« C’est parce que vous n’avez aucun respect pour moi. En plus, vous ne m’avez jamais pris comme votre petite-fille. Pourquoi attendez-vous que j’aie une attitude aimable avec vous ? »Depuis sa naissance, sa grand-mère ne s’est jamais occupée d’elle, parce qu’elle préférait des garçons. Quand elle était jeune, elle était innocente, mais elle se souvenait encore des mots durs qu’avaient lancés sa grand-mère à sa mère pendant leur visite de Noël.Sa mère était indifférente à la froideur de sa grand-mère. C’était pourquoi sa grand-mère a dit qu’elle était comme sa mère.Bien sûr, elle a cru que la raison pour laquelle sa mère s’est moquée de sa grand-mère était l’affaire d’adultère entre son père et Cérise. « Isabelle, tu ne peux pas parler avec ta grand-mère sur ce ton. » Cérise a voulu plaire à sa belle-mère.« Je n’ai dit que la vérité. » a dit Isabelle avec les bras croisés. « C’est impossible que je renonce à la présidence de Buccellati. Même si ce n’est pas dans le testament de m
Albert a plissé les yeux, « On n’a rien à craindre, tout le monde sait que tu es ma femme. »Bien sûr que tout le monde le savait, il a rendu la nouvelle publique.Isabelle a rejeté sa main, et a dit d’un ton sérieux : « Il faut qu’ils continuent de ne pas me considérer comme ta femme ! »Elle ne voulait pas que tout le monde la prenne toujours comme Mme. Brunerie.Les yeux d’Albert se sont assombris.Elle a essayé d’éviter des moments intimes avec lui en prétendant qu’elle voulait être prise comme ce qu’elle était, mais Albert a cru qu’elle n’aimait pas présenter leur intimité en public.Avait-elle honte de lui ?Elle a senti que la main sur son bras s’est resserrée, et s’est aperçue de son regard chaud. Elle était nerveuse.Elle avait peur qu’il lui baise les lèvres devant les employés, ce serait terrible !Son ton s’est adouci, elle a dit d’une voix faible et basse : « Ne fais pas ça en public, je veux dresser une image sérieuse dans l’entreprise… »Albert s’est figé, il a cru qu’el
Isabelle a regardé attentivement la photo. Liville était en fait derrière sa mère, il semblait qu’ils étaient ensemble, mais pas vraiment.S’ils étaient en couple, ils auraient dû être plus proches, mais ils n’avaient pas l’air intime, on dirait que Liville avait du respect envers sa mère.Quelle est la relation entre eux ? Se demandait Isabelle.Albert a fermé l’ordinateur.Elle s’est tournée vers lui et a dit d’un ton surpris : « C’est tout ? »Il a posé son bras sur le dos du canapé et s’est approché d’elle, « Donne-moi un baiser et je te dirais. »« Laisse tomber, je vais rechercher moi-même. »Isabelle s’est levée et s’est apprêtée à sortir, mais Albert l’a tirée contre soi.Elle est tombée sur sa poitrine, c’était gênant…« Albert, c’est vrai qu’on est dans ton bureau, mais tu ne peux pas faire n’importe quoi… »Isabelle a essayé de le repousser, mais il l’a encore serrée. Il semblait qu’il n’allait pas la lâcher.En voyant son visage rouge, Albert a haussé les sourcils, « N’impo
« Vous parlez de la famille Besson, c’est ça ? » En voyant qu’Isabelle le savait déjà, il a hoché la tête et a enchaîné : « Je crois que ce serait mieux que je te raconte tout sur elle quand tu seras plus libre. »« Isabelle, s’il te plaît, ne reproche pas à ta mère certaines de ses décisions. Elle t’aimait beaucoup. Elle avait prévu que tu ne mènerais pas une vie heureuse auprès de la famille Leroy, c’est la raison pour laquelle je suis apparu dans ta vie. »Liville a accompagné Isabelle à la porte, puis elle est montée dans la voiture et est partie.Non loin d’eux, Vivian qui l’avait suivie a pris une photo devant la maison de Liville. En voyant la photo affichée sur l’écran, elle a éclaté d’un rire vicieux. Elle a finalement réussi à avoir quelque chose sur elle.Dans la maison des Leroy. Cérise est entrée dans la chambre vêtue d’une robe séduisante, mais Sébastien était endormi, elle était insatisfaite.Depuis que sa mère a parlé de Madelaine la nuit dernière, son mari ne la désir
« Ne te fais pas tromper pas elle ! » a ajouté Vivian.Pour elle, il avait été séduit par Isabelle, une femme allumeuse qui cherchait à attraper les cœurs des hommes.Le visage d’Isabelle était indifférent, comme si on parlait de quelqu’un d’autre.Albert lui a demandé avec un sourire sur le visage en touchant son menton : « Est-ce que c’est vrai ? »Isabelle : « … »Cependant, aux yeux des autres, Albert n’était pas du tout en colère.Isabelle a poussé un soupir, « Oui, je suis restée une heure dans sa maison. »Vivian n’avait pas prévu qu’elle soit démasquée si facilement de son ‘‘affaire d’adultère’’, mais elle a enchaîné : « Voilà, c’est vrai. »« Tu as fait quoi dans sa maison ? »« Tout ce qu’on voulait faire. » a répondu Isabelle avec un sourire sur le visage.Les personnes autour ont retenu leur souffle, la tension est montée entre eux.Albert l’a portée sur ses épaules en plissant les lèvres.« Tu fais quoi, Albert ! Lâche-moi ! Espèce de connard ! » s’est écriée Isabelle d’un
Elle a dû prononcer des mots comme ça !Isabelle est revenue d’un air calme dans son bureau, heureusement qu’il soit parti.« Isabelle ! »Une fois qu’elle s’est retournée, Giada a sauté sur elle, « Oh là là, tu es partie de Buccellati et tu ne me l’as pas dit ! »Giada l’a relâchée, puis elle s’est approchée d’elle, « J’ai senti une odeur de parfum d’homme chez toi. »Isabelle était nerveuse en entendant ses mots, elle a détourné son regard : « Ah bon ? »« Oui ! » Giada s’est encore approchée d’elle en fronçant les sourcils, « Parfum Gucci, c’est un parfum un peu familier, c’est celui d’Albert ! »Isabelle l’a repoussée : « As-tu le nez d’un chien ? Pourquoi es-tu ici ? »« Ça faisait longtemps qu’on ne s’est pas vues, je ne te manque pas ? Oh là là, tu n’as plus besoin de moi maintenant que tu as un petit ami. » a dit Giada en croisant les bras.Isabelle s’est assise devant son bureau, « Dit celle qui a raccroché mon appel pour prendre un repas avec un homme. »« C’était un arrangem
Elle a même gagné le cœur d’Albert. Plusieurs attaques de sa fille contre elle ont finalement échoué. Elle a réfléchi et a conclu qu’il y avait certainement des personnes puissantes qui l’ont aidées.Elle était surprise que Liville soit son oncle. Liville était une personne très puissante et riche dans la capitale. Est-ce que c’était lui qui a toujours aidé Isabelle ?Il était à sa quarantaine, et il a affirmé qu’Isabelle était sa nièce. Est-ce que c’était Madelaine qui l’a aidée ?Cérise s’est plongée dans les pensées. Elle ne l’avait jamais vu, mais elle avait pas mal entendu parler d’elle.Madelaine a créé Buccellati pour Sébastien, et c’était grâce à elle qu’il a pu arriver à s’enraciner dans la capitale. C’était évident qu’elle était une femme puissante. Cependant, on ne savait pas clairement son identité. Elle est décédée de maladie quand Isabelle avait seulement sept ans. Si elle était encore vivante, Isabelle n’aurait pas logée dans la maison des Leroy.Il était temps de faire
Orphée le regardait en levant la tête et a dit d’une voix enfantine : « Pourquoi vous m’avez aidé alors ? »« Je ne t’ai pas aidé. » a dit Philippe en fronçant les sourcils, « Petit gamin, c’est sur ce ton que tu t’adresses à ton professeur ? »« Je ne suis pas un petit gamin. » a dit Orphée en gonflant le visage.« Tu n’as pas encore la moitié de ma taille. »Orphée lui a répliqué : « Je vais grandir ! »« Tu es un petit gamin maintenant en tout cas. » Phillipe regardait le petit garçon devant lui. Il était intelligent et courageux. En plus, sa performance était remarquable sur scène. Il avait une bonne impression de lui.En plus, son visage lui était un peu familier.« Je dois m’entraîner, salut M. Thierry. » Orphée est parti en bougeant ses mignonnes jambes.Phillipe le regardait s’éloigner, il se disait : « Je suis curieux de savoir de quelle famille il est. »Après l’école, Poema et Déotille attendaient Orphée dans la voiture.« Est-il possible que le professeur talentueux du con