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Chapitre 318

Les yeux de Poema étaient rouges et elle ne parlait pas.

Orphée a serré Poema dans ses bras pour la réconforter et a fixé le vieil homme : « Nous n’avons pas besoin de manger ce que la mauvaise femme nous donne. »

Pour eux, toute femme qui voulait priver leur maman de leur papa était une mauvaise femme.

Même si Béatrice était déçue, elle avait toujours un regard indulgent : « Grand-père, ça ne fait rien, ne blâmez pas les enfants. »

Cette petite salope, elle lui donnerait une leçon dans le futur.

Le vieil homme a frappé violemment la table avec un air choqué : « Je ne suis pas ton grand-père, ni ton père. Ils osent te gâter, mais je me débarrasserai de vos mauvais comportements. »

« Excuse-toi auprès de tante Véran ! »

Orphée et Poema étaient évidemment effrayés par son aura, mais ils ont gardé des visages têtus et ont refusé de s'excuser.

Déotille a regardé la vieille dame avec des yeux hostiles : « Nous n'avons pas besoin de nous excuser auprès d'elle. »

M. Kolia était sur le point d
Chapitre verrouillé
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