Inès n’a pas remarqué qu’elle était dans la chambre de quelqu’un d’autre. Elle a simplement pensé que, les produits de toilette pour hommes dans la salle de bains étaient une farce délibérée de la famille Hubert.Quel endroit bizarre.Mais ce n’était que pour trois mois, un pari avec son grand-père : si après trois mois chez les Hubert, elle et Marion n’avaient toujours aucun sentiment l’un pour l’autre, alors les fiançailles seraient annulées.Inès a pris une douche, puis a mangé le dîner que les domestiques avaient apporté et, épuisée après une telle journée lourde, elle s’est endormie ensuite bien profondément.Lorsque Marion est rentré après la fin de son repas d’affaires, il était déjà minuit.Il savait que ce jour-là Inès allait arriver chez les Hubert. Le vieux monsieur Hubert avait voulu que Marion aille accueillir Inès, mais il avait refusé sous prétexte de travail. Il n’avait aucun intérêt pour cette fiancée ni pour leur engagement qu’il comptait rompre tôt ou tard.Après êtr
Inès est partie avec un sourire éclatant.Mireille, furieuse, a déclaré : « Toi, la campagnarde, je te le dis, je ne te laisserai jamais épouser mon cousin. »À peine avait-elle terminé sa phrase que Marion est sorti de la chambre.À la vue de son cousin, Mireille a perdu de sa superbe : « Cousin. »Marion affichait un visage sombre, clairement en colère et Mireille n’a plus osé faire de manières....Inès a demandé aux domestiques de la mener à sa chambre, a rangé ses affaires, puis est descendue pour prendre le petit-déjeuner.À la table se trouvaient Madame Hubert, Mireille et Marion.Madame Hubert a commencé à parler sur un ton sarcastique : « Se lever si tard, ne pas savoir descendre pour préparer le petit-déjeuner, tu te crois vraiment l’épouse des Hubert. »Inès a jeté un regard vers Madame Hubert et a répondu légèrement : « Mais je ne suis non plus une domestique des Hubert. »Ils pouvaient toujours rêver qu’elle prépare le petit-déjeuner !Tout le long du repas, Marion n’a pas
« Regardez, regardez, qui est cette femme derrière le PDG, elle est si belle et a une telle allure ! »« Wow, wow, wow, ses jambes sont si droites, si fines, mais elle est bien agressive ! Chère sœur est vraiment mon plat ! »« Ce ne serait pas la fiancée du PDG non ? »« Comment est-il possible ? Mais pas possible. »Tout le monde spéculait sur l’identité d’Inès, pensant d’abord qu’elle était juste une partenaire commerciale, jusqu’à ce qu’Inès et Marion se séparent et qu’elle se dirige vers le département des secrétaires, cette nouvelle de son arrivée s’est répandue dans toute l’entreprise.La belle femme qui était venue travailler avec le PDG était justement Inès Lopez.Tout le monde se trouvait qu’il était bien incroyable et se demandait si l’environnement de la campagne était tellement magique pour pouvoir cultiver une telle beauté.Inès est allée au département des ressources humaines pour compléter les procédures. Pendant ce temps, les quatre secrétaires discutaient chaleureusem
Les deux sont entrés dans l’entreprise des Hubert et le tournage s’est déroulé incroyablement bien.Lorsque Jean trouvait que les vêtements étaient laids, mais la remarque d’Inès de « pas mal » a suffi à le faire taire.Si Jean cherchait la petite bête, un seul regard d’Inès et il n’osait plus rien dire.Notre Jean gâté était si soumis, après tout, il avait peur qu’Inès le frappe !Le tournage qui devait prendre cinq heures a été bouclé en seulement deux heures, grâce à la coopération de Jean.Après le tournage, Jean a demandé à Inès en tirant sa main : « Inès, Inès, viens, viens avec moi, je t’invite à manger ! »« Non, je n’ai pas encore fini mon travail », a répondu Inès avec froideur.Des employés de l’entreprise étaient à proximité. Des discussions ont éclaté dans le groupe de chat entre eux.« Incroyable ! Le petit maître Guillot invite Inès à manger et il est refuse ! »« Mais merde, quelle est la vraie histoire de cette Inès ? Une campagnarde non seulement chouette mais géniale
Inès regardait Marion avec perplexité.« Mais je te préviens, toi et moi avons encore une relation de fiançailles et Jean lui, il est encore une image publique, il vaut mieux que vous n’ayez pas de scandale, ça nuirait à la réputation de la famille Hubert. »À ces mots, Inès a finalement compris que Marion pensait qu’elle aimait Jean.Comment pouvait cet homme avoir une telle idée ridicule ?« Je dois aussi te rappeler que les portes de la famille Guillot sont difficiles à franchir, surtout que tu es plus âgée que Jean de deux ans. »« Ta gueule ! »L’homme semblait de plus en plus insistant sur ce point-là.« Qui j’aime ne te regarde pas. Arrête de donner des leçons. »Le visage de Marion s’est assombri immédiatement et jusqu’à la descente de voiture, ils n’ont plus échangé un mot.Dans l’esprit de Marion, le fait qu’Inès n’ait pas nié signifiait qu’elle admettait en silence. En plus, elle s’est irritée contre lui de ses paroles, à cause de sa honte.Cette nuit-là, Marion a eu, comme
Les sarcasmes avaient profondément fait regretter à Inès d’être venue à cette fête par ennui.Elle aurait préféré partir sur-le-champ.Mais avant qu’Inès ait eu le temps de dire quoi que ce soit, Liliane et ses amies s’étaient approchées. Faisant comme si rien ne s’était passé aux toilettes, Liliane a souri et dit : « Chère Madame Hubert, elle est bien Inès Lopez, la fiancée de Marion, n’est-ce pas ? Bonjour, mademoiselle Lopez, je suis Liliane Marty. »À ce moment-là, Liliane semblait une parfaite héritière, élégante et gracieuse, rendant l’indifférence évidente d’Inès d’autant plus impolie.Madame Hubert a lancé un regard réprobateur à Inès et s’est adressée à Liliane avec un sourire : « Liliane, ne t’en fais pas pour elle, c’est juste une fille de la campagne, elle ne connaît rien aux bonnes manières. »« Chère Madame, ce n’est rien. D’ailleurs, j’ai entendu dire que mademoiselle Lopez a un talent artistique exceptionnel. Il y a justement un piano sur scène, j’aimerais bien admirer
Les échanges polis entre eux ont rappelé à tous que les familles Lopez et Hubert étaient connectées de longue date. Ces deux familles étaient autrefois considérées comme les dominants du marché.Cependant, après avoir vendu l’entreprise quelques années avant, le grand-père d’Inès s’était retiré du business. On pouvait rarement entendre ses nouvelles et on disait qu’il avait voyagé autour du monde avec sa petite-fille depuis lors.Mais la stature de la famille Lopez restait influente à travers le pays.Patrice a sorti des cadeaux préparés par le vieux maître : une peinture célèbre, un certificat d’un terrain dans le sud de la ville d’une valeur de centaines de millions... et d’autres présents somptueux.Les cadeaux de la famille Lopez étaient toujours fastueux.Inès ne pouvait s’empêcher de ressentir une certaine douleur au cœur, hélas ! Elle se demandait pourquoi l’argent de la famille Lopez finissait par entrer dans les mains des Hubert...Heureusement, Patrice n’a pas révélé sa vérit
Inès s’est retournée et a vu Marion s’approcher d’elle, évidemment il la suivait.« Qui a dit que je devais te signaler lors de mon départ ? Marion Hubert, il n’est pas temps de travailler, nous n’avons pas de relation hiérarchique en ce moment. Ce que je fais est de mon propre ressort. »Inès trouvait Marion vraiment incompréhensible.À ce moment-là, une voiture s’est arrêtée devant eux et le chauffeur est sorti pour leur ouvrir la porte.Inès a reconnu la voiture de Marion. Il a regardé ailleurs et dit : « Il est tard, ce n’est pas sûr pour toi de prendre seule un taxi. Rentrons ensemble pour éviter que tu n’accuses les Hubert en cas de problème. »Inès a froncé les sourcils : « Si c’est pour éviter que je te demande de l’argent, ne t’inquiète pas, l’argent des Hubert ne m’intéresse pas. »En disant cela, Inès s’apprêtait à s’éloigner, mais Marion a saisi son poignet, disant d’un ton ferme : « Monte dans la voiture ! »Face au regard furieux d’Inès, Marion a ajouté : « Puisque j’ai p
« Cependant, nous n’avons aucune preuve. » Inès a pincé les lèvres, avec un peu de solennité entre ses sourcils, « Après tant d’années, même s’il reste des indices à l’époque, j’ai peur qu’ils soient détruits depuis longtemps. » Les phalanges de Marion se sont resserrées petit à petit, son ton était froid et ferme, « Peu importe le temps que cela prendrait, tant qu’il le fasait, il laissait certainement des indices ! » « Oui, mais notre priorité absolue maintenant est de dénoncer l’ambition de David de mettre ton grand-père en résidence surveillée et d’essayer de prendre le pouvoir. » Un soupçon d’obscurité a brillé dans les yeux d'Inès.Elle ne laisserait certainement pas David, ce méchant méprisable, réussir !Marion a tourné la tête de côté, a jeté un regard profond à Inès, a tendu la main pour la serrer dans ses bras, et ses sourcils étaient pleins d’affection, « Inès, merci ! En ce moment spécial, ne me quitte jamais et ne m’abandonne jamais. »Dans les bras de Marion, Inès a te
« Monsieur Hubert, il va bien. » Francis s’est dirigé précipitamment vers Marion et lui a dit.En entendant cela, Marion a poussé un soupir de soulagement, a pincé ses lèvres fines et sexy et a demandé d'une voix grave : « Francis, qu’est-ce qui s’est passé ? » « Quand je suis revenu d’Italie, tout était normal », a déclaré Francis en pensant, « Peu de temps après, la nouvelle est soudainement arrivée que vous, Monsieur Hubert, votre avion s’est écrasé. A ce moment-là, la nouvelle est tombée et toute la ville a été choquée. Tout le monde était anxieux, en particulier Monsieur Raymond, qui a envoyé de nombreuses équipes de recherche et de sauvetage pour vous retrouver.Mais le lendemain, Monsieur Raymond ne s'est plus présenté. David a dit que Monsieur Raymond avait eu une crise cardiaque et qu'il avait été envoyé à l'hôpital pour être secouru. »« Crise cardiaque ? » Marion a froncé les sourcils.Il savait que son grand-père souffrait d'une maladie cardiaque, mais il prenait des méd
« Grand-père... » Devant Monsieur Lopez, Inès était un peu timide et a dit coquettement, « Ne dis pas ces choses. »« Tu dois te marier quand t’es adulte ! De quoi as-tu honte ? », a taquiné Monsieur Lopez.« Grand-père, tu as toujours dit ça ! » Inès s'est simplement retournée et a caché le visage avec les deux mains.Voyant le regard timide de la femme à côté de lui, Marion a haussé les sourcils et a dit sérieusement à Monsieur Lopez, « Grand-père, je vais prendre soin d'Inès et protéger Inès. »« Ah, j’ai choisi un bon homme. » Monsieur Lopez était très satisfait de Marion.C'était la première fois que Marion a vu Monsieur Lopez. Le vieil homme était énergique. Il ne ressemblait pas du tout à un vieil homme de la campagne.Marion s'est soudainement souvenu que son grand-père avait un ami de la famille dont le nom de famille était également Lopez. À ces jours-là, ils étaient tous deux tout-puissants et célèbres dans le monde des affaires, mais plus tard, Monsieur Lopez a soudainemen
« Inès, je suis là. » La voix de Marion venait de loin.Inès s’est sentie soulagée et a suivi précipitamment le son.« Si je ne t’ai pas demandé de m'attendre là-bas, pourquoi cours-toi partout ? » Le ton d’Inès était un peu de reproche.Cet homme ne savait-il pas qu'il était toujours malade ? Cela la rendait tellement anxieuse.Marion a attrapé deux petits moineaux de quelque part, a levé les coins de ses lèvres et a dit, « Les moineaux devraient avoir bon goût. »« T’es... Es-tu allé attraper des moineaux ? Pourquoi ne te repose pas bien. » Inès a rapidement soutenu Marion et s'est plainte, « Tu as encore de la fièvre. »« Est-ce que tu te soucies de moi ? » Marion venait de trouver des fruits sauvages à manger dans les bois. Il se sentait beaucoup mieux maintenant. Voyant qu'Inès était très nerveuse à son sujet, il ne pouvait s'empêcher de se sentir bien.Inès a levé les yeux au ciel, « Si je ne me soucie de toi, de qui est-ce que je dois me soucier ? »« D’ailleurs, il y a une grot
Le léger parfum qui s'échappait des lèvres était exactement le même que le souvenir de l'enfance.Marion était tellement brûlé, il avait de la fièvre. Il savait seulement que les lèvres de la femme devant lui semblaient comme une source d’eau, très fraîche et confortable.Il a inconsciemment tendu les mains, a serré Inès dans ses bras et l'a pressée contre lui.Si doux, si fraîche, si confortable.Marion voulait inconsciemment plus.Inès ne s'attendait pas à ce que Marion se comportait soudainement ainsi. Elle ne pouvait pas se tenir fermement et est tombée dans les bras de Marion.Sentant la force de ses mains, Inès s’est sentie joyeuse dans son cœur.Il semblait que lui donner de l’eau et le rafraîchir physiquement ait eu un certain effet.« Marion, mon chéri, réveille-toi. » Inès a pressé sa joue contre le visage de Marion et lui a murmuré à l'oreille, « Tu as dit que tu me poursuivait et que tu m'aimerais, tu as promis que tu me protégerais pour le reste de ta vie. Tu ne peux pas r
« Arrête ! Tu parles de quelles bêtises ? » En écoutant les paroles de Marion, Inès n’a pas pu s’empêcher de se sentir anxieuse.Marion a regardé dans la direction de l’île, bien qu’ils se rapprochent de plus en plus de l’île, il y avait encore beaucoup de distance.Maintenant, il était si faible qu’il ne pouvait pas nager du tout, il ne pouvait qu’encourager Inès.Il ne voulait pas l’entraîner vers le bas.Marion a froncé légèrement les sourcils et a tendu la main pour détacher le gilet de sauvetage attaché à Inès, « Inès, je suis un peu fatigué, je veux faire une pause. Tu nages d’abord et m’attends sur l’île. » Bien sûr, Inès savait ce que Marion pensait, elle a serré la grande main de Marion, « Non, nous nageons ensemble. » « Je vais te faire du mal. » Marion a jeté un coup d’œil à Inès avec un regard lourd dans les yeux, ses yeux étaient remplis par tendresse et par émotion.La femme qu’il aimait était très heureuse avec lui.Même s’il voulait vraiment mourir dans la vaste mer,
« Marion, qu’est-ce qui ne va pas chez toi ? » Inès a remarqué que quelque chose n’allait pas avec Marion et a demandé avec inquiétude.Des éclats de douleur se sont échappés de la blessure, Marion a pris une profonde inspiration, a supporté la douleur et a souri, « C’est pas grave. » .... Inès a voulu voir ce qui n’allait pas avec Marion, mais a été interrompu par Marion.« Ne parle plus, garde tes forces. » Marion a posé ses doigts fins sur ses lèvres et a fait un mouvement de la rendre silencieuse.Mais Inès n’était toujours pas à l’aise : « C’est vrai ? Est-ce que tu vas vraiment bien ? »« Oui. » Marion a laissé échapper un caractère monosyllabique et a levé les coins de ses lèvres, « Ne retarde plus le temps, dépêchons-nous. » Les deux travaillaient ensemble et nageaient rythmiquement vers l’île.Le temps s’est écoulé très rapidement.Marion nageait en direction de l’île avec Inès, et en même temps, il n’a pas oublié de regarder autour de lui pour voir s’il y avait des navires
Après tout, il n’y avait pas de signal de téléphone mobile dans le ciel au-dessus de la vaste mer.Inès n’était pas sûre que le collier que son grand-père lui avait donné puisse lui envoyer un signal de détresse.« Absolument. » Marion l’a regardée dans les yeux, les sourcils légèrement levés.Marion n’avait jamais vu un tel lanceur.Le grand-père n’était-il pas un hillbilly ? Comment pouvait-il y avoir une chose si high-tech ?Les yeux profonds de Marion n’ont pas pu s’empêcher d’apporter un petit regard interrogateur.Sa fiancée n’était pas simple.C’était juste qu'Inès ne l'a pas dit, il n’a pas demandé pas délibérément.Ce qu’il aimait, c’était elle, indépendamment de son identité ou de ses antécédents familiaux. Se rapprochant de plus en plus de la mer, Inès a regardé autour de lui, et faiblement au loin, il semblait y avoir plusieurs îles.Une explosion de surprise est apparue dans le cœur d'Inès, et juste au moment où elle voulait le dire à Marion, elle a entendu la voix magnét
« Quoi ? » Marion l’a serrée dans ses bras à deux mains, ses yeux profonds sont tombés sur son visage, avec anticipation et nervosité.« Marion, ma réponse est : oui, je te promets. » Inès a attaché ses lèvres à l’oreille de Marion, avec un parfum légère, « Je suis déjà prête à passer le reste de ma vie avec toi. »Après une pause, elle a levé de nouveau les yeux, a regardé l’homme en face d’elle avec un regard tendre, ses lèvres rouges comme des cerises se sont ouvertes, et elle a ajouté fermement : « Peu importe, qu’on vive encore ou si on est morts. » « Inès, j’attends cette réponse depuis longtemps. » Les yeux de Marion ont brillé, il a plissé ses lèvres minces et sexy et a baissé la tête pour embrasser la femme qui le serrait fort dans ses bras.Ce sentiment familier est revenu, le souffle de Marion était étouffé.... Les bras solides et puissants étreignaient étroitement la taille d’Inès, la bouche de Marion continuait à murmurer son nom, et les baisers s’approfondissait douceme