Share

Chapitre 829

Aucun d’entre eux n’a prononcé un mot, l’image d’eux mangeant du pain en s’asseyant sur le sol était extrêmement pitoyable, ils n’avaient jamais été aussi misérables auparavant.

La nuit, il pleuvait. Les néons de la cité étaient flous, comme si la nuit a avalé tout ce qu’il y avait de beau et heureux.

Dans le bureau d’Albert, seul une lumière jaune éclairait la pièce. Maléo venait de finir son rapport sur les enquêtes qu’il avait menées. Albert a fermé le dossier dans ses mains et a demandé : « Qu’est-ce que monsieur Gendron a dit ? »

Maléo a répondu : « Monsieur Gendron voudrait céder au deuxième rang pour sauver son fils, mais à mon avis, c’est un choix trop risqué, il est probable qu’ils refusent de libérer Aubéron. »

Il était presque sûr que Morand a détenu Aubéron. En tout cas, la livraison était interrompue par la police, et George s’est enfui, même Morand ne savait pas où était George. Du coup, la façon la plus sûre pour Morand était d’enlever Aubéron pour contrôler Julien.

Albe
Chapitre verrouillé
Continuer à lire ce livre sur l'application

Related chapter

Latest chapter

DMCA.com Protection Status