez pas d'argent, je n'ai pas besoin de votre argent si vous en avez ! » « Dépêchez-vous et sortez ! »Louis a souri légèrement et a dit : « M. Roux, je partirai certainement, mais j'ai peur qu’après un moment , vous deviez vous agenouiller et me supplier de revenir ! » Louis a jeté un coup d'œil froid à Vincent, ce type ne savait probablement pas à qui il a adressé !Avant, il le suppliait de toute façon d’y veni
Louis lui a répondu à la suite d’une réflexion : « Je rentrerai un peu plus tard peut-être... »« T’as quelque chose ? », a demandé Christina curieusement. Son époux matrilocal n’était pas sorti dans le vrai sens depuis trois ans. Qu’est-ce qu’il aurait ?Louis a dit en raisonnant : « Je vais au boulot, sinon pourquoi sortir ? »« Quel boulot ? » Christina ressentait un peu de réconfort. Depuis trois ans déjà, son mari propre à rien faisait enfin quelque progrès !Louis a répondu en haussant les épaules : « Comme assistant d’un copain d’école, lequel m’a prêté de l’argent. Il est rentré récemment à N pour se développer. Je viens de lui aider à acheter une voiture. »Christina avait l’air compris tout de suite. Elle l’a interrogé avec curiosité : « Il travaille dans quel domaine ? S’il s’agit de la construction, c’est possible de mener une coopération avec notre famille ? »Au sujet de ça, Christina était en proie à une petite inquiétude. Elle avait peur que le copain travaille effectiv
« Vé... vélo électromoteur ? » A dit Vincent de manière presque inconsciente. Il ressentait une crispation aux coins des yeux. Un mauvais pressentiment surgissait dans son esprit.« Oui, en vélo électromoteur. J’ai voulu le conduire mais il a refusé. » A repris Natalie : « Soyez assez courtois quand vous voyez monsieur le président Boucher. Cette fois-ci, j’ai dit pas mal de bien de vous, grâce à quoi, il consentit à financier votre Cité automobile de nouveau. Je ne peux plus vous aider si vous le traitez sans égards. » Ayant achevé ces mots, Natalie a raccroché. Il lui faut ranger des dossiers. Elle était bien chargéeÀ mesure qu’une tonalité d’occupation soit entendue, Vincent avait la tête bourdonnante.Président Boucher, discret, vélo électromoteur...Merde ! Ce ne serait pas lui ?À cette idée, Vincent avait tant de panique qu’il manque de mouiller ses culottes. Un instant plus tard, il s’est rué dans le hall et a tiré à lui l’adminstratrice inférieure, laquelle a reçu Louis au
Louis a observé Vincent de la tête aux pieds, ce dernier était presque à genoux en ce moment. Il a repris avec un sourire vague : « Monsieur Roux, pourquoi vous faites un salut si humble pour rien ? Moi, un propre-à-rien, je n’oserais pas le recevoir. »Vincent ne se hasardait pas à se mettre debout. Il a fait un sourire flatteur, disant : « Que vous plaisantiez, monsieur Boucher ! Je n’ai pas dit tout à l’heure ? Si je vous priait de rentrer, je vous appellerais papa... »« Vous le méritez ? Vous ne mériteriez même pas d’être mon petit-fils. » A dit Louis froidement.« Non, non, non. Je ne le mérite pas, je ne le mérite pas. Je n’ai pas reconnu un personnage comme vous ! Mais veuillez me montrer l’indulgence, comme vous êtes une si grande personne ! » A répondu Vincent d’un air rigide.Vincent restait indifférent. Il parcourait les magazines sur le bureau à son gré.À la vue de cette attitude de Louis, Vincent a serré les dent et s’est mis tout de suite à frapper la terre du front à
« Non, non, ça ne vaut pas le coût. » A dit Vincent difficilement : « Si tu appelais la police, il serait possible qu’on sache tout ! Ils croiraient que quelque chose de mauvais se passait ici. C’est pas facile d’expliquer et ça va nuire à mes affaires... À mon avis, il suffit de lui donner quelques centaines d’euros pour apaiser la dispute. Ça ne vaut pas la peine d’appeler la police... »En prononçant ces mots, Vincent trouvait que sa chemise était quasiment mouillée de sueur froide. Ma cousine néfaste, toi qui es l’amie intime de Christina, tu n’es pas au courant du statut de son époux ! En outre, tu m’as encouragé à la poursuivre ! Tu veux que je sois tué rapidement, n’est-ce pas ?« Vincent, pourquoi t’es tout ruisselant ? T’as chaud ? » A demandé Virginie avec curiosité, qui n’avait rien aperçu.« Il fait un peu chaud, un peu chaud... », a répondu Vincent avec embarras.« D’accord, très bien. D’ailleurs, ça ne vaut pas la peine de lui en donner trop, deux cents suffit... Et à pr
« Oui, oui ! » Vincent a hoché la tête en hâte. Comment il osait penser à la collaboration à cette heure-là ? Un moment plus tard, il a accompagné Louis à l’extérieur de la salle d’exposition de la Cité automobile. Apercevant Louis qui sest parti et qui a conduit la Panamera à toute vitesse, il a avisé que toute sa personne était déjà mouillée comme une soupe.« Monsieur Roux, je ne comprends pas, pourquoi vous... » L’administratrice était confuse. Elle y avait réfléchi cent fois mais elle ignorait encore pourquoi. Paf ! Vincent lui a donné un coup de gifle : « Je n’aurais jamais à vous expliquer ce que je fais ! Vous vous souvenez ? Qui ose divulguer ce qui s’est passé aujourd’hui, je le tuerai ! »...Louis, ayant quitté la Cité automobile, trouvait qu’il était un peu tard. Ainsi, au lieu de rentrer à la société, il a envoyé un texto à Christina. Puis il a fait un détour vers le magasin pour faire quelques achats qu’il apporterait à la maison.Quant à Christina, elle se sentait un
Marie aurait connu cet homme, même s’il avait réduit à néant, parce qu’il s’agissait de son beau-fils propre à rien, Louis !La Porsche n’était pas étrangère pour Marie, bien sûr, sa fille en avait une. Mais celle-ci était d’édition démarreur. Elle ne coûtait qu’à peu près sept cent mille d’euros.Mais la Panamera que Louis conduisait coûtait approximativement deux millions huit cent mille. Celle que Christina possédait ne comptait qu’une fraction dérisoire par rapport à celle-là.Quoique la famille Royal soit riche, il ne s’agissait que d’une famille de deuxième ordre. Normalement on avait de la peine à dépenser tant d’argent d’un seul coup pour acheter une voiture comme ça.Cette voiture était censée être la voiture de rêve de Marie. C’est pourquoi l’esprit ne lui est pas revenu tout de suite, même si c’était son beau-fils bon à rien qui y est descendu.Louis n’a pas pris ça à coeur. Il portait des achats à la main et est entré directement dans la maison. Il a salué Christina : « Je
Dans la boîte en bois, il y avait une montre de curiosité en acier. C’était la Rolex d’un grand renom.Cette montre avait défié le temps. Son cadran légèrement jauni portait une « couleur tropicale » agréable, tandis que son boîtier, malgré les vestiges des années, semblait tout neuf. Draco qui avait l’air fier, s’est mis à identifier la montre dans la hâte. Il a sorti une loupe pour l’examiner avec soin.Tandis que Louis, qui ne faisait que jeter quelques coups d’oeil à cette montre, avait l’air impassible. Évidemment, c’était Louis qui ressemblait plus à un professionnel.François ne cessait pas de hocher la tête et Florence avait les yeux illuminés. En général, la conduite de Louis était beaucoup plus élégante que celle de Draco, lequel ressemblait à un réparateur de montre.Cependant, Julien a poussé un ricanement à ce spectacle. « Ah, les jeunes d’aujourd’hui, vous ne savez que prendre de grands airs ! »Dans l’identification des antiquités, il fallait de la patience et de la min
Sur ces mots, Louis avait une faible contraction pupillaire. Il semblait que ce Draco ait une hostilité grave contre Louis.Comment by Service communication: Dilatation pupillaire ?Plutôt le contraire... Je ne connais pas la médecine et j’ignore scientifiquement si les pupilles se contractent ou se dilatent dans ce cas-là, mais c’est écrit comme ça.À cette idée, il a lancé un regard sur Florence. Cette femme était un désastre ! Elle ne faisait que lui apporter des ennuis.Florence, voyant que Louis l’a regardée, avait esquissé un sourire sur son visage de glace. Elle a fait un clin d’oeil à Louis, disant : « vous le méritez bien ».Louis a adressé un sourire amer. Il ne trouvait pas de mot.Néanmoins, à ce spectacle, Draco a serré spontanément les poings. Cet inconnu osait faire de l’oeil à sa sylphide en sa présence ? C’était vraiment insupportable !Julien observait du coin de l’oeil les gestes des jeunes. Il a poussé un soupir dans son coeur. Sur ce plan, son disciple ne concurre
Ce vieil homme s’appelait Julien Garcia, président de l’association des antiquités de la ville de N. La jeune fille était Florence, tandis que le jeune garçon s’appelait Draco Garcia, son disciple.À la vue de Julien, Louis n’était pas trop surpris. Julien jouissait d’une grande renommée dans le monde des antiquaires de N. Il était naturel qu’il vienne à cette exposition d’antiquités. D’ailleurs, il était un vieil ami de François, évidemment.Quant à son disciple Draco, il était amoureux de Florence à coup sûr. Il n’a pas pu détourner ses yeux de Florence depuis qu’ils étaient entrés.Quand Florence a vu Louis, elle a légèrement changé de couleur, ce qui a étonné Draco. Il avait le regard plein de vigilance en posant ses yeux sur Louis.Florence était une véritable beauté de glace. Elle restait impassible devant toute personne. Néanmoins, elle avait le regard beaucoup plus tendre en face de cet inconnu !Avant que Louis et Draco ne fassent connaissance, Draco avait déjà pris Louis pour
« Christy, il est ton époux en tout cas. Il faut que tu le rappelles à sa parole. Il doit s’agenouiller devant Jacques comme il a promis ! Sinon, vous serez tous les deux chassés dehors. Ce sera vraiment dommage », Zoé a fait la remarque à Christina avec « gentillesse ».Christina a dit d’un air froid : « Ça me regarde ? Il vient et s’agenouille comme il veut ! »« Mon Dieu, tu t’es déjà débarrassée de lui ? Christina, avant que tu ne sois la maudite vice-directrice, tu n’étais pas comme ça ! Maintenant, étant donné ta position sociale, tu as peur de perdre la face ? Ou tu n’es pas encore habituée à ton mari propre-à-rien depuis trois ans ? » Jacques s’est moqué d’elle : « Pourtant, tu ne penses pas à divorcer avec lui ! Ce mariage a été rangé par notre grand-mère ! Si on viole la dernière volonté de la défunte grand-mère, on offensera toute la famille Royer ! »Jacques avait bien réfléchi ces deux derniers jours. Il ne fallait pas que Louis, le bon à rien, divorce avec Christina ! L’e
Le lendemain, à l’Hôtel de N.C’était un jour de fête à N où aurait lieu une manifestation importante pour le grand monde. Aujourd’hui, la famille de Nolan, une famille de premier ordre de la capitale, organiserait une exposition d’antiquités.L’exposition présidée par la famille de Nolan ne se tenait pas facilement. On y verrait toujours des objets rares.L’essentiel était que l’exposition soit haute de gamme et que les gens ordinaires ne puissent pas y assister.Cette fois-ci, l’Hôtel de N avait suspendu toutes les activités commerciales depuis trois jours, de manière à bien préparer l’exposition. Aujourd’hui, à l’exception des familles et des sociétés invitées, l'accès à l'Hôtel N était interdit aux étrangers.Même les serveurs de l’hôtel avaient été soigneusement sélectionnés. Cela démontrait l’influence exercée par cette exposition sur N.Des voitures de luxe se garaient successivement sur le parking de l’Hôtel de N. Les personnes qui en descendaient étaient tous les VIP des mili
Grâce à la collaboration avec la Société d’investissement Boucher ? Au projet de centre commercial ?Ces aspects comptaient beaucoup aux yeux de la famille Royer, mais pour les de Nolan, ça ne servait à rien !Si la famille de Nolan accordait cette faveur à la famille Royer de ce fait, on la sous-estimerait !La raison pour laquelle la famille de Nolan prenait la famille Royer en considération, en lui apportant une lettre d’invitation, était très simple. C’était grâce à Louis ! Louis avait dit qu’il n’avait pas besoin de lettre d’invitation, mais une grande famille telle que de Nolan, ne négligeait pas les manières !Si ce n’avait pas été pour ça, la famille de Nolan aurait ignoré la famille Royer, qui ce soient les personnes envoyées chez cette première par cette dernière. La famille Royer, à titre de famille de deuxième ordre régionale, n’aurait pas eu le droit d’être un chien élevé par la famille de Nolan.Comment by Service communication: Comprends pas, que voulez-vous dire ? A ref
La main de M. Royer, laquelle tenait la lettre d’invitation, ne cessait pas de trembler. En apercevant l’homme qui s’éloignait, il n’arrivait pas à se calmer.Auparavant, la famille de Nolan avait organisé une exposition semblable à N. La famille Royer s’était servi des milliers de moyens pour y assister. Mais elle avait été méprisée comme un chien galeux par la famille de Nolan.C’était une douleur pour M. Royer et c’était pour cette raison qu’il souhaitait assister à cette exposition d’antiquités.Aujourd’hui, contre toute attente, la famille de Nolan lui avait apporté une lettre d’invitation. C’était vraiment un progrès considérable pour la famille Royer !Parmi toutes les familles de deuxième ordre à N, la famille Royer était la seule qui avait cet honneur.« La famille Royer aura un bel avenir ! Elle deviendra une famille de premier ordre ! Nous sommes appréciés par la famille de Nolan ! » a dit M. Royer avec excitation.« Papi, si nous lisions les conditions ? Il faut respecter s
Louis a hoché légèrement la tête, sans dire un mot. Il s’est installé de nouveau à son siège.Il a regardé Christina du coin de l’œil et a soupiré dans son cœur. Si tu pouvais, si tu pouvais parler en ma faveur, ils changeraient d’attitude envers moi, n’est-ce pas ?Tu ne comprends pas pourquoi je me suis levé tout à l’heure ?Louis était troublé au fond du cœur, tandis que Christina ne comprenait pas ses propres idées non plus ! Elle avait surveillé en cachette Roxanne ces deux jours-là. La femme qui avait l’air pur et innocent, rappelant aux hommes leur premier amour, recevait chaque patient avec bienveillance. Elle avait le cœur brisé à cette vue !Dans ce cas-là, elle n’était pas capable de regarder Louis dans les yeux, ni de prendre son parti !On dit qu’une femme amoureuse n’a aucune raison. Mais quand elle était jalouse, c’était encore pire !Bien entendu, c’était aussi parce que Christina avait l’habitude de considérer Louis comme son propre bien depuis trois ans. Comment pourr
Il semblait que Christina s’apprête à abandonner ce gendre matrilocal, afin d’épouser un autre homme qui l’aiderait !À ce moment-là, Jacques avait l’œil extrêmement vigilant sur Christina.« Papi, tu vas laisser Louis faire n’importe quoi comme ça ? Sans doute, quelqu’un l’a incité à troubler notre plan ! Ainsi, la position de celle-ci ne sera pas affectée chez nous ! » a dit Jacques d’un ton implicite.M. Royer a lancé un regard froid à Jacques. Celui-ci s’est attaqué à Christina à ce moment crucial ! Il n’avait pas d’ambition !Néanmoins, Jacques avait peut-être raison. C’était éventuellement Christina qui avait poussé Louis en avant !À cet instant, M. Royer a pris garde de Christina au fond de son cœur. Il a jeté un coup d’œil à Louis spontanément, en disant froidement : « Louis, nous discutons d’une affaire sérieuse ici. Va-t’en si tu veux faire ton cinéma ! »« M. Royer, vous pensez que je plaisante ? Eh bien, je vous ai dit la vérité ! » a répondu Louis d’un ton distrait.« J’e