Chapitre 319

Il ne serait certainement pas banal pour ce gamin de grandir.

L'odeur de nouilles qui flottait dans ses narines a en fait rendu le vieil homme affamé.

Poema a remarqué quelque chose et lui a passé son bol, ses yeux brillants étaient pleins d'innocence et de beauté : « Arrière-grand-père, veux-tu des nouilles ? »

Le vieil homme s'est arrêté. Il venait de gronder cette petite fille dans l'après-midi, alors elle était toujours prête à le laisser manger des nouilles ?

Le vieil homme s'inquiétait beaucoup, il a toussé et a détourné le visage : « Ne crois pas que je puisse te pardonner si tu es comme ça. »

Poema a baissé la tête et a remis le bol avec une expression déçue : « L'arrière-grand-père ne nous aime pas, nous le savons. »

Le vieil homme avait un air féroce et un regard furieux : « Pourquoi je ne t'aime pas... »

« Si vous voulez manger, il y en a encore dans le pot. Si vous ne le mangez pas, oubliez-le. » Déotille l'a interrompu sans lui accorder de faveurs.

Le vieil homme : « ... »