Tout le monde a jeté un coup d'œil à la porte, en voyant que Luc portait un costume mince, avec ses cheveux coiffés de manière soignée, l'air énergique. À ce moment-là, il est entré avec une boîte-cadeau à la main et a souri.« M. Dubois, bonjour ! » Les jeunes ont crié de surprise.Immédiatement, il y avait de diverses acclamations dans le salon.Comparé à Louis, un gendre matrilocal, il était évident qu'un jeune talent comme Luc était plus reconnu et bien accueilli par la famille Royer.La chose la plus importante était que Luc puisse aider la famille Royer !Aux yeux de la famille Royer, Luc était en ce moment leur sauveur !Luc a souri et a salué les autres, il ressemblait à une star marchant sur le tapis rouge et tous ses comportements montrait qu’il était un homme puissant.« M. Royer, je suis venu ici sans votre invitation et je suis désolé de vous avoir dérangé, mais j'ai toujours été directe, alors je voudrais montrer ma sincérité ! » Luc avait un sourire déterminé sur son vi
D'un côté, Christina, qui était encore quelque peu confuse, se sentait un peu émouvante dans son cœur en ce moment.Hier, elle a estimé que les roses et le cœur de Prague étaient probablement envoyés par Luc, et maintenant que Luc Dubois l'a admis directement, c'était encore plus confirmé.De façon inattendue, Luc était un tel homme de paroles et d'actions. En plus des roses de Prague , et il a même préparé le cœur de Prague.Ce n’était pas facile à l’obtenir, donc il a dû le préparer depuis longtemps, n'était-ce pas ?Même si elle était une femme mariée, elle était très émue et timide en ce moment.« Hé, tu as vu ça ? L'expression de Louis est tellement drôle ! Il est complètement choqué ! Hahaha ! » À ce moment-là, Jacques s'est levé, a pointé dans la direction où se trouvait Louis et a ri.En entendant ses paroles, de nombreuses personnes ont également hué pendant un moment.En effet, le teint de Louis en ce moment était vraiment moche, pas à cause de quoi que ce soit d'autre, mais
La villa des Royer est tombée en silence en ce moment. Presque out le monde regardait Louis d’un air incroyable.Ce gendre matrilocal avait parlé d’un ton tellement sûr. Serait-il vraiment possible qu’il sache celui qui était choisi comme le nouveau président de la Société d’investissement de la famille Boucher ?Luc ne le croyait pas du tout. Il a ricané : « Eh bien, dis-nous alors, qui est le nouveau président de notre société ? »Louis, en pointant un doigt vers lui-même, a répondu lentement : « Le nouveau président de la Société Boucher, c’est moi. »Tout le monde, stupéfait, gardait le silence. On entendrait voler une moucheMais quelques secondes plus tard… « Vous ? Oh là là là! » Luc, après un moment d’étonnement, s’est mis à rire aux éclats en se tenant les côtes.Il a cessé de s’esclaffer avec beaucoup d’effort, puis il s’est tourné vers M.Royer : « Mon grand-père, je pensais que votre cher beau-petit-fils n’était qu’un bluffeur, en effet il est un conard pur! » A ses mots,
« Pas la peine de vous adresser à un idiot, Monsieur Dubois. Moi, je ne crois aucun mot de sa parole ! »A cette heure-là, Jacques, installé tout près, n’a pu plus retenir sa colère. Il a fait un pas en avant, arrachant le portable non-intelligent à Louis et l’a jeté par terre. Ensuite il l’a indiqué du doigt en maudissant : « Tu n’es qu’un gendre matrilocal et tu ne sais que fanfaronner tous les jours à la maison ! Tu parles d’une preuve ? Je te crache la preuve sur la tête ! »« Fous le camps sur le champ, il me dégoûte de rester avec toi au même endroit ! »« Comment la famille Royer aurait quelqu’un comme toi ! »« Quelle sale engeance! ! »Beaucoup de Royer se sont mis à se plaindre. Ils trouvaient que Louis ridiculisait trop fort leur famille.Il était impossible que Louis soit le nouveau président de la Société Boucher. Ils se doutaient de ça, bien sûr. Mais pour le moment, ils se sentaient quand même follement honteux, car Louis s’était joué d’eux comme des imbéciles.« Hélas.
Entendant la parole de Luc, M. Royer a frémi d’un battement de coeur. Oui, Luc avait raison. Si l’on laissait Louis continuer à faire du cinéma comme ça, la famille Royer serait véritablement détruite par ce gendre matrilocal. « M. Royer, comme vous êtes en soirée de famille ce soir, c’est pas un moment propice à l’effusion de sang. Alors, permettez-moi de donner une leçon à cette sale engeance ingrate pour vous! » S’avisant de l’intention de Luc qui était prêt à se bagarrer, M. Royer n’a fait preuve d’aucun désir de le retenir. Les autres Royer semblaient également rester en spectateurs indifférents. Ils méprisaient eux aussi Louis depuis longtemps et mourraient d’envie qu’il soit corrigé par Luc.Avec un rire vicieux, Luc a pris son élan en quelques pas. Par le biais d’un saut en l’air, il a essayé de donner un coup de pied à Louis au visage. Il s’était exercé dans un gymnase pour plusieurs années et il avait suivi des cours de taekwondo sous la direction d’un prétendu entraîneur
Quoi ?!Tout le monde en était ahuri. Qu’est-ce qui s’était passé ?Louis, ce bon à rien, n’avait fait que se lever le bras droit . Comment Luc Dubois était-il tombé de façon tellement embarrassée ?Ce propre-à-rien connaissait-il l’art martial en secret ?Ou encore, c’était tout à fait par hasard, comme un chat aveugle rencontre un rat mort ?Beaucoup penchaient vers cette dernière possibilité. On pouvait seulement dire que Luc n’avait pas de chance, du fait qu’il était flanqué par terre si facilement par Louis, lequel n’avait fait qu’un geste de bras !« Louis...Louis Boucher, tu vas voir ! » Luc, toujours couché par terre, s’est dressé un peu avec beaucoup de peine. Il a hurlé maintenant en pointant son index vers Louis : « Je te tuerai. Je veux ta peau. On verra bien ! »Tous regardaient Luc qui saignait du nez, puis ils ont tourné les yeux à Louis avec pitié.Ce pauvre gendre matrilocal n’aurait point de ressources. Luc, au contraire, était cadre de niveau intermédiaire dans la So
Téo Roussel, ce nom, une fois entendu, a pris les Royer présents par un hoquet de terreur .Ce Téo, c’était qui ? C’était un homme très reconnu par sa férocité parmi les bandes à N ! Combien de grandes familles cherchaient à le flatter sans néanmoins trouver des moyens ?Luc, futur gendre de la famille Royer, était en mesure de le faire venir ?C’était trop fort !Même M. Royer examinait Luc avec admiration. Il était énormément satisfait de ce futur beau-petit-fils.« Me faire ne plus voir le prochain lever du jour ? Très bien. », a dit Louis en souriant : « Alors j’en suis très curieux. Toi, qui seras ruiné et qui ne vaudras pas un sous, comment pourrais-tu... »« Ah ! Ah ! Ah ! Ce type est complètement malade. Monsieur Dubois est jeune et riche. Il a encore sur lui un chèque au porteur ! Il ne vaudrait pas un sous ? Il serait ruiné ? Est-ce que ce bon homme comprend en fin de compte ce que veut dire ruiner ? »« Hélas, les gendres matrilocaux d’aujourd’hui, ils ne font que regarder l
« Monsieur Dubois, que se passe-t-il ? », a demandé Jacques d’un ton un peu flatteur.Luc, dont l’esprit lui revenait, a menti en souriant : « Rien de grave. Le vice-président de la Société Boucher m’a invité à prendre un verre, mais vous voyez bien, je ne suis pas disponible pour le moment. On donne donc un autre rendez-vous, à demain. »Àses mots, les Royer se sont tous tremblés de surprise. Le vice-président avait invité Luc Dubois à prendre un verre ?Et celui-ci n’avait pas accepté de sorte que le rendez-vous avait été reporté à demain ?Quelle dignité et quel prestige!Les Royer n’ont pas pu se défendre de se grouper autour de Luc afin de lui complaire.A cette heure-là, des coups de frein se sont entendus à l’entrée principale de la villa. On apercevait que plusieurs fourgons noirs se sont arrêtés.Tout de suite après, les portes des fourgons se sont ouvertes. Une dizaine d’ hommes robustes, tenant des couteaux de cuisine et battes de base-ball à la main, en sont sortis.Parmi
Dans la boîte en bois, il y avait une montre de curiosité en acier. C’était la Rolex d’un grand renom.Cette montre avait défié le temps. Son cadran légèrement jauni portait une « couleur tropicale » agréable, tandis que son boîtier, malgré les vestiges des années, semblait tout neuf. Draco qui avait l’air fier, s’est mis à identifier la montre dans la hâte. Il a sorti une loupe pour l’examiner avec soin.Tandis que Louis, qui ne faisait que jeter quelques coups d’oeil à cette montre, avait l’air impassible. Évidemment, c’était Louis qui ressemblait plus à un professionnel.François ne cessait pas de hocher la tête et Florence avait les yeux illuminés. En général, la conduite de Louis était beaucoup plus élégante que celle de Draco, lequel ressemblait à un réparateur de montre.Cependant, Julien a poussé un ricanement à ce spectacle. « Ah, les jeunes d’aujourd’hui, vous ne savez que prendre de grands airs ! »Dans l’identification des antiquités, il fallait de la patience et de la min
Sur ces mots, Louis avait une faible contraction pupillaire. Il semblait que ce Draco ait une hostilité grave contre Louis.Comment by Service communication: Dilatation pupillaire ?Plutôt le contraire... Je ne connais pas la médecine et j’ignore scientifiquement si les pupilles se contractent ou se dilatent dans ce cas-là, mais c’est écrit comme ça.À cette idée, il a lancé un regard sur Florence. Cette femme était un désastre ! Elle ne faisait que lui apporter des ennuis.Florence, voyant que Louis l’a regardée, avait esquissé un sourire sur son visage de glace. Elle a fait un clin d’oeil à Louis, disant : « vous le méritez bien ».Louis a adressé un sourire amer. Il ne trouvait pas de mot.Néanmoins, à ce spectacle, Draco a serré spontanément les poings. Cet inconnu osait faire de l’oeil à sa sylphide en sa présence ? C’était vraiment insupportable !Julien observait du coin de l’oeil les gestes des jeunes. Il a poussé un soupir dans son coeur. Sur ce plan, son disciple ne concurre
Ce vieil homme s’appelait Julien Garcia, président de l’association des antiquités de la ville de N. La jeune fille était Florence, tandis que le jeune garçon s’appelait Draco Garcia, son disciple.À la vue de Julien, Louis n’était pas trop surpris. Julien jouissait d’une grande renommée dans le monde des antiquaires de N. Il était naturel qu’il vienne à cette exposition d’antiquités. D’ailleurs, il était un vieil ami de François, évidemment.Quant à son disciple Draco, il était amoureux de Florence à coup sûr. Il n’a pas pu détourner ses yeux de Florence depuis qu’ils étaient entrés.Quand Florence a vu Louis, elle a légèrement changé de couleur, ce qui a étonné Draco. Il avait le regard plein de vigilance en posant ses yeux sur Louis.Florence était une véritable beauté de glace. Elle restait impassible devant toute personne. Néanmoins, elle avait le regard beaucoup plus tendre en face de cet inconnu !Avant que Louis et Draco ne fassent connaissance, Draco avait déjà pris Louis pour
« Christy, il est ton époux en tout cas. Il faut que tu le rappelles à sa parole. Il doit s’agenouiller devant Jacques comme il a promis ! Sinon, vous serez tous les deux chassés dehors. Ce sera vraiment dommage », Zoé a fait la remarque à Christina avec « gentillesse ».Christina a dit d’un air froid : « Ça me regarde ? Il vient et s’agenouille comme il veut ! »« Mon Dieu, tu t’es déjà débarrassée de lui ? Christina, avant que tu ne sois la maudite vice-directrice, tu n’étais pas comme ça ! Maintenant, étant donné ta position sociale, tu as peur de perdre la face ? Ou tu n’es pas encore habituée à ton mari propre-à-rien depuis trois ans ? » Jacques s’est moqué d’elle : « Pourtant, tu ne penses pas à divorcer avec lui ! Ce mariage a été rangé par notre grand-mère ! Si on viole la dernière volonté de la défunte grand-mère, on offensera toute la famille Royer ! »Jacques avait bien réfléchi ces deux derniers jours. Il ne fallait pas que Louis, le bon à rien, divorce avec Christina ! L’e
Le lendemain, à l’Hôtel de N.C’était un jour de fête à N où aurait lieu une manifestation importante pour le grand monde. Aujourd’hui, la famille de Nolan, une famille de premier ordre de la capitale, organiserait une exposition d’antiquités.L’exposition présidée par la famille de Nolan ne se tenait pas facilement. On y verrait toujours des objets rares.L’essentiel était que l’exposition soit haute de gamme et que les gens ordinaires ne puissent pas y assister.Cette fois-ci, l’Hôtel de N avait suspendu toutes les activités commerciales depuis trois jours, de manière à bien préparer l’exposition. Aujourd’hui, à l’exception des familles et des sociétés invitées, l'accès à l'Hôtel N était interdit aux étrangers.Même les serveurs de l’hôtel avaient été soigneusement sélectionnés. Cela démontrait l’influence exercée par cette exposition sur N.Des voitures de luxe se garaient successivement sur le parking de l’Hôtel de N. Les personnes qui en descendaient étaient tous les VIP des mili
Grâce à la collaboration avec la Société d’investissement Boucher ? Au projet de centre commercial ?Ces aspects comptaient beaucoup aux yeux de la famille Royer, mais pour les de Nolan, ça ne servait à rien !Si la famille de Nolan accordait cette faveur à la famille Royer de ce fait, on la sous-estimerait !La raison pour laquelle la famille de Nolan prenait la famille Royer en considération, en lui apportant une lettre d’invitation, était très simple. C’était grâce à Louis ! Louis avait dit qu’il n’avait pas besoin de lettre d’invitation, mais une grande famille telle que de Nolan, ne négligeait pas les manières !Si ce n’avait pas été pour ça, la famille de Nolan aurait ignoré la famille Royer, qui ce soient les personnes envoyées chez cette première par cette dernière. La famille Royer, à titre de famille de deuxième ordre régionale, n’aurait pas eu le droit d’être un chien élevé par la famille de Nolan.Comment by Service communication: Comprends pas, que voulez-vous dire ? A ref
La main de M. Royer, laquelle tenait la lettre d’invitation, ne cessait pas de trembler. En apercevant l’homme qui s’éloignait, il n’arrivait pas à se calmer.Auparavant, la famille de Nolan avait organisé une exposition semblable à N. La famille Royer s’était servi des milliers de moyens pour y assister. Mais elle avait été méprisée comme un chien galeux par la famille de Nolan.C’était une douleur pour M. Royer et c’était pour cette raison qu’il souhaitait assister à cette exposition d’antiquités.Aujourd’hui, contre toute attente, la famille de Nolan lui avait apporté une lettre d’invitation. C’était vraiment un progrès considérable pour la famille Royer !Parmi toutes les familles de deuxième ordre à N, la famille Royer était la seule qui avait cet honneur.« La famille Royer aura un bel avenir ! Elle deviendra une famille de premier ordre ! Nous sommes appréciés par la famille de Nolan ! » a dit M. Royer avec excitation.« Papi, si nous lisions les conditions ? Il faut respecter s
Louis a hoché légèrement la tête, sans dire un mot. Il s’est installé de nouveau à son siège.Il a regardé Christina du coin de l’œil et a soupiré dans son cœur. Si tu pouvais, si tu pouvais parler en ma faveur, ils changeraient d’attitude envers moi, n’est-ce pas ?Tu ne comprends pas pourquoi je me suis levé tout à l’heure ?Louis était troublé au fond du cœur, tandis que Christina ne comprenait pas ses propres idées non plus ! Elle avait surveillé en cachette Roxanne ces deux jours-là. La femme qui avait l’air pur et innocent, rappelant aux hommes leur premier amour, recevait chaque patient avec bienveillance. Elle avait le cœur brisé à cette vue !Dans ce cas-là, elle n’était pas capable de regarder Louis dans les yeux, ni de prendre son parti !On dit qu’une femme amoureuse n’a aucune raison. Mais quand elle était jalouse, c’était encore pire !Bien entendu, c’était aussi parce que Christina avait l’habitude de considérer Louis comme son propre bien depuis trois ans. Comment pourr
Il semblait que Christina s’apprête à abandonner ce gendre matrilocal, afin d’épouser un autre homme qui l’aiderait !À ce moment-là, Jacques avait l’œil extrêmement vigilant sur Christina.« Papi, tu vas laisser Louis faire n’importe quoi comme ça ? Sans doute, quelqu’un l’a incité à troubler notre plan ! Ainsi, la position de celle-ci ne sera pas affectée chez nous ! » a dit Jacques d’un ton implicite.M. Royer a lancé un regard froid à Jacques. Celui-ci s’est attaqué à Christina à ce moment crucial ! Il n’avait pas d’ambition !Néanmoins, Jacques avait peut-être raison. C’était éventuellement Christina qui avait poussé Louis en avant !À cet instant, M. Royer a pris garde de Christina au fond de son cœur. Il a jeté un coup d’œil à Louis spontanément, en disant froidement : « Louis, nous discutons d’une affaire sérieuse ici. Va-t’en si tu veux faire ton cinéma ! »« M. Royer, vous pensez que je plaisante ? Eh bien, je vous ai dit la vérité ! » a répondu Louis d’un ton distrait.« J’e