À vrai dire, elle s’inquiétait que ce salaire soit un peu inférieur à l’attente de Laurent. Mais c’était la somme maximale qu’elle pouvait lui donner. En même temps, le responsable, Marc, tenant debout derrière le rayon, a profondément respiré. Pourquoi ? Laurent pourrait toucher un salaire de cinquante mille euros ? Lui, il n’avait qu’un revenu de dix mille euros par mois ! Mais il a avoué que les connaissances sur le jade de Laurent étaient parfaites, alors, son désespoir a disparu, et il éprouvait des appréciations pour Laurent. « Bref... Si je ne dois pas venir travailler tous les jours, ça ira. » Laurent a réfléchi et a répondu avec un air confus. Laurent avait une mine embarrassée en entendant un tel salaire ? Il était fou dans son identité de gendre ? À ce moment-là, à la vue de ses gestes, Marc a été tout à fait étonné. Ingrid était contente, « Alors, c’est entendu. » Laurent a souri. En se rendant compte qu’il n’était pas tôt, il lui a d
Martin Richard ? Tout à coup, entendant ce nom, ces trois employés ont tremblé, l’un parmi eux même avait les jambes tremblant de hantise. Dans toute la ville, chacun connaissait son nom. Il pouvait faire la pluie et le beau temps ! Pourquoi était-il ici ? Il avait une relation avec Saphir ? « Vous pouvez cacher la vérité, mais si je connais que c’est votre intrigue, vous pourrez imaginer les conséquences. » À ces mots, l’homme à gauche a hâtivement dit : « Monsieur Richard... » Les deux autres se sont regardés, et puis ont hoché la tête. À ce moment-là, Laurent, assis sur le sofa, a souri. Quelques minutes après, Martin a fait sortir ces employés et a dit à Laurent : « Monsieur Travers, je sais ce qui s’est passé. » Laurent a souri et a frappé les épaules à Martin, « Très bien, Martin, mon ami, avec ta réussite dans le commerce, tu as plus de réputation. » « Monsieur Travers, sans votre aide, je ne pourrais pas réussir. » Martin a timidement sou
Il n’était pas d’accord ? Comme c’était amusant ! À ce moment-là, les Averie ont regardé Laurent comme s’il était un mongolien. « Qu’est-ce que tu as dit ? » La grand-mère s’est rembrunie avec colère. Laurent a souri avec mépris, et a dit clairement : « Vous n’avez pas remarqué la vérité de ce problème, mais ma femme doit souffrir de tous les reproches et elle sera destituée. Ce n’est pas juste du tout ! » La grand-mère avait tout à fait un air fâché en visant sur lui, « Qu’est-ce que tu as dit ? J’ai fait tort à Charlotte ? » Laurent, ayant évidemment confiance en lui, allait prendre la parole. Charles ne s’empêchait pas de hurler, il a frappé sur la table, « Mais tu t’es pris pour quelqu’un ? C’est dans la session de notre famille, oses-tu montrer du doigt ? As-tu le droit de mettre la décision de grand-mère en question ? » Laurent l’a regardé avec indifférence, « Je veux simplement que la grand-mère puisse prendre la décision après avoir dévoilé la vérité. Ar
À ce moment-là, tous ont été stupéfaits. « Mademoiselle Bonnet, qu’est-ce qui s’est passé ? » La grand-mère a été choquée et a demandé. Jacqueline n’a pas répondu, au contraire, elle a souri et s’est tourné vers Charles. À ce moment-là, Charles a tremblé avec panique. Quand Jacqueline a dit tout à l’heure qu’elle savait la vérité, il s’en est remis au hasard sur son bonheur. Mais à la vue du regard de Jacqueline, il se sentait tout à fait pâle. « Entrez ! » Jacqueline a doucement dit sur les trois personnes à la porte de la salle. À ces mots, les trois employés sont entrés en baissant la tête. À la vue de ces trois personnes, Charles a été paralysé, il a cherché de garder le sang-froid. « Dites la vérité maintenant. » Un de ces trois a levé la tête et a promené les yeux autour d’eux, et puis il a fixé Charles et a dit : « C’est lui, oui, c’est exactement Monsieur Averie qui nous a demandé de faire cela. » « Oui. Il nous a donné une somme d’ar
À la vue que Laurent avait légèrement hoché la tête, Jacqueline a doucement dit à la grand-mère : « Alors, d'accord. » La grand-mère s'est rassurée après ces mots. Tout irait bien si Jacqueline ne voulait pas rechercher la cause. Cependant justement à ce moment-là, Jacqueline a aggravé le ton : « Cela est fini. Mais j'ai quelque chose à ajouter. » « Dites-le-moi, Mademoiselle Bonnet ! », elle a répondu sans réfléchir. Jacqueline s'est dirigée vers Charlotte, a promené ses regards autour d'elle et puis a dit lentement : « Désormais, à propos de mes affaires professionnelles et d'autres choses, c'est tout à la responsabilité de Mademoiselle Charlotte Averie. Vous n'avez pas le droit de vous y mêler, je n'ai confiance qu'en elle. Vous comprenez ? » Quoi ? Tous ont été stupéfaits en entendant cela. C'est-à-dire Jacqueline s'est confiée à Charlotte, les autres Averies ne seraient pas dorénavants à la portée de ces affaires, même la grand-mère non plus. «
Ayant décroché le portable, Laurent s'est précipité vers le pavillon des antiquités en voiture. Une fois descendu, il a vu qu'une foule en effervescence entourait ici. Laurent s'est avancé, les autres patrons des antiquités étaient aussi présents. Les personnes ont vivement discuté. « C'est faux, cela ! » « Oui, oui, je peux remarquer cela à la première vue ! » Laurent est entré en se bousculant et a vu un homme chauve tenant debout au comptoir dans ses bras de qui languissait un vase multicolore en porcelaine. Évidemment, il a voulu vendre cela. Les autres étaient en train de distinguer le vrai du faux. Devant ce chauve, à part Ingrid et Marc, il y avait aussi un homme d'un certain âge. Cet homme en costume, portant des lunettes, était comme un maître. Il était justement le père d'Ingrid, Leclair Poirier, soit le dirigeant des Poiriers et le commerçant des antiquités le plus célèbre de toute la ville ! À ce moment-là, il a fixé sur ce vase. Il y avait a
Chloé, restant près d'eux, a aussi froncé les sourcils. Même si elle n'a guère parlé avec lui, Laurent appartenait toujours à sa famille. Elle perdrait la face s'il faisait des siennes ! À cet instant, Leclair a été choqué : « Tu es... le gendre des Averies ? » Avant qu'il rouvre la bouche, Ingrid s'est avancée vers lui et a doucement dit : « Papa, il est le spécialiste que j'ai invité ! » Quoi ? Tout le monde était au seuil d'éclater de rire, il était un spécialiste ? Il était un rebut et la famille des Averies avait hâte de le faire sortir, car il était bon à rien ! Mais Ingrid l'avait invité à examiner les antiquités ? À ce moment-là, Leclair a poussé un soupir et a regardé Laurent. Il a hoché la tête sans dire un mot. Ces dernières années, les affaires de la famille se reposaient sur Ingrid, sous les ordres de qui tout se déroulait couramment. Alors que sa fille a embauché cette personne, cela pourrait être en raison de son talent ? Bien que Laurent soit
Leclair a profondément respiré avec une mine complexe, et puis, il s'est tourné vers sa fille et a reproché : « Lui, c'est ton spécialiste invité ? » Avec des salaires si privilégiés ? Même si les Poiriers étaient riches, elle ne pouvait pas faire des prodigalités. Ingrid a regardé son père avec honte sans rien dire. Seulement ce chauve s'est éclaté de rire et a frappé l'épaule de Laurent, comme s'il avait vu un confident : « Mon frère, tu as de bons horizons ! Génial ! » Laurent a souri sans dire un mot. Leclair a fait la face et a regardé vers lui : « Pourquoi as-tu dit que cela coûtait un demi-million d'euros ? » Un demi-million d'euros ? Cela coûtait plus de cinq millions d'euros ! Si tu l'achetais, tu ferais fortune. Laurent a songé au fond du cœur et s'est raclé la gorge : « Oncle Poirier, rassurez-vous. Vous connaissez certainement, la princesse Wen Cheng, de la Chine. »Leclair, ayant hâte, a été bouleversé par ces mots en réfléchissant quelque c