Laurent avait la mine clame : « C'est vous qui avez fait des vôtres. » « Dégueulasse ! » Félix a hurlé et a brandi les poings. Il avait été un professeur de sport, et il était toujours grand et robuste, il était facile de battre ce mec. Mais à cet instant, Anastasia l'a empêché : « halte-là. » En disant cela, elle était aussi énervée. Elle l'avait déjà aidé, mais, Laurent n'a rien fait, il n'a pas changé, il restait un garçon éhonté. Ensuite, elle se sentait un peu bizarre : Pourquoi Laurent a-t-il garé son scooter ici ? « Laurent, pourquoi es-tu ici ? Tu travailles ici ? » Anastasia lui a demandé. À la vue de ses vêtements, elle le prenait pour un employé inférieur. « Laurent, ne quitte pas ici sans dix mille euros », Félix a crié. « Il veut que je lui donne des leçons ? » Laurent a souri, et ne lui a pas répondu. Juste à ce moment-là, le portable d'Anastasia a sonné. Elle portait un jean, et son téléphone était dans sa poche, cela a gro
Mais à leur surprise, Hélène, sur des hauts talons, s'est dirigée près de Laurent et s'est inclinée. « Désolée, monsieur. » Elle a sué de stresse. En guise de secrétaire, elle devait s'occuper de toutes les affaires de la compagnie, y compris les parkings. Autrefois, lors de l'entretien de Jacqueline, il y avait eu un accident ; ce jour-là, avant de l'entretien d'Anastasia, cet accident s'est reproduit. « Même si le directeur est toujours gentil, il pourrait se mettre en colère ! » « Monsieur ? Hélène l'appelle monsieur ? » À ce moment-là, tout le monde a été stupéfait, quelques employées autour de la foule ont aussi eu la bouche bée. Le silence planait en l'air, tous ont été paralysés. « Ce mec à scooter est le directeur de Saphir ? Incroyable ! » « Madame Privet, il est le directeur de votre compagnie ? » Félix avait la mine complexe, « vous vous êtes sans aucun doute trompée. » Hélène lui a jeté un coup d'œil : « En tant que secrétaire, je connais
Il faisait beau, mais Charlotte n’était pas contente et avait l’air chagrin. Cela faisait une semaine que Laurent n’est pas rentré, il n’y avait aucune nouvelle sur lui. Charlotte voulait lui téléphoner, mais une fois qu’elle a pensé à la scène dans la chambre d’hôpital, elle était mal à l’aise. « Comme un homme, pourquoi est-il si mesquin ? » « Pourquoi est-elle obligée de lui téléphoner ? » « Laisse tomber. » En y pensant, ennuyée encore, Charlotte est entrée dans le hall de la société. Une fois entrée, elle a trouvé quelque chose d’anormal. Les employés à l’accueil se sont assis pour bavarder comme s’ils ne la voyaient pas au lieu de la saluer avec respect comme avant. Charlotte a froncé les sourcils. Pourraient-ils remettre en état de travail à cause du week-end ? Elle n’a pas prêté attention à cette petite faute et est allée directement vers le bureau. Mais sur son chemin vers le bureau, des dizaines d’employés se sont assemblés par deux ou trois pour bavarder en sourian
« Je suis chassée de la famille Averie juste comme ça ? » Elle avait le cœur glacé ! A ce moment, Charlotte a enfin senti son cœur glacé ! Les paroles de la grand-mère des Averie ont planté son cœur comme un couteau. Les larmes dans les yeux, les forces manquaient à Charlotte, elle a tenu le sac et est sortie vite de la société avec les larmes qui perlaient. Le lendemain après-midi, Charlotte s’est assise sur le salon avec les yeux rouges de pleur. « Que peut-on faire ? Comment peut-on vivre désormais ? » a dit Annie en poussant un soupir. « Maman, ne t’inquiète pas, je vais trouver des moyens pour gagner de l’argent », a dit Charlotte à voix basse. « Gagner de l’argent ? Trouver des moyens pour gagner de l’argent ? » Annie était très impatiente : « Quelle compétence spéciale as-tu ? Il n’est pas facile de gagner de l’argent. Qu’est-ce qu’on peut faire en comptant sur le salaire de trois ou quatre mille chaque mois ? » C’était vrai, on ne faisait rien en comptant sur si peu de
Laurent s’est avancé. En un instant, beaucoup d’employés ont retenu le souffle et ont prié secrètement pour ce garçon. Ce garçon allait perdre son travail puisque le président l’avait vu jouer au téléphone. « Qu’est-ce que tu regardes ? » Laurent lui a demandé en souriant à côté du garçon. M. le président ? Le garçon a tremblé de terreur en entendant la voix de Laurent et a failli de faire tomber son téléphone, il s’est levé et a balbutié : « Bonjour, M. le président. » Hein ? Laurent a été attiré par l’écran du téléphone. Il y avait une femme sur l’écran qui était en train de faire le live streaming, elle était belle et charmante, tout homme serait son passionné lorsqu’il a vu une belle comme elle. Dans le studio du live streaming, malgré des dizaines de personnes, l’ambiance était bonne et tout le monde l’a flattée. « Tu es très belle. » « Tu chantes très bien. » « Ma déesse, tu as besoin d’un assistant ? » Regardant l’écran, Laurent ri jaune, cette déesse était sa femm
« Comment faire ? » Charlotte a mordu les lèvres et ne savait pas quoi faire se tenant debout. Quelque chose s’est passé, ce qui a rendu tous stupéfaits ! Un fan a offert des cadeaux follement dans le studio en direct, il s’agissait de deux mille ballons dirigeables qui ont fait un éclat dans le studio. Deux mille ballons dirigeables valaient deux millions d’euros ! ! Le studio en direct était en effervescence ! Il était extrêmement riche de donner des cadeaux de deux millions d’euros ! Charlotte a frissonné d’excitation et a fixé le nom : Traverser. « Tu n’as pas besoin de faire d’autres choses, si tu es heureuse, tu peux chanter. » Après avoir offert des cadeaux, Traverser a envoyé un message. Aîné de Mer de l’Est s’est tu. Voyant le message de Traverser, Charlotte se sentait très émue, quand elle était sur le point de le remercier, Traverser a quitté le studio. « Boum, boum. » En ce moment, on a sonné à la porte, la voix d’Hélène a retenti de l’extérieur : « M. le prési
« C’est vrai ? Bon, je vais me changer. » Ingrid était contente. Il avait pensé depuis longtemps à l’Amour de Cristal. Elle avait envié l’Amour de Cristal à Charlotte. Elle aurait voulu demander Charlotte pour l’aide de lui acheter une paire à double prix. Mais malheureusement, Charlotte ne savait pas qui lui a offert les chaussures. Se remontant, Ingrid est allée à la chambre et est sortie, elle était vêtue d’un jean et un T-shirt, élégante et jolie. Leclair a hoché la tête en souriant et puis tous les deux sont sortis du salon. Une BMW s’est arrêtée à la porte. Voyant les deux, un bel homme est descendu de la BMW, vêtu d’un costume bien fini. « Oncle Leclair, Ingrid. » L’homme les a salués avec modestie. « Sidoine Barthez ? Pourquoi tu es ici ? » Ingrid a froncé légèrement ses sourcils et a éprouvé de l’antipathie. L’homme s’appelait Sidoine Barthez, sa famille a fait des affaires de bijoux et il a couru après Ingrid. « Notre papa m’a demandé de venir », Sidoine a dit avec
Leclair a ricané et a donné un signe de regard à Sidoine. Le dernier a tout de suite compris et s’est avancé à grand pas : « Oh, n’es-tu pas gendre de la famille des Averies ? ! » Sidoine a dit en embrassant la taille d’Ingrid : « Ingrid, pourquoi tu le salues, il est gendre vivant chez sa femme ! » Ingrid a trépigné de colère : « Qu’es-ce que tu fais ? Laurent, ne comprends pas mal. » Sidoine avait un visage épanoui : « Ingrid, tu as peur de quoi il comprend mal ? » En parlant, il a regardé Laurent : « Garçon, tu me connais ? Ecoute bien, je m’appelle Sidoine Barthez, et nous faisons les affaires de bijoux, les cinq boutiques nommées Bijoux de Barthez sont à nous ! Je te dis, j’aime Ingrid, éloigne-toi d’elle. » Oh, c’était sa famille qui a ouvert les boutiques de bijoux. Pas étonnant qu’il soit si arrogant. Laurent a ri et l’a ignoré. En ce moment, l’enchère a commencé et les gens y sont entrés. Sidoine a ri et a toisé Laurent des pieds à la tête : « Comme c’est ridicule ! G