« Viens ici si tu en as la capacité, je veux voir à quel point tu es compétent. » Natalie a légèrement serré les dents. Quoi qu'il arrive, elle ne se laisserait pas ruiner par l’homme qui se tenait devant elle.« D'accord, on verra ! Lorsque mon identité sera confirmée, je veux que vous payiez ce prix ! » August était un peu étourdi, il sentait qu'il ne pourrait peut-être pas profiter de cette situation. Alors il ne pouvait que quitter l'entreprise avec un regard embarrassé.Dans le bureau du PDG, Natalie et Amanda se sont regardées avec consternation. Elles ne s'attendaient pas à ce qu'une telle chose se produise.« Mme Masson, que diable s'est-il passé ? Où est notre président ? Est-ce que quelque chose lui a arrivé ? » Amanda avait l'air inquiète. Louis n'était pas venue ces jours-ci et maintenant un soi-disant nouveau président arrivait.« Il devrait aller bien. » Natalie s'est sentie un peu coupable en ce moment. Elle a rapidement composé le numéro de Louis mais personne ne lui r
« Vous... » Le patron a paniqué pendant un moment, cet homme en face de lui était trop calme. Le fait était qu'un groupe de personnes ne pouvait pas le gagner, que pouvait-il faire maintenant ?« Tu... qu'est-ce que tu veux faire ? » a dit le patron, paniqué.« Parlez. Louis a dit légèrement. Si vous dévoilez l’identité de l’homme derrière cela, je peux toujours vous laisser vivre. Sinon, ne me blâmez pas au futur. » « Oui... » Le patron était couvert de sueurs froides et le jeune homme devant lui était si intimidant Puis il s'est penché en avant et a dit : « Ce... Monsieur, je vais vous dire tout ce que vous voulez savoir ! » « C'est une femme, une femme d'apparence riche qui nous a demandé de vous tuer. Elle n'a qu'une seule mission et c'est de vous détruire. Ce serait mieux de vous suicider, elle a dit. » « Me tuer ? a souri Louis. Est-ce que son nom de famille est Boucher ? » « Nous le ne savons pas, nous ne savons que suivre ses ordres mais j'ai une photo de cette femme, qui a
Suite à l'ordre de Téo, les rues nocturnes de la cité N sont soudainement devenues animées et des centaines de personnes étaient dans les ruelles pour chercher August.À ce moment, August est revenu à l'appartement de Sandra.Il était rare que Marianne ne revienne pas le tourmenter aujourd'hui, alors il était ravi de chercher Sandra.Mais cette fois, Sandra n’était pas si impatiente mais a spécialement préparé un dîner aux chandelles et les deux se sont embrassés en mangeant et en buvant.Bien que August voulait faire plus de chose avec cette femme mais à son avis, Sandra était entre ses mains, elle ne pouvait pas s’enfuir facilement.« Sandra, pourquoi ne n’ai-je pas su que tu avais un tel talent et que tu pouvais me servir si confortablement ? » August s’appuyait sur le canapé, plissant les yeux, tandis que Sandra se massait la tête.Laisser une belle femme se masser pour lui, cela le rendait beaucoup plus aisé.Bien que Sandra soit mécontente dans son cœur, elle souriait toujours po
La foule s’est éloignée et Téo est entré avec un regard diabolique. Après avoir regardé August de haut en bas pendant un moment, il a souri et a dit : « Oui, je veux de l'argent. Que diriez-vous de nous donner des dizaines de millions d’euros ? »« Je plaisantais avec vous, le prenez-vous vraiment au sérieux ? Vous cherchez de l'argent de ma part ? Savez-vous qui je suis ? » a reniflé August. Puisque ces personnes demandaient de l'argent, il était facile de dire que l'autre partie devrait connaître son identité. En tant que président de la société d'investissement de la famille Boucher, personne dans la cité N n'oserait le toucher.« Je me fiche de qui vous êtes ! Si vous ne me le donnez pas aujourd'hui, vous serez paralysé. Vous pouvez essayer de me désobéir » a froidement dit Téo et tout en parlant, il a donné un coup de pied à la table basse du salon.« Ah ! » a crié Sandra, tremblant de partout.« Tais-toi ! Si tu oses à nouveau faire un bruit, je vais te déchirer la bouche ! » Téo
« Louis... pourquoi es-tu ici ? » a demandé August.Louis ne lui a pas répondu mais Téo a froidement dit : « M. Boucher est mon patron, si vous ne le respectez pas, je vais vous tuer tout de suite ! » August a été surpris. Louis était-il le patron de cet homme ?Comment était-ce possible ? Était-ce une blague ?Comment pouvait-il employer autant de personnes pour y venir ? Surtout un misérable comme lui ?Comment by Service communication: Pour venir où ? Pas de sens, à reformulerÀ ce moment, August s'est levé avec colère, a pointé le nez de Louis et a dit : « Eh bien, Louis, tu oses trouver quelqu'un pour me menacer ! Sais-tu qui je suis ? Je suis le président de la société d'investissement de la famille Boucher ! À cause de toi, la famille Royer fera faillite demain ! » Sandra à côté de lui s'est également levée à ce moment, a regardé Louis et a dit : « Tu oses maintenant nous provoquer ? Je vais en parler à Christina et voir comment elle va te traiter ? Si elle te fait expulser
À ce moment, Sandra, qui était affalée sur le sol, était un peu abasourdie.Cette femme était très facilement soudoyée par l’argent, donc ce n’était pas difficile de la faire taire.Après les récents événements, elle a découvert quelque chose. Il semblait que Louis soit le patron de ce groupe de personnes. Mais... comment était-ce possible ? Il était un gendre sans valeur !Au cours des trois dernières années, chaque fois qu’elle allait chez la famille Royer, cet homme faisait toujours le ménage et, parfois, il s’est même chargé de laver ses chaussures et chaussettes.Mais... c’était en fait un grand patron ? Ce qui a complètement renversé l’esprit de Sandra...Et maintenant qu’elle connaissait son identité, est-ce qu’elle avait encore l’opportunité de survivre ?À ce moment, Sandra était vraiment terrifiée. Tous ces gangsters étaient impitoyables, s'ils voulaient vraiment faire quelque chose, elle n’avait aucun moyen de riposter.« Louis... M. Boucher... Sandra s’est agenouillée deva
Bureau du PDG.Natalie et Amanda étaient au bureau et, quand elles ont entendu le bruit de la porte, elles se sont tous les deux levées en même temps.En voyant la vieille femme devant eux, Natalie et Amanda étaient un peu nerveuses car l'aura de cette femme était très effrayante, donnant aux gens une très grande pression.Même si Natalie provenait d’une famille de moyenne aisance, elle était un peu terrifiée pour le moment. Sans parler d’Amanda qui est née dans une famille ordinaire, alors elle n'a tout simplement pas osé parler.Marianne a lancé un regard froid à Natalie et Amanda, son visage était glacial.Il s’est avéré que les secrétaires du président étaient assez charmantes, pas étonnant qu’August ne soit pas rentré la nuit dernière.« Qui êtes-vous ? C'est le bureau du président, comment pouvez-vous entrer avec désinvolture ? » Natalie s'est calmée et a dit avec un léger froncement de sourcils.Marianne a froidement regardé Natalie, avec du mépris dans les yeux : « Petite salop
« Bien que je ne sache pas qui est ton homme, ne t’inquiète pas, je ne suis pas intéressée par ton genre d’homme ! » Bien que Natalie ait été fortement giflée par cette femme et que le coin de sa bouche saignait, elle n'a toujours pas perdu sa répartie.À ce moment-là, Amanda ne pouvait plus se retenir. Elle savait que si cela continuait, Natalie serait probablement grièvement blessée.Mais elle n'a pas osé combattre la vieille femme en face d’elles, alors elle n'a pu qu’arrêter Natalie et a dit : « Natalie, arrête, laisse le président régler cela. Tu ne peux pas tout supporter seule, le président pourra tout régler... » « En agissant comme ça, qui pourra croire que tu ne louches pas sur mon homme ? a ricané Marianne. Puis elle a jeté un coup d'œil à Amanda et a dit : « Et toi, tu t'agenouilles aussi. Sinon, tu vas subir le même sort qu’elle ! » L'expression d’Amanda était ambiguë, mais voyant douloureuse de Natalie, elle n'avait d'autre choix que de s'agenouiller.Marianne était sa
Dans la boîte en bois, il y avait une montre de curiosité en acier. C’était la Rolex d’un grand renom.Cette montre avait défié le temps. Son cadran légèrement jauni portait une « couleur tropicale » agréable, tandis que son boîtier, malgré les vestiges des années, semblait tout neuf. Draco qui avait l’air fier, s’est mis à identifier la montre dans la hâte. Il a sorti une loupe pour l’examiner avec soin.Tandis que Louis, qui ne faisait que jeter quelques coups d’oeil à cette montre, avait l’air impassible. Évidemment, c’était Louis qui ressemblait plus à un professionnel.François ne cessait pas de hocher la tête et Florence avait les yeux illuminés. En général, la conduite de Louis était beaucoup plus élégante que celle de Draco, lequel ressemblait à un réparateur de montre.Cependant, Julien a poussé un ricanement à ce spectacle. « Ah, les jeunes d’aujourd’hui, vous ne savez que prendre de grands airs ! »Dans l’identification des antiquités, il fallait de la patience et de la min
Sur ces mots, Louis avait une faible contraction pupillaire. Il semblait que ce Draco ait une hostilité grave contre Louis.Comment by Service communication: Dilatation pupillaire ?Plutôt le contraire... Je ne connais pas la médecine et j’ignore scientifiquement si les pupilles se contractent ou se dilatent dans ce cas-là, mais c’est écrit comme ça.À cette idée, il a lancé un regard sur Florence. Cette femme était un désastre ! Elle ne faisait que lui apporter des ennuis.Florence, voyant que Louis l’a regardée, avait esquissé un sourire sur son visage de glace. Elle a fait un clin d’oeil à Louis, disant : « vous le méritez bien ».Louis a adressé un sourire amer. Il ne trouvait pas de mot.Néanmoins, à ce spectacle, Draco a serré spontanément les poings. Cet inconnu osait faire de l’oeil à sa sylphide en sa présence ? C’était vraiment insupportable !Julien observait du coin de l’oeil les gestes des jeunes. Il a poussé un soupir dans son coeur. Sur ce plan, son disciple ne concurre
Ce vieil homme s’appelait Julien Garcia, président de l’association des antiquités de la ville de N. La jeune fille était Florence, tandis que le jeune garçon s’appelait Draco Garcia, son disciple.À la vue de Julien, Louis n’était pas trop surpris. Julien jouissait d’une grande renommée dans le monde des antiquaires de N. Il était naturel qu’il vienne à cette exposition d’antiquités. D’ailleurs, il était un vieil ami de François, évidemment.Quant à son disciple Draco, il était amoureux de Florence à coup sûr. Il n’a pas pu détourner ses yeux de Florence depuis qu’ils étaient entrés.Quand Florence a vu Louis, elle a légèrement changé de couleur, ce qui a étonné Draco. Il avait le regard plein de vigilance en posant ses yeux sur Louis.Florence était une véritable beauté de glace. Elle restait impassible devant toute personne. Néanmoins, elle avait le regard beaucoup plus tendre en face de cet inconnu !Avant que Louis et Draco ne fassent connaissance, Draco avait déjà pris Louis pour
« Christy, il est ton époux en tout cas. Il faut que tu le rappelles à sa parole. Il doit s’agenouiller devant Jacques comme il a promis ! Sinon, vous serez tous les deux chassés dehors. Ce sera vraiment dommage », Zoé a fait la remarque à Christina avec « gentillesse ».Christina a dit d’un air froid : « Ça me regarde ? Il vient et s’agenouille comme il veut ! »« Mon Dieu, tu t’es déjà débarrassée de lui ? Christina, avant que tu ne sois la maudite vice-directrice, tu n’étais pas comme ça ! Maintenant, étant donné ta position sociale, tu as peur de perdre la face ? Ou tu n’es pas encore habituée à ton mari propre-à-rien depuis trois ans ? » Jacques s’est moqué d’elle : « Pourtant, tu ne penses pas à divorcer avec lui ! Ce mariage a été rangé par notre grand-mère ! Si on viole la dernière volonté de la défunte grand-mère, on offensera toute la famille Royer ! »Jacques avait bien réfléchi ces deux derniers jours. Il ne fallait pas que Louis, le bon à rien, divorce avec Christina ! L’e
Le lendemain, à l’Hôtel de N.C’était un jour de fête à N où aurait lieu une manifestation importante pour le grand monde. Aujourd’hui, la famille de Nolan, une famille de premier ordre de la capitale, organiserait une exposition d’antiquités.L’exposition présidée par la famille de Nolan ne se tenait pas facilement. On y verrait toujours des objets rares.L’essentiel était que l’exposition soit haute de gamme et que les gens ordinaires ne puissent pas y assister.Cette fois-ci, l’Hôtel de N avait suspendu toutes les activités commerciales depuis trois jours, de manière à bien préparer l’exposition. Aujourd’hui, à l’exception des familles et des sociétés invitées, l'accès à l'Hôtel N était interdit aux étrangers.Même les serveurs de l’hôtel avaient été soigneusement sélectionnés. Cela démontrait l’influence exercée par cette exposition sur N.Des voitures de luxe se garaient successivement sur le parking de l’Hôtel de N. Les personnes qui en descendaient étaient tous les VIP des mili
Grâce à la collaboration avec la Société d’investissement Boucher ? Au projet de centre commercial ?Ces aspects comptaient beaucoup aux yeux de la famille Royer, mais pour les de Nolan, ça ne servait à rien !Si la famille de Nolan accordait cette faveur à la famille Royer de ce fait, on la sous-estimerait !La raison pour laquelle la famille de Nolan prenait la famille Royer en considération, en lui apportant une lettre d’invitation, était très simple. C’était grâce à Louis ! Louis avait dit qu’il n’avait pas besoin de lettre d’invitation, mais une grande famille telle que de Nolan, ne négligeait pas les manières !Si ce n’avait pas été pour ça, la famille de Nolan aurait ignoré la famille Royer, qui ce soient les personnes envoyées chez cette première par cette dernière. La famille Royer, à titre de famille de deuxième ordre régionale, n’aurait pas eu le droit d’être un chien élevé par la famille de Nolan.Comment by Service communication: Comprends pas, que voulez-vous dire ? A ref
La main de M. Royer, laquelle tenait la lettre d’invitation, ne cessait pas de trembler. En apercevant l’homme qui s’éloignait, il n’arrivait pas à se calmer.Auparavant, la famille de Nolan avait organisé une exposition semblable à N. La famille Royer s’était servi des milliers de moyens pour y assister. Mais elle avait été méprisée comme un chien galeux par la famille de Nolan.C’était une douleur pour M. Royer et c’était pour cette raison qu’il souhaitait assister à cette exposition d’antiquités.Aujourd’hui, contre toute attente, la famille de Nolan lui avait apporté une lettre d’invitation. C’était vraiment un progrès considérable pour la famille Royer !Parmi toutes les familles de deuxième ordre à N, la famille Royer était la seule qui avait cet honneur.« La famille Royer aura un bel avenir ! Elle deviendra une famille de premier ordre ! Nous sommes appréciés par la famille de Nolan ! » a dit M. Royer avec excitation.« Papi, si nous lisions les conditions ? Il faut respecter s
Louis a hoché légèrement la tête, sans dire un mot. Il s’est installé de nouveau à son siège.Il a regardé Christina du coin de l’œil et a soupiré dans son cœur. Si tu pouvais, si tu pouvais parler en ma faveur, ils changeraient d’attitude envers moi, n’est-ce pas ?Tu ne comprends pas pourquoi je me suis levé tout à l’heure ?Louis était troublé au fond du cœur, tandis que Christina ne comprenait pas ses propres idées non plus ! Elle avait surveillé en cachette Roxanne ces deux jours-là. La femme qui avait l’air pur et innocent, rappelant aux hommes leur premier amour, recevait chaque patient avec bienveillance. Elle avait le cœur brisé à cette vue !Dans ce cas-là, elle n’était pas capable de regarder Louis dans les yeux, ni de prendre son parti !On dit qu’une femme amoureuse n’a aucune raison. Mais quand elle était jalouse, c’était encore pire !Bien entendu, c’était aussi parce que Christina avait l’habitude de considérer Louis comme son propre bien depuis trois ans. Comment pourr
Il semblait que Christina s’apprête à abandonner ce gendre matrilocal, afin d’épouser un autre homme qui l’aiderait !À ce moment-là, Jacques avait l’œil extrêmement vigilant sur Christina.« Papi, tu vas laisser Louis faire n’importe quoi comme ça ? Sans doute, quelqu’un l’a incité à troubler notre plan ! Ainsi, la position de celle-ci ne sera pas affectée chez nous ! » a dit Jacques d’un ton implicite.M. Royer a lancé un regard froid à Jacques. Celui-ci s’est attaqué à Christina à ce moment crucial ! Il n’avait pas d’ambition !Néanmoins, Jacques avait peut-être raison. C’était éventuellement Christina qui avait poussé Louis en avant !À cet instant, M. Royer a pris garde de Christina au fond de son cœur. Il a jeté un coup d’œil à Louis spontanément, en disant froidement : « Louis, nous discutons d’une affaire sérieuse ici. Va-t’en si tu veux faire ton cinéma ! »« M. Royer, vous pensez que je plaisante ? Eh bien, je vous ai dit la vérité ! » a répondu Louis d’un ton distrait.« J’e