J’ai perdu ma mère quand j’avais quinze ans , la période la plus dur de ma vie . J’étais tellement sous le choc de cette mort si prématuré que je n’avais pas pleuré , ce que j’ai fait c’est de mettre toutes ma tristesse et colère dans mon comportement, un mois après la mort de ma mère j’ai fait la misère à mon père , je le regrette encore aujourd’hui, j’avais arrêté l’école , je sortait tout les jours , les week-ends j’étais dans les boîtes de nuits et les soir de la semaine dans les bars , tous les plus huppé de Montréal après que je me suis bien amusé j’ai travaillé pendant un ans , j’étais tellement soûlé du travail que j’avais arrêté et j’ai recommencé ma vie de fête pendant un ans. Sa fait six ans que ma mère est morte , pendant trois ans je n’ai pas parler à mon père , je lui ai adressé la parole quand j’ai eu mes dix-huit ans et cela fait maintenant trois ans que j’ai repris une relation normal avec mon père .
J’ai étais une adolescente remplis de colère, j’en voulais beaucoup à mon père , beaucoup, pour moi c’était de sa faute si ma mère était décédé et sa je lui ai répété plusieurs fois pendant l’enterrement, je ne me rendais pas compte à quel point j’étais horriblement méchante, ce que je disais ne fessait que d’ajouter la peine qu’il avait déjà pour avoir perdu sa femme , si je pouvais retourné en arrière je l’aurais plus soutenu et pleuré ma mère .
Ma réconciliation avec mon père c’est fait quand j’ai appris qu’il était hospitalisé, le même jour j’ai appris qu’il avait fait un accident de voiture, j’étais encore une fois de plus brisé, j’ai remis la faute sur moi et la j’ai pleuré , j’étais dans le mal pendant trois mois , j’étais complètement triste je ne comprenais pas pourquoi ses choses là m’arrivais à moi c’était une descente aux enfers .
Un soir après son retour de l’hôpital j’ai eu une grande discussion avec mon père , je me suis rendu compte que j’avais tellement de choses à lui dire , tellement, tellement de choses, tellement de larmes , il fut un moment ou je n’arrivais pas à parler je pleurais seulement c’était comme ci mes mots coulaient à travers mes larmes .
Nous avons réussi à surmonter tout sa et mon père reste mon père et sa ne changera jamais !
Nous sommes touts les trois assis à table entrain de dîner comme prévu
Moi : papa j’ai eu le job
Papa : félicitations ma fille , je savais que tu allait l’avoir
Daniel : et pourquoi ?
Papa : parce que c’est ma fille voyons
Moi : papa ! Soit un peut modeste !! Sur un ton amuser
Papa: jamais quand t-il s’agit de mes enfants
Daniel : pff !!
Papa : et tu commence quand ?!
Moi : Demain matin, je stresse tellement
Papa : c’est pour quel entreprise ??
Moi : HUN and NAM
Papa : oh mais c’est une grande entreprise sa
Moi : oui , je stresse
Papa : mais non, tout va bien se passer, ne t’inquiète pas , tu va réussir
Moi : je ne suis qu’en période d’essai
Papa: et ils vont te garder, soit optimiste
Moi : je l’espère ..
Mon premier jour à mon poste c’est bien passé , sauf que je n’ai pu voir ni mon patron et ni son assistante , j’étais seul . Je communiquais seulement avec l’assistante de mon patron par mail ou au téléphone .
La journée n’a pas été stressante , je pense que parce que j’étais seul, personne derrière moi pour me stresser .
Cela fait maintenant une semaine que je travaille et tout se passe pour le mieux je n’ai toujours pas fait la rencontre de mon patron et son assistante et tant mieux j’ai toutes les instructions par mail ou par téléphone j’ai pris mes aisées dans mon bureau et j’aime beaucoup .
Nous sommes vendredi j’ai décidé qu’après le travail j’irai dîner dehors, cela va me faire nettement du bien car il y a tellement de choses à faire dans se bureau, sa me prend tellement la tête je suis la dernière à sortir de mon bureau dans mon étage .
Je suis parti dans un petit restaurant tranquille et reculés de la ville, dans ce restaurant on n’y trouve que les amants qui ne veulent pas être vu, certains hommes d’affaires qui aime la tranquillité. J’ai connu ce restaurant pendant ma période folle et j’ai tout de suite accroché j’y venais très souvent mais après m’être réconcilié avec mon père j’ai arrêté toute sortie, je me suis plus concentré sur ma vie de famille, enfin la vie avec ma famille donc mon père et mon frère.
J’étais tranquillement en train de siroter mon verre de cocktail tout en attendant mon repas quand un homme, grand de taille, ténébreux , ses muscles à transperce son pull, il était dans le teint métisse, barbu, bien taillé et les cheveux coupés a ras les yeux très sombre a en faire peur , un regard perçant, quand t-il pose ses yeux sur vous, c’est tellement déstabilisant, j’avais cette impression quand t-il avait ses yeux en forme amande posé sur moi . Je ne sais combien de temps il est rester ainsi à me fixé mais cela me semblait comme une éternité, avant qu’il me dise
- Bonsoir
Moi: ..
- Soufflant, je peut ?! Tirant la chaise pour s’asseoir
Moi : vous êtes déjà assis donc .. portant mon regard sur mon téléphone
- votre visage me semble familier
J’ai eu un air étonnée
- ne me regardez pas comme ça , si je vous le dis , mais je n’arrive pas à savoir où ..
Moi : ..
- est ce que vous et moi nous avons déjà couchée ensemble par le passé ?!
De toute ma vie on ne me l’avait jamais faite celle-là, il la sortie avec une telle sérénité, une telle confiance, en me fixant droit dans les yeux sans aucune gêne, avec cette expression faciale donc je n’arrive pas à décrypter
Moi : êtes vous normal ?! Vos pensées sont-elle lucide ?! Dise je en clignant des yeux
- Totalement !
Moi : je ne pense pas non, car je me souviens toujours de la personne avec qui je passe la nuit ! Sur ceux bonne soirée à vous !
- et votre plat ?!
Moi : payez le ! Me dirigeant vers la sorti
Je ne sais pas qu’est-ce qu’il fonctionne pas chez cet homme et sa m’est égal, je préfère le laisser et je vais continuer ma soirée chez moi en passant je vais acheter à manger dans un restaurant rapide et je mangerai tranquillement dans ma chambre .
Avant de dormir j’ai souvent tendance à regarder des vidéos de nous en famille qui se trouve dans mon ordinateur, de moi mama, papa et Danie, nous étions tellement une famille heureuse ou du moins peut-être que je ne le voyais pas mais nos parents nous montrait que les bons côtés de notre famille, quand je dis notre famille, c’est nous, c’est nous quatre .
Je les aime tellement ces trois personnes ils comptait tellement dans ma vie, ils compte toujours et aujourd’hui imaginer ma vie sans mon père et mon frère c’est comme si on me plantait un couteau en plein cœur sans que je puisse mourir, ils sont tous ce que j’ai .
Mon père est fils unique donc il n’a pas de frères et sœurs, ma mère elle a deux sœurs et un frère mais ils nous parle pas, je ne sais pas pourquoi depuis que nous sommes enfants, je ne m’attarde pas trop sur des problèmes qui ne sont pas les miens, je suis sur l’optique que si tu as des problèmes avec quelqu’un ne met pas l’enfant dedans car l’enfant ne vous a rien fait, mais bon nous n’avons pas toutes la même manière de penser de nos jours .
Mes grands-parents maternel sont morts, il me reste que ma grand-mère, la mère de mon père comment dire que cette femme c’est ma meilleure amie elle est là sans être là, quand je l’appelle elle répond elle est tellement forte ma grand-mère que penser qu’un jour elle ne sera plus c’est comme un rêve lointain.
Je me suis endormi le cœur lourd plein de souvenirs plein de pensées ô mère j’espère que tu me protège de là-haut, ô mère qu’est-ce que j’aimerais que tu sois là près de moi, ô mère pourquoi ne m’as-tu pas appris à vivre sans toi ?
Zut ! Je fais demi-tour à ma voiture empressant le pas car j’ai oublié mon sac à main, je suis en retard ce matin cela fait quelques tant que j’ai commencé et mon patron n’est toujours pas là, j’espère qu’il ne sera présent le jour où je suis en retard , la premier fois où je n’arrive pas à l’heure plus précisément. Arrivé à mon poste donc à mon bureau j’étais essoufflé à oui courir sur des talons c’est pas la mince affaire . Je me suis assise essoufflé , en essayant de reprendre des forces, et respirer à mon rythme . - mademoiselle COKER avez vous vu l’heure ?! dit une voix grave derrière moi Mince ! Je savais que ce genre de chose n’arrivais qu’à moi ! Je me suis exécuté en me levant et lui fessant face . Quand nos yeux se croisèrent j’ai cru tombé - Vous ?! Moi: .. - Suivez moi ! Dit -il Sur le ton autoritaire qu’il utilise à chaque foi
Je n’ai réussi à me concentré pendant toute la réunion, j’ai eu à faire des efforts sur humains . Après la réunion il ne m’a pas reparler de la bombe, il fessait comme si de rien était et s’occupait de ses affaires . Ken : aujourd’hui nous allons finir plus tard que prévu . Il se décide enfin de parler Moi : je ne suis pas payer pour des heures supp ! Protestant Ken : maintenant si ! Coupant J’ai voulu protesté Ken : fin de la discussion ! J’ai continuer ce que j’étais entrain de faire tout en boudant, oui en boudant parce que c’est tout ce que je peut faire . Quelques heures plus tard , je regarde l’heure sur l’horloge mural , il affiche vingt-une heure trente , on a toujours pas fini , tout ce que je veut a cette instant c’est de retrouver mon lit . Ken s’est levé et il est venu s’asseoir en face de moi , car j’étai
Quelques jours plus tard Je dois reprendre le travail aujourd’hui, et je stresse , je n’ai pas forcément envie de revoir Ken, après lu avoir raccroché au nez, je n’ai plus eu de nouvelle de lui et tant mieux ! Je respire beaucoup mieux , je vie bien et je pense que le message et bien passer . Aujourd’hui mon retour dans les bureaux. A mon arrivé dans le monde me regardai étrangement, en prenant l’ascenseur qui mène au bureaux j’ai croisé un collègue avec qui on se dit bonjour brièvement. Jason : Bonjour madame HUNNAM Moi : hun ?! Il a jeté un coup d’œil derrière lui et m’a regardé d’un air étonné devant mon air indescriptible. Je ne comprend pas c’est qui , qu’il appelle madame HUNNAM. J’ai voulu lui demandé qui est ce que il appelle ainsi quand trois autres personnes sont arrivé devant l’ascenseur en me saluant sous le nom de madam
Ken : allo Moi : .. Ken : Ella ?! J’ai craqué , j’ai fondu en larme Moi : pourquoi tu me fait sa ?! Pleurant Ken : .. Moi : laisse moi tranquille , je ne t’ai rien fait Ken : .. Moi : mon père m’a mise dehors, sans rien , il a appris pour le mariage, je ne sais où aller et que faire. Versant beaucoup plus de larmes. Je n’ai plus rien , il m’a tout pris .. Ken : Me coupant. Je suis là dans dix minutes Il a raccroché aussi vite Je suis rester à l’attendre dans le froid en espérant que mon père sorte de la maison pour me reprendre et me demander ma version des faits . Mes espoirs tombent a l’eau quand une Mercedes 4x4 noir est venu stationer devant moi . Sans un mots et un regard je suis monté côté passager
Après le départ de Franseca , j’ai trouver une pièce relis à la chambre qui sert de dressing, je ne pouvai laisser les portant au milieu du salon car Ken est un grand maniaque, je ne veut pas réveiller l’animal qui vie en lui . Je me suis permise de ranger mes affaires dans le dressing en prenant soins de ne pas toucher aux affaires de Ken . Y avais tellement de vêtements, le rangement m’a pris une heure ou deux, grâce à sa , cela m’a permis de penser à autre chose depuis que je suis ici . Je me suis écroulé de fatigue sur lit et je ne serais le dire comment je me suis en dormis . Dans mon sommeil j’ai senti des doigts caresser mes cuisses fessant des aller retour de haut en bas , avant même que je prenne conscience de ce qu’il se passe sa main était déjà arrivé sur le bas de mon ventre, j’ai bondi du lit à la seconde qui a suivi Moi: je vais prendre une douche . Dise je entrain de me diriger vers la salle de bain
Il est des jours de tristesse, et le jour des morts est le plus triste de tous . Que de souvenirs viennent assaillir notre cœur en écoutant les coches qu’ils entendent aussi je n’en doute pas , ceux que nous avons pleurés et que nous aimons toujours. La seul pensée qui puisse nous consoler de la pertes de tant d’êtres aimés de nos plus chères affections, c’est qu’un jour irons les rejoindre, dès demain peut-être , peut-être même aujourd’hui . Le manque d’une mère à cet instant , le fait de ne pas avoir ma mère à mes côtés , ne pas pouvoir lui raconter tout ce qu’il se passe dans ma vie actuellement, peut-être que si elle aurait était là je ne serais pas dans cette situation affreuse. Ma mère m’a dis un jour . Si quelqu'un te frappe, prends ses mains dans les tiennes, en lui disant, frère, je te plains de n'avoir de la raison qu'au bout des bras, que Dieu est pitié de toi. Elle était catégoriquement contre la violence , elle disait
Chapitre 9 Montant dans la voiture j’ai senti le regard de Ken sur moi, ce regard remplis de colère qu’il a souvent quand t-il pose les yeux sur moi . Ken : qui est-ce ?! Moi : une vielle ami Ken : comment la tu connu !? Moi : Ken ! Je l’ai regardé l’ai incrédule . Je peut avoir une vie sans forcément que tu y soit dedans ?! Même mon passé tu veut le contrôler e ?! Ken : tu la connu pendant ta période où tu fessait la salope ?! Dit-il sans gêne . Te pavaner dans tout les boites de nuit de la ville tout en étant mineur ?! Dancer sur le pool dance en maillot de bain, n’est ce pas ?! Je suis outrée , je ne sais quoi dire , je ne sais pas c’est quoi qui me choque le plus dans tout ce qu’il vient de dire , le fait qu’il m’est insulté de salope , qu’il connaissait mon passé , le passé que j’essaye de cache et oublié, à la lettre ,
Chapitre 10 Cela fait maintenant quatre jours que je suis seul à la maison sans aucune nouvelle de Ken depuis qu’il a déserté l’appartement après m’avoir battu . Je récupère petit à petit des coups, les trace sur mon coup commence à s’en allé, j’applique une pommade que j’avais acheté quand nous étions parti au centre commercial, qui m’aide beaucoup d’ailleurs, pour atténué la douleur et arrêter les marques rouge sur ma peau . Je voudrais que la vie avance et que tout soit effacé au fur et à mesure . Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme, l'espoir vaincu pleure, et l'angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. Les biens de la terre, loin de combler nos souhaits, ne font que creuser l'âme et augmenter le vide. Tous les chemins sont circulaires et qu'ils ne mènent pas quelque part mais à l'intérieur de soi, parce que l
Une semaine plus tard Une semaine que Ken ne me parle pas, il fait sa vie , ne mange pas nourriture, il fait des sorti avec Kemi sans moi , il sait comment me faire du mal et il y arrive . Je suis triste . Izu pends des nouvelle de temps en temps mais rien n’à changer nous sommes toujours pareils , il est présent physiquement mais il est ailleurs, son esprit n’est pas avec moi , il me remarque a peine , il ne pose même plus les yeux sur moi et sa me détruit à petit feu intérieurement. Le fait qu’il m’ignore complètement se voit à dix mille kilomètres et sa pour le plus grand bonheur de sa mère et ses cousines , dès qu’elles sont présentes elles me lance des pique ses vipères. La dernière chose que il m’a dites c’est « Kemi me suffit » J’étais tellement blessé, Ken pour te faire du mal il sait comment s’y prendre . Je dort plus souvent avec Kemi qu’avec lui,
Quelques jours plus tard Ken et moi nous sommes un peu sur notre nid douillet . Il est au petit soins avec moi , c’est comme une nouvelle personne, je me surprend à le regarder pendant son sommeil et me demander comment nous en sommes arriver là !? Il y’a de cela quelque mois mon seul but c’était de l’étouffer pendant qu’il dormait maintenant je me prend surprend à lui faire des bisous dans son sommeil, quand t-il part il me manque , j’ai constamment cette envie qu’il soit là près de moi, qu’il passe la journée avec moi et Kemi mais j’ai découvert un homme très occupé, apriori il est tout le temps à son travail, il essaye de faire quelque effort d’être avec nous les week-ends car même le week-end le travail l’appelle, je ne comprend pas . Avant de partir le soir comme prévu Yemisi ma ramener ma plaquette de pilule contraceptive, vu que il me restait juste un cachet j’ai jeté la plaquette dans la poubelle de la salle de bai
C’est aujourd’hui que je dois voir Izu et j’ai élaboré un plan parce que avec Mario et Tyran qui me suivent comme mon ombre par tout ou j’y vais c’est pas facile . J’ai pris Yemisi avec moi , nous sommes parti dans une Institut de beauté où l’accès au hommes est interdit , super le concept ! Une amie de Yemisi nous y attendait, je vais échanger de vêtements avec elle, elle va sortir de l’institut en même temps que moi , moi vêtu de ses vêtement et elle vêtu des miens comme ça si l’un des idiot l’arrête ils vont voir que ce n’est pas moi . Le plan c’est passer comme prévu, je me suis rendu au restaurant avec Izu et c’était super ! Je n’ai pas chercher à durée parce que le temps m’étais compté , sa fait du bien d’avoir un ami et notre relation est complètement platonique. Sans forcément rentré dans les détails je lui ai un peut expliquer ma situation avec mon mari et le fait que j’ai des changements d’
C’est une blague ?! Que fait elle ici !? Et pourquoi ?! Yemisi : Madame Gabriela, monsieur. Dit elle avant de s’éclipsé Elle avait la peau bronzé dû au soleil de Abuja peut être , elle était vêtu d’une mini robe comme à son habitude. Gabriela : je crois que je tombe à pique , bonsoir tout le monde y’a t-il une place pour moi ?! J’ai regardé Ken , sans même qu’il se soucis de quoi que soit il la permise de s’asseoir avec nous , d’accord , il vient de donner la permission à la fille qu’il couchait avant au du moins .. de s’asseoir dans la même table que sa femme .. Gabriela : Perles comment cava ?! Moi : je vais bien merci .. et toi ?! Gabriela: ca va .. qui l’aurait cru Ken et toi !! Moi : bah ouais .. Alexandra : Tu est super belle Perles , cela m’étonne que tu est
Chapitre 18 Quand j’ai ouvert mes yeux ce matin ses mains était autour de moi .. il était encore là , près de moi .. nous avons passé tout la nuit à se découvrir, nous découvrons chacun nos corps, la nuit dernière c’était étranger plus étrange que les autres fois oui car j’ai aimer , j’ai aimer chaque instant , chaque caresse , chaque baiser , ses lèvres sur ma peau j’en avais des frissons , qu’est-ce qu’il m’a fais ?! J’ai voulu me levé délicatement sans le réveillé Ken : ou va tu ?! Me tirant vers lui Moi : je .. je .. voulais voir Kemi .. Il a posé un bisous sur mon cou Moi : tu doit aller au travail .. Ken : je veut passé plus de temps avec toi .. Me retournant brusquement face à lui Il m’a embrassé, nous avons passé toute la moitié journée dans le lit à se faire des câlin des bisous , nous a
Chapitre 17 Moi : Tu n’avait pas à faire sa . Rentrant dans la chambre Ken : faire quoi ?! Moi : laisser ta mère comme ça en bas , elle va encore plus me haïr. C’est ta mère , quoi qu’elle dise ou fasse sa reste ta mère Ken : je le fessais pour toi Moi: et j’apprécie ton geste , mais je ne veut pas qu’elle pense que je te monte contre elle , j’ai déjà assez de problème je ne veut pas rajouter ta mère Ken: Je veut la paix chez moi , je n’aime pas ce genre d’histoire et sa ne passe pas , ni pour ma mère ni pour toi , me suis je bien fait comprendre ? Moi : oui .. Son téléphone c’est remis à sonner mais il ne voulait pas répondre Moi : Ken éteint ton téléphone Il a fait son bronché , il doit cacher quelque chose, pourquoi ne pas répondre devant moi où d
Chapitre 16 Je suis monter dans la chambre en reculant, le stress était palpable, j’ai envie de vomir , je suis entrain de faire crise, mon Dieu aide moi . En rentrant dans la chambre il était dos à moi . Ken : ou est était tu ?! Moi: .. Ken : OU ÉTAIT TU ?! J’ai sauté Moi : Ken .. soufflais je . J’étais .. j’étais parti prendre l’air .. Ken : PRENDRE L’AIR ?! Il c’est approché de moi d’une vitesse , ma attrapé par les cheveux. COMMENT SA SE FAIT QUE TU A SEMÉ MARIO ?! Moi: Ken s’il te plaît tu me fait mal .. Ken: TU ÉTAIT AVEC MEC C’EST SA ?! Moi : non , non ! Ken : SI J’APPRENDS QUE TU ETAIT AVEC UN AUTRE , ELLA JE VAIS TE TUE ! TE BURLE VIF ! Il m’a battu ce soir .. encore et encore. Je
- Pour faire des bêtises tu est le premier ! Le premier Kenny ! Tchip ! En plus tu est fier de ta bêtise ! Maman je te présente fian fian fian ! Il a passé ses mains sur son visage - Tu me déçois Kenny ! Beaucoup ! Je ne te comprends pas ! Pourtant tu m’avait présenté Gabriela Ken : Elle c’est présentée seul en tant que ma fiancée Je comprend beaucoup mieux les chose avec cette petite chipie ! Elle c’est retourner vers moi - Connait tu mon fils ?! Est ce que tu l’aime ?! Ou tu est là que pour sa fortune ?! Ken : Maman, tu laisse ma femme tranquille ! - J’ai besoin de savoir ! Se retournant vers Ken Ken : ne la bombarde pas de question comme ça ! C’est pas elle qui a choisi de m’épouser mais c’est moi qui a choisi de l’épouser Ah sa !
Je fessais les cent pas dans la chambre quand Ken est arrivé Ken : qu’est-ce qu’il y’a ?! Moi : rien Ken : dans ce cas là pourquoi as tu quitter la pièce comme ça ?! Moi : Tu comptait me le dire un jour pour ta fille ?! Ken : .. Il c’est assis dans le coin salon , à allumer son ordinateur portable Moi : Je ne comprend toujours pas , pourquoi vouloir m’épouser tant dis que tu as une famille ! C’est une mère que tu cherchait pour ta fille ?! Il m’a lancer un regard, ce regard là quand t-il est prêt à levé la main sur moi . Moi : je ne suis pas là pour sa ! Trouver toi une autre mère pour ta fille, je ne veut pas être sa mère ! Il a bondi du canapé en un quart de seconde il était arrivé face à moi , comme je m’étais préparé il m’a