Il a été déjà mécompris, alors, Laurent n'avait pas peur d'être attrapé par les Averie. En plus, Inès a beaucoup aidé dans la maladie de son père, mais elle avait reçu des injures d'Annie. Il faut la récompenser, ainsi, Laurent voulait dîner avec elle. « Laurent... ce n'est pas convenable. » Inès était honteuse en se mordant les lèvres. Tout compte fait, la belle-mère de Laurent s'était mise en colère, et ce soir-là, elle allait dîner avec lui, cela allait aggraver la situation. Laurent avait la mine calme : « N'aie pas peur, je te remercie simplement de ton aide. » En parlant avec elle, il a regardé cette fille. À vrai dire, Inès était vraiment une beauté à la fois mature et intelligente, quand elle se sentait timide, le charme s'est exhalé. Sous l'impulsion de Laurent, elle s'est mise d'accord. À ce moment-là, Charlotte est sortie de la salle de l'hôpital avec sa mère. « Tu dois te divorcer avec ce bon à rien », Une fois sortie, Annie a dit avec la col
Après avoir réfléchi, Charlotte a répondu : « Grand-mère, je devrais faire cela, tout compte fait, je suis jeune. » Elle se sentait paniquée en entendant les demandes de la grand-mère. Après sa réponse, les Averie ricanaient. « Halte-là, Charlotte. Tu vas faire des efforts ? Tu n'es pas aussi compétente pour guider la famille », Charles a ironisé. Les autres ont hoché la tête. Auparavant, elle n'avait été qu'une femme médiocre dans la famille, et tout le monde avait pu la critiquer. Tout d'un coup, elle est devenue la dirigeante des Averie, et les autres se sentaient injustes. Charlotte s'est mordu les lèvres : « Grand-mère, alors, qu'est-ce que vous voulez ? Je suis obligée de vous donner les actions ? » La grand-mère a souri : « J'ai fait confiance en toi, mais, tu n'es pas très compétente. En plus, tu es une fille, et tu ne vois pas aussi grand que les hommes, une grande famille comme nous ne devrait pas être guidée par une femme, n'est-ce pas ? » À ces m
Jusqu'à ce jour-là, Jacqueline n'avait rien à faire il y avait une semaine, et cela était défavorable pour la compagnie. C'était ridicule. Puisqu'elle était une vedette connue et qu'elle avait de nombreux de fans, pourquoi personne n'avait la coopération vers elle ? Laurent, le trouvant aussi complexe, voudrait revenir à la compagnie pour y voir claire. « Laurent, désolée, c'est à cause de moi que tu dois y revenir à scooter. » Inès était un peu désolée. Jusqu'à ce moment-là, elle ne savait pas pourquoi elle avait heurté la voiture contre la paroi sur la route. Laurent a souri avec l'aisance : « De rien, auparavant, je venais toujours à la compagnie à scooter. » En disant, Laurent a vu une place de stationnement. Alors, il s'y est dirigé pour placer son scooter. Une fois arrivé, il a entendu le portable sonner. Il a jeté un coup d'œil sur l'écran, c'était Ingrid. Il y avait simplement une phrase dans ce message : « Laurent, qu'est-ce que tu fais pendant
En entendant cela, Laurent a souri. Au cours de sa vie lycéenne, il avait eu la plus peur d'Anastasia. Elle lui avait donné toujours des leçons, pendant un examen, il avait été le dernier dans la classe, et elle lui avait giflé devant toute la classe. « Madame, vous étiez trop sévère quand j'étais lycéen », a dit Laurent. Anastasia a secoué la tête : « Dans la réunion des camarades, tu vois, toute la classe a réussi. Jacqueline est une star, James est le directeur d'Olive, et toi, n'as-tu pas l'envie d'eux ? » À ce moment-là, l'homme près d'Anastasia a éclaté de rire : « Laurent ? Tu es trop triste maintenant ! » En fait, quand cet homme était descendu de la voiture, Laurent l'avait trouvé peu ou prou familier. À cet instant, il s'est souvenu de lui, Félix Laurier, professeur de sport. Il courtisait sans cesse Anastasia. Laurent lui avait souvent fait des plaisanteries pendant la vie lycéenne. Mais pendant cette époque, Félix n'avait pas osé exprimer sa colère,
Laurent avait la mine clame : « C'est vous qui avez fait des vôtres. » « Dégueulasse ! » Félix a hurlé et a brandi les poings. Il avait été un professeur de sport, et il était toujours grand et robuste, il était facile de battre ce mec. Mais à cet instant, Anastasia l'a empêché : « halte-là. » En disant cela, elle était aussi énervée. Elle l'avait déjà aidé, mais, Laurent n'a rien fait, il n'a pas changé, il restait un garçon éhonté. Ensuite, elle se sentait un peu bizarre : Pourquoi Laurent a-t-il garé son scooter ici ? « Laurent, pourquoi es-tu ici ? Tu travailles ici ? » Anastasia lui a demandé. À la vue de ses vêtements, elle le prenait pour un employé inférieur. « Laurent, ne quitte pas ici sans dix mille euros », Félix a crié. « Il veut que je lui donne des leçons ? » Laurent a souri, et ne lui a pas répondu. Juste à ce moment-là, le portable d'Anastasia a sonné. Elle portait un jean, et son téléphone était dans sa poche, cela a gro
Mais à leur surprise, Hélène, sur des hauts talons, s'est dirigée près de Laurent et s'est inclinée. « Désolée, monsieur. » Elle a sué de stresse. En guise de secrétaire, elle devait s'occuper de toutes les affaires de la compagnie, y compris les parkings. Autrefois, lors de l'entretien de Jacqueline, il y avait eu un accident ; ce jour-là, avant de l'entretien d'Anastasia, cet accident s'est reproduit. « Même si le directeur est toujours gentil, il pourrait se mettre en colère ! » « Monsieur ? Hélène l'appelle monsieur ? » À ce moment-là, tout le monde a été stupéfait, quelques employées autour de la foule ont aussi eu la bouche bée. Le silence planait en l'air, tous ont été paralysés. « Ce mec à scooter est le directeur de Saphir ? Incroyable ! » « Madame Privet, il est le directeur de votre compagnie ? » Félix avait la mine complexe, « vous vous êtes sans aucun doute trompée. » Hélène lui a jeté un coup d'œil : « En tant que secrétaire, je connais
Il faisait beau, mais Charlotte n’était pas contente et avait l’air chagrin. Cela faisait une semaine que Laurent n’est pas rentré, il n’y avait aucune nouvelle sur lui. Charlotte voulait lui téléphoner, mais une fois qu’elle a pensé à la scène dans la chambre d’hôpital, elle était mal à l’aise. « Comme un homme, pourquoi est-il si mesquin ? » « Pourquoi est-elle obligée de lui téléphoner ? » « Laisse tomber. » En y pensant, ennuyée encore, Charlotte est entrée dans le hall de la société. Une fois entrée, elle a trouvé quelque chose d’anormal. Les employés à l’accueil se sont assis pour bavarder comme s’ils ne la voyaient pas au lieu de la saluer avec respect comme avant. Charlotte a froncé les sourcils. Pourraient-ils remettre en état de travail à cause du week-end ? Elle n’a pas prêté attention à cette petite faute et est allée directement vers le bureau. Mais sur son chemin vers le bureau, des dizaines d’employés se sont assemblés par deux ou trois pour bavarder en sourian
« Je suis chassée de la famille Averie juste comme ça ? » Elle avait le cœur glacé ! A ce moment, Charlotte a enfin senti son cœur glacé ! Les paroles de la grand-mère des Averie ont planté son cœur comme un couteau. Les larmes dans les yeux, les forces manquaient à Charlotte, elle a tenu le sac et est sortie vite de la société avec les larmes qui perlaient. Le lendemain après-midi, Charlotte s’est assise sur le salon avec les yeux rouges de pleur. « Que peut-on faire ? Comment peut-on vivre désormais ? » a dit Annie en poussant un soupir. « Maman, ne t’inquiète pas, je vais trouver des moyens pour gagner de l’argent », a dit Charlotte à voix basse. « Gagner de l’argent ? Trouver des moyens pour gagner de l’argent ? » Annie était très impatiente : « Quelle compétence spéciale as-tu ? Il n’est pas facile de gagner de l’argent. Qu’est-ce qu’on peut faire en comptant sur le salaire de trois ou quatre mille chaque mois ? » C’était vrai, on ne faisait rien en comptant sur si peu de