Ces patrons se sont moqués de lui. Ingrid s’est mordu les lèvres et a regardé vers Laurent avec complexité. Ce jade correspondait bien à la couleur et à la gravure dans les documents. Pourquoi a-t-il dit que c’était faux ? Elle pensait que Laurent était différent. Mais après ce qui s’est passé aujourd’hui, elle le considérait aussi comme un bon à rien. Il était tout à fait normal que les autres le méprisaient, il prétendait toujours de savoir ce qui n’était pas à ses cordes. À ce moment-là, René et Lucas se sont regardés et ont souri. Cette personne était un bon à rien. Ils se sont vainement inquiétés. Tout à l’heure, René a fermement dit à Laurent comme s’il avait subi des calomnies, « La directrice du pavillon et ces patrons ont tous déniché l’authenticité de mon trésor. Ils sont des experts, non ? Mais tu as dit que c’est faux ? Exprime tes jugements tout de suite, sinon, je vais téléphoner à la police. » Cet homme a été perdu dans ce spectacle. À la
Justement à ce moment-là, une sirène a sonné. On a appelé la police ? René a sué de peur et a voulu échapper belle ! « Il veut échapper ! » « Arrête cette personne tout de suite ! » Ces patrons des antiquités se sont rapidement rendus compte en criant. Les employés dans leur boutique, après avoir entendu leurs cris, ont empêché René en l’appuyant par terre. « Merde ! Ce jade est factice, je me fais estamper par ce bâtard. » Lucas, feignant d’être une victime à cet instant, a craché sur René et a quitté. Mais, juste au moment où il allait quitter le pavillon des antiquités, un homme l’a empêché. C’était Laurent ! « Tu es fou ou quoi ? » Lucas avait l’air tout fâché. Les autres ont entouré ces deux personnes. Laurent a regardé René en souriant, « Pourquoi as-tu laissé arrêter ton compagnon ? » La mine de Lucas s’est pâlie, « Quoi ? » « Tu peux devenir un acteur avec tes intrigues. » Laurent a poussé un soupir en secouant la tête à l
Quelques policiers se sont précipités vers lui, exactement, ils ont arraché un masque à la figure de René. Il y avait un an, un commerçant riche, faisant des investissements dans la ville, avait été trompé par ces deux personnes et avait perdu une peinture valant presque de centaines de millions d’euros. Son supérieur a tenu cette affaire pour une importance, et il a ordonné à Margueritte de l’élucider. Mais ces deux escrocs étaient trop malins pour que Margueritte ne soit pas arrivée à trouver leurs traces pendant une année. À sa surprise, elle l’ont attrapés aujourd’hui ! Margueritte a tremblé d’excitation. Elle a accompli cette tâche méritoire ! Les patrons faisant des plaidoyers pour Lucas restaient la bouche bée. Ils savaient tous ce crime, mais à leur surprise, ces deux personnes étaient des criminels principaux. Et ils étaient tellement audacieux qu’ils ont cherché de tromper les Poiriers. En même temps, ils se sont tournés vers Laurent avec étonnemen
À vrai dire, elle s’inquiétait que ce salaire soit un peu inférieur à l’attente de Laurent. Mais c’était la somme maximale qu’elle pouvait lui donner. En même temps, le responsable, Marc, tenant debout derrière le rayon, a profondément respiré. Pourquoi ? Laurent pourrait toucher un salaire de cinquante mille euros ? Lui, il n’avait qu’un revenu de dix mille euros par mois ! Mais il a avoué que les connaissances sur le jade de Laurent étaient parfaites, alors, son désespoir a disparu, et il éprouvait des appréciations pour Laurent. « Bref... Si je ne dois pas venir travailler tous les jours, ça ira. » Laurent a réfléchi et a répondu avec un air confus. Laurent avait une mine embarrassée en entendant un tel salaire ? Il était fou dans son identité de gendre ? À ce moment-là, à la vue de ses gestes, Marc a été tout à fait étonné. Ingrid était contente, « Alors, c’est entendu. » Laurent a souri. En se rendant compte qu’il n’était pas tôt, il lui a d
Martin Richard ? Tout à coup, entendant ce nom, ces trois employés ont tremblé, l’un parmi eux même avait les jambes tremblant de hantise. Dans toute la ville, chacun connaissait son nom. Il pouvait faire la pluie et le beau temps ! Pourquoi était-il ici ? Il avait une relation avec Saphir ? « Vous pouvez cacher la vérité, mais si je connais que c’est votre intrigue, vous pourrez imaginer les conséquences. » À ces mots, l’homme à gauche a hâtivement dit : « Monsieur Richard... » Les deux autres se sont regardés, et puis ont hoché la tête. À ce moment-là, Laurent, assis sur le sofa, a souri. Quelques minutes après, Martin a fait sortir ces employés et a dit à Laurent : « Monsieur Travers, je sais ce qui s’est passé. » Laurent a souri et a frappé les épaules à Martin, « Très bien, Martin, mon ami, avec ta réussite dans le commerce, tu as plus de réputation. » « Monsieur Travers, sans votre aide, je ne pourrais pas réussir. » Martin a timidement sou
Il n’était pas d’accord ? Comme c’était amusant ! À ce moment-là, les Averie ont regardé Laurent comme s’il était un mongolien. « Qu’est-ce que tu as dit ? » La grand-mère s’est rembrunie avec colère. Laurent a souri avec mépris, et a dit clairement : « Vous n’avez pas remarqué la vérité de ce problème, mais ma femme doit souffrir de tous les reproches et elle sera destituée. Ce n’est pas juste du tout ! » La grand-mère avait tout à fait un air fâché en visant sur lui, « Qu’est-ce que tu as dit ? J’ai fait tort à Charlotte ? » Laurent, ayant évidemment confiance en lui, allait prendre la parole. Charles ne s’empêchait pas de hurler, il a frappé sur la table, « Mais tu t’es pris pour quelqu’un ? C’est dans la session de notre famille, oses-tu montrer du doigt ? As-tu le droit de mettre la décision de grand-mère en question ? » Laurent l’a regardé avec indifférence, « Je veux simplement que la grand-mère puisse prendre la décision après avoir dévoilé la vérité. Ar
À ce moment-là, tous ont été stupéfaits. « Mademoiselle Bonnet, qu’est-ce qui s’est passé ? » La grand-mère a été choquée et a demandé. Jacqueline n’a pas répondu, au contraire, elle a souri et s’est tourné vers Charles. À ce moment-là, Charles a tremblé avec panique. Quand Jacqueline a dit tout à l’heure qu’elle savait la vérité, il s’en est remis au hasard sur son bonheur. Mais à la vue du regard de Jacqueline, il se sentait tout à fait pâle. « Entrez ! » Jacqueline a doucement dit sur les trois personnes à la porte de la salle. À ces mots, les trois employés sont entrés en baissant la tête. À la vue de ces trois personnes, Charles a été paralysé, il a cherché de garder le sang-froid. « Dites la vérité maintenant. » Un de ces trois a levé la tête et a promené les yeux autour d’eux, et puis il a fixé Charles et a dit : « C’est lui, oui, c’est exactement Monsieur Averie qui nous a demandé de faire cela. » « Oui. Il nous a donné une somme d’ar
À la vue que Laurent avait légèrement hoché la tête, Jacqueline a doucement dit à la grand-mère : « Alors, d'accord. » La grand-mère s'est rassurée après ces mots. Tout irait bien si Jacqueline ne voulait pas rechercher la cause. Cependant justement à ce moment-là, Jacqueline a aggravé le ton : « Cela est fini. Mais j'ai quelque chose à ajouter. » « Dites-le-moi, Mademoiselle Bonnet ! », elle a répondu sans réfléchir. Jacqueline s'est dirigée vers Charlotte, a promené ses regards autour d'elle et puis a dit lentement : « Désormais, à propos de mes affaires professionnelles et d'autres choses, c'est tout à la responsabilité de Mademoiselle Charlotte Averie. Vous n'avez pas le droit de vous y mêler, je n'ai confiance qu'en elle. Vous comprenez ? » Quoi ? Tous ont été stupéfaits en entendant cela. C'est-à-dire Jacqueline s'est confiée à Charlotte, les autres Averies ne seraient pas dorénavants à la portée de ces affaires, même la grand-mère non plus. «