Charlotte a entendu qu'il y avait la voix d'une jeune femme, de plus, cette voix était vraiment adorable. « Pourquoi il y a une autre femme ? » En y pensant, elle se sentait un peu déçue. Par la fenêtre, elle a vu claire que Léonard était couvert des bandages saignés, et qu'il recevait encore des perfusions, près de lui, il y avait encore des bouteilles de potion, c'était très mélancolique. Mais heureusement, il a survécu. Il avait pensé qu'il serait sans aucun doute voué à la mort. Après avoir subi des tels châtiments, même un jeune homme robuste ne pourrait pas survivre. Célia était assise près de lui en souriant. Quand il avait été envoyé à l'hôpital, son mari avait été sanglant et en péril de mort. Heureusement, leur fils connaissait Madame Garcia, la dirigeante de l'hôpital. C'était grâce à Inès sans l'aide de qui Léonard aurait été voué à la mort. Inès ne portait pas l'uniforme blanc en raison qu'elle ait terminé une journée de travail, alors, elle por
L'ambiance dans la chambre était aussi bizarre que stressante. Laurent, tenant debout, avait la mine sombre. Il avait pensé qu'elles voulaient simplement rendre visite à ses parents, mais elles y avaient jeté des troubles. Pendant ces trois années de mariage, elles n'avaient jamais vu ses parents, c'était la première rencontre, mais Annie avait versé des telles ironies. Annie avait fait cela, habituellement, Charlotte allait l'empêcher. Mais ce qui décevait plus Laurent, c'était que Charlotte ne faisait rien avec la mine sombre. « Laurent, oses-tu faire la tête devant nous ? » Annie a crié avec colère, « tu nous trouves irraisonnables ? » Laurent a souri avec plein de mépris : « Je n'ai pas dit cela, c'est vous qui l'avez dit. » « Elles sont irraisonnables ? Elles sont comme deux beaux diables ! » Annie a été irritée : « Laurent, n'as-tu pas la honte de trouver une maîtresse ? » Laurent ne voulait pas lui répondre. Léonard a repris la parole : « Sœur
Il a été déjà mécompris, alors, Laurent n'avait pas peur d'être attrapé par les Averie. En plus, Inès a beaucoup aidé dans la maladie de son père, mais elle avait reçu des injures d'Annie. Il faut la récompenser, ainsi, Laurent voulait dîner avec elle. « Laurent... ce n'est pas convenable. » Inès était honteuse en se mordant les lèvres. Tout compte fait, la belle-mère de Laurent s'était mise en colère, et ce soir-là, elle allait dîner avec lui, cela allait aggraver la situation. Laurent avait la mine calme : « N'aie pas peur, je te remercie simplement de ton aide. » En parlant avec elle, il a regardé cette fille. À vrai dire, Inès était vraiment une beauté à la fois mature et intelligente, quand elle se sentait timide, le charme s'est exhalé. Sous l'impulsion de Laurent, elle s'est mise d'accord. À ce moment-là, Charlotte est sortie de la salle de l'hôpital avec sa mère. « Tu dois te divorcer avec ce bon à rien », Une fois sortie, Annie a dit avec la col
Après avoir réfléchi, Charlotte a répondu : « Grand-mère, je devrais faire cela, tout compte fait, je suis jeune. » Elle se sentait paniquée en entendant les demandes de la grand-mère. Après sa réponse, les Averie ricanaient. « Halte-là, Charlotte. Tu vas faire des efforts ? Tu n'es pas aussi compétente pour guider la famille », Charles a ironisé. Les autres ont hoché la tête. Auparavant, elle n'avait été qu'une femme médiocre dans la famille, et tout le monde avait pu la critiquer. Tout d'un coup, elle est devenue la dirigeante des Averie, et les autres se sentaient injustes. Charlotte s'est mordu les lèvres : « Grand-mère, alors, qu'est-ce que vous voulez ? Je suis obligée de vous donner les actions ? » La grand-mère a souri : « J'ai fait confiance en toi, mais, tu n'es pas très compétente. En plus, tu es une fille, et tu ne vois pas aussi grand que les hommes, une grande famille comme nous ne devrait pas être guidée par une femme, n'est-ce pas ? » À ces m
Jusqu'à ce jour-là, Jacqueline n'avait rien à faire il y avait une semaine, et cela était défavorable pour la compagnie. C'était ridicule. Puisqu'elle était une vedette connue et qu'elle avait de nombreux de fans, pourquoi personne n'avait la coopération vers elle ? Laurent, le trouvant aussi complexe, voudrait revenir à la compagnie pour y voir claire. « Laurent, désolée, c'est à cause de moi que tu dois y revenir à scooter. » Inès était un peu désolée. Jusqu'à ce moment-là, elle ne savait pas pourquoi elle avait heurté la voiture contre la paroi sur la route. Laurent a souri avec l'aisance : « De rien, auparavant, je venais toujours à la compagnie à scooter. » En disant, Laurent a vu une place de stationnement. Alors, il s'y est dirigé pour placer son scooter. Une fois arrivé, il a entendu le portable sonner. Il a jeté un coup d'œil sur l'écran, c'était Ingrid. Il y avait simplement une phrase dans ce message : « Laurent, qu'est-ce que tu fais pendant
En entendant cela, Laurent a souri. Au cours de sa vie lycéenne, il avait eu la plus peur d'Anastasia. Elle lui avait donné toujours des leçons, pendant un examen, il avait été le dernier dans la classe, et elle lui avait giflé devant toute la classe. « Madame, vous étiez trop sévère quand j'étais lycéen », a dit Laurent. Anastasia a secoué la tête : « Dans la réunion des camarades, tu vois, toute la classe a réussi. Jacqueline est une star, James est le directeur d'Olive, et toi, n'as-tu pas l'envie d'eux ? » À ce moment-là, l'homme près d'Anastasia a éclaté de rire : « Laurent ? Tu es trop triste maintenant ! » En fait, quand cet homme était descendu de la voiture, Laurent l'avait trouvé peu ou prou familier. À cet instant, il s'est souvenu de lui, Félix Laurier, professeur de sport. Il courtisait sans cesse Anastasia. Laurent lui avait souvent fait des plaisanteries pendant la vie lycéenne. Mais pendant cette époque, Félix n'avait pas osé exprimer sa colère,
Laurent avait la mine clame : « C'est vous qui avez fait des vôtres. » « Dégueulasse ! » Félix a hurlé et a brandi les poings. Il avait été un professeur de sport, et il était toujours grand et robuste, il était facile de battre ce mec. Mais à cet instant, Anastasia l'a empêché : « halte-là. » En disant cela, elle était aussi énervée. Elle l'avait déjà aidé, mais, Laurent n'a rien fait, il n'a pas changé, il restait un garçon éhonté. Ensuite, elle se sentait un peu bizarre : Pourquoi Laurent a-t-il garé son scooter ici ? « Laurent, pourquoi es-tu ici ? Tu travailles ici ? » Anastasia lui a demandé. À la vue de ses vêtements, elle le prenait pour un employé inférieur. « Laurent, ne quitte pas ici sans dix mille euros », Félix a crié. « Il veut que je lui donne des leçons ? » Laurent a souri, et ne lui a pas répondu. Juste à ce moment-là, le portable d'Anastasia a sonné. Elle portait un jean, et son téléphone était dans sa poche, cela a gro
Mais à leur surprise, Hélène, sur des hauts talons, s'est dirigée près de Laurent et s'est inclinée. « Désolée, monsieur. » Elle a sué de stresse. En guise de secrétaire, elle devait s'occuper de toutes les affaires de la compagnie, y compris les parkings. Autrefois, lors de l'entretien de Jacqueline, il y avait eu un accident ; ce jour-là, avant de l'entretien d'Anastasia, cet accident s'est reproduit. « Même si le directeur est toujours gentil, il pourrait se mettre en colère ! » « Monsieur ? Hélène l'appelle monsieur ? » À ce moment-là, tout le monde a été stupéfait, quelques employées autour de la foule ont aussi eu la bouche bée. Le silence planait en l'air, tous ont été paralysés. « Ce mec à scooter est le directeur de Saphir ? Incroyable ! » « Madame Privet, il est le directeur de votre compagnie ? » Félix avait la mine complexe, « vous vous êtes sans aucun doute trompée. » Hélène lui a jeté un coup d'œil : « En tant que secrétaire, je connais