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Chapitre 182

Il semblait qu’il n’était pas si dégoûté d'épouser cette femme...

Yolaine a senti les regards d’Enzo, elle a changé rapidement de sujet.

Elle a regardé Hugo qui était allongé sur le lit et a dit d’un ton grave : « Cela ne fait vraiment pas mal maintenant. Mais quand l'anesthésique perde de son efficacité, tu pleureras. Quand tu as mal, tu sauras que l’accident de voiture est effrayant ! Hugo, si tu veux me chercher la prochaine fois, tu peux m'appeler et je viendrai te chercher ! Si tu sors secrètement de la maison comme aujourd'hui, je ne te reverrai plus jamais ! »

Elle l’a dit mot à mot et elle était très sévère.

Hugo a pleuré et s'est plaint : « Tante Yolaine, je n'ose plus... Tu me manques tellement que je ne peux pas m'en empêcher. Je veux que tu me serres dans tes bras et m'embrasser... »

Il a ouvert grand ses yeux, il était misérable comme un chiot abandonné.

Yolaines a fléchi, elle a baissé la tête et l'a embrassé sur son front.

En regardant cette scène, Enzo a froncé les sou
Chapitre verrouillé
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