Le poste de police à Brozie.« Monsieur le policier, vous vous êtes trompés. Comment mon fils a-t-il pu être impliqué dans le trafic de drogue ? » « Oui, monsieur le policier, vous avez dû vous tromper. Mon fils est encore si jeune. Il est impossible qu’il puisse mettre les pieds dans ces choses. » Élise et Mme Leroy ont été prises de panique. L’arrestation de Kevin à cause du trafic de drogues était beaucoup plus grave que le blanchiment d’argent de Luc !Kevin était le seul héritier de la famille Leroy. À l’avenir, il devrait prolonger la lignée familiale et perpétuer le nom des Leroy. S’il allait en prison, il laisserait un enregistrement après quelques années. Quelle fille oserait se marier avec lui ?Le policier qui rédigeait la déposition orale les a regardés et a dit d’un air sérieux : « Il a déjà une vingtaine d’années. Il est encore jeune ? Nos gens ont trouvé de la drogue dans son sac et maintenant, nous avons déjà reçu la notification. Il va prendre au moins cinq ans de pr
Elle leur avait déjà donné une chance. C’était la famille Leroy avait insisté pour la forcer. Ils étaient capables d’utiliser de la drogue pour la faire épouser Gérôme Dumont. Ils avaient même essayé de manière flagrante de voler Buccellati sans aucune honte et avaient répandu des rumeurs sur Internet pour la salir. Pour l’amour de son père, elle avait aidé son oncle à sortir du poste de police malgré les soupçons précédents. Mais, ils n’ont pas dit un mot de remerciement et avaient même la tête haute. Ils avaient dit qu’elle avait le sang froid ? Alors elle aurait le sang-froid jusqu’au bout.« Isabelle, tu es aussi de la famille Leroy. Tu ne portes pas assistance à ton cousin en danger ? » Mme Leroy a cessé de parler gentiment.« Oui, non seulement je refuse de le sauver mais, je dois aussi lui donner une leçon. De plus, n’avez-vous aucune responsabilité dans la situation de mon cousin ? Vous l’avez gâté aveuglément. Il s’est égaré et mérite ce qui lui arrive. Je ne peux tout simpl
Les yeux d’Albert se sont légèrement rétrécis, son père a-t-il perdu la tête ?« Donne-le à Maloé. » Albert a fait signe à Maloé de le prendre et Maloé a pris la boîte de nourriture dans sa main : « Sœur Béatrice, donnez-le-moi s’il vous plaît. » Béatrice n’a rien dit. Puis elle a regardé Albert et a dit avec un sourire : « Est-ce que tu vas sortir ? » « Sœur Béatrice, monsieur Brunerie vient voir sa petite femme. » Maloé a rapidement parlé et après avoir fini, Albert lui a lancé un regard froid.Une froideur a traversé les yeux de Béatrice. « Petite femme ? Est-ce cette mademoiselle Leroy ? Albert la prend vraiment au sérieux » A pensé Béatrice.« As-tu autre chose ? » Albert a regardé sa montre comme s’il était vraiment pressé.Béatrice a secoué la tête en souriant. Il n’a rien dit d’autre et est parti. Et quand Maloé est passé devant elle, il a dit en souriant : « Sœur Béatrice, ne vous fâchez pas, il a juste hâte de voir sa femme. » Après avoir fini de parler, Maloé a poursuivi
Aubéron avait dit avant qu’il jouait dans un film sur les bijoux et quand il était venu, il avait également expliqué que l’équipe voulait à l’origine utiliser de faux accessoires mais, il pensait que ce serait impossible de montrer le sens de la réalité aux gens. Donc, il avait donc besoin de vrais bijoux.Actuellement, l’équipe n’avait pas autant d’argent à investir dans l’utilisation de vrais bijoux comme accessoires. Alors Aubéron avait l’intention de les payer lui-même. « C’est aussi une façon de faire de la pub pour moi. Ne puis-je pas être heureuse de gagner de l’argent ? » Isabelle a dit en souriant : « D’accord ! Alors, nous allons demander à la personne responsable de les livrer à votre équipe. » « Merci beaucoup. » Aubéron a hoché la tête et est parti avec ces gens après avoir pris rendez-vous.Isabelle a rangé le reçu de la commande, s’est retournée et a vu Albert assis sur le canapé à côté, les bras croisés, se sentant lésé et très en colère.Isabelle a fait une pause, a
Et Élise s’est levée et a pris une photo de Cérise avec son téléphone portable : « Attends, j’envoie ton look misérable à mon beau-frère ! » Lorsque Cérise a entendu cela, elle s’est levée rapidement, lui a serré la cuisse et a dit : « Ma sœur, je sais que j’avais tort, s’il te plaît ne le dis pas à Sébastien. Tu ne veux pas que les deux frères se retournent l’un contre l’autre à cause de notre affaire n’est-ce pas ? »« Peuh, tu mérites bien tout ce que tu as fait. Quand mon beau-frère saura comment sa femme effrontée a dragué son frère aîné, je verrai comment tu feras avec lui ! » Élise ne l’a pas du tout écoutée et a voulu envoyer la photo.Lorsque Cérise s’est levée, elle lui a sauté dessus et a essayé de pousser son téléphone portable. Le téléphone portable d’Élise est tombé et elle est tombée en serrant Élise.« Bang ! » La tête d’Élise a heurté le coin de la table.« Ma sœur, je t’en supplie, je t’en supplie. Ce n’est vraiment pas de ma faute, c’est... » Avant qu’elle ne finiss
Élise a été découverte après être tombée du bâtiment et elle est morte sur le coup. Mme Leroy et Sébastien se sont tous les deux rendus au poste de police pour participer à l’enquête.À l’origine, l’emprisonnement de son petit-fils Kevin avait déjà porté un coup à Mme Leroy. Mais, maintenant qu’Élise avait sauté du bâtiment, Mme Leroy s’est évanouie.Albert a accompagné Isabelle à l’hôpital. Sébastien, Luc et sa fille Émeline étaient là.Au moment où Émeline a vu Isabelle, elle était tellement en colère qu’elle l’a attrapée par le col et a crié : « C’est de ta faute. Tu as forcé ma mère à sauter du bâtiment. C’est de ta faute ! »Les yeux d’Albert sont devenus froids et après avoir repoussé Émeline, il a tendu les bras pour protéger Isabelle : « Ne jette aucun blâme à Isabelle. » « C’est évidemment elle. Elle a fait emprisonner mon frère et la mort de ma mère est aussi de sa faute. C’est un diable ! » « Émeline, pas de bêtises ! » Luc a tiré Émeline derrière lui, a souri et a dit à A
Le lendemain au bureau de la Justice.Gilles a rapporté le rapport d’autopsie à Isabelle en disant : « Ceci est le résultat de l’autopsie. Cela montre qu’elle n’est pas morte à cause du saut. Elle a été poussée du bâtiment par quelqu’un d’autre après sa mort. Selon la lividité cadavérique au dos, à la partie frontale du cadavre et selon les taches et l’usure des vêtements, on peut dire que la défunte a été traînée après la mort. » C’était évident qu’elle était tombée du bâtiment après la mort et c’était un homicide. Isabelle a regardé le rapport d’autopsie, ses yeux se sont enfoncés. Elle a cru que la blessure mortelle était sur la tête. Isabelle a ensuite demandé : « Le meurtrier a-t-il laissé des traces ? »Gilles a hoché la tête : « On a retrouvé des traces de peau sous les ongles de la défunte et l’ADN est toujours en cours d’extraction. » Voyant Isabelle regarder le rapport d’autopsie en silence, Gilles a regardé l’heure : « Alors, ça va ? Je dois d’abord remettre le rapport d’
Au moment où elle a vu les policiers, Cérise est devenue pâle et elle a baissé la tête, n’osant pas regarder les deux policiers qui passaient. Elle a ensuite pensé :« Heureusement, ils n’ont rien trouvé. » « Papa, est-ce que mamie va bien ? » Vivian n’a pas remarqué l’étrangeté de sa mère. Alors, elle s’est avancée pour poser la question à son père.Sébastien lui a répondu avec un air froid : « Entre et reste avec ta grand-mère. » Vivian est entrée dans la salle.Sébastien a regardé Cérise : « Après que quelque chose comme ça se soit produit, tu ne rentres pas à la maison. Qu’as-tu fait récemment ? » Cérise a réprimé la panique dans son cœur et a dit sans changer de visage : « J’ai trouvé du travail... En plus, vous ne m’avez pas téléphoné. » C’était vrai qu’hier personne ne l’avait prévenue et comme son visage était encore enflé, comment aurait-elle pu oser se montrer ?Sébastien ne l’a pas remise en cause et a dit : « Entre et reste avec maman. » Cérise a forcé un sourire et es