« Qu’est-ce que tu fais ici ? C’est pour me chercher ? » a demandé Léana. Gabriel l’a complètement ignorée. Il accompagnait Molly et attendait tranquillement l’ascenseur.Molly ne voulait pas perdre son temps avec Léana. Elle a jeté un coup d’œil à Gabriel, ayant l’air assombrie. Elle se souvenait encore qu’il lui avait expliqué sa relation avec Léana. Léana a jeté un regard envieux sur les deux. Elle a reconnu Molly, c’était la fille que Gabriel suivait lors de l’anniversaire du vieux Richard. Gabriel l’ignorait chaque fois qu’il la voyait. « Pourquoi Gabriel s’intéresse-t-il à cette fille ? Qu’est-ce qu’elle a de si captivant ? » s’est-elle demandé. Léana était fière de son corps et de son apparence, mais la présence de Molly lui faisait perdre ce sentiment de supériorité. Elle regardait avec méchanceté le beau visage de Molly.Le garde du corps que Molly avait renversé s’est remis debout. Voyant que les deux osaient barrer la route de Léana, il a ricané : « Savez-vous qui nous
Léana a complètement ignoré Molly. Gabriel a jeté un coup d'œil froid et nonchalant à Léana. Son visage a instantanément pâli, ayant saisie d'une peur indicible.Elle savait très bien que Basile ne faisait que suivre et servir Gabriel. Il était comme un couteau dans la main de Gabriel. Si elle offensait monsieur Verne, même le vieux Richard, qui la choyait, se retournerait contre elle.Léana voulait continuer, mais l'ascenseur est arrivé. Molly et Gabriel y sont entrés. Basile regardait Léana avec un sourire en coin et a suivi son maître dans l'ascenseur. Le garde a été frappé de stupeur par la gifle. Il s'était comporté comme un âne se couvrant de la peau du lion. Cette fois-ci, il a dû en tirer la leçon. Léana s'est essuyé les mains avec un mouchoir et a dit froidement au garde par terre : « Fous le camp d'ici. Je ne veux plus te voir. » Abasourdi et perplexe, le garde ne comprenait pas pourquoi l'attitude de Léana a soudainement changé. Il faisait simplement la même chose q
À ce moment-là, Molly s’est souvenue du dîner familial du vendredi soir. Elle l’avait complètement oublié. Comme Florence lui cherchait délibérément des ennuis, Molly ne lui a pas adressé de parole.Louis est aussi venu, il a tiré Molly d’embarras en disant : « Ce n’est pas la peine d’en parler, parce que nous sommes une famille. La préoccupation est que grand-père est tombé malade. ».Il a regardé Molly avec compréhension, et Molly lui a fait un signe de tête pour exprimer sa reconnaissance. Elle a dit : « Louis, je suis d’accord avec toi. Papa, maman, je vais d’abord voir grand-père. » Puis, elle s’est dirigée vers la chambre de malade calmement, comme si rien ne pouvait l’affecter.La voyant partir, Florence s’est tournée vers Gabriel qui était venu avec Molly. Elle était jalouse d’apprendre que Molly était avec Gabriel ces derniers jours. Elle pensait que Molly avait passé son temps à séduire les hommes.Comme Florence n’a pas vu Gabriel pendant plusieurs jours, elle s’est immé
Chapitre 231C’était vrai, il devait être une personne très puissante. Sinon, comment il pouvait ouvrir un tel hôpital à San Joto, la capitale du pays. En pensant à cela, le visage de Louis est devenu plus sombre.Gabriel était vraiment un personnage extraordinaire.À ce moment, Molly est entrée dans la salle. Elle a vu le vieux Doré, qui avait divers instruments insérés dans son corps, et un docteur qui dirigeait deux infirmières pour vérifier régulièrement l’état de son corps. Tandis que Molly regardait ces personnes s'affairer, elle s'est appuyée paresseusement contre le mur et a attendu que leurs tests soient terminés avant de parler avec indifférence : « Comment va-t-il ? »Le médecin a regardé la belle jeune fille devant lui, sa voix aussi froide que la glace dans un lac. Il lui a répondu automatiquement : « Il a besoin d'une intervention chirurgicale opportune, nous avons déjà observé des signes d'insuffisance cardiaque, l'instabilité coronarienne provoquant la rupture de la
Chapitre 232L'infirmière a regardé le rapport marqué d'un F, une lueur glacée a traversé dans ses yeux. Elle a enlevé ses gants et les a jetés férocement au sol, puis a déchiré le rapport en morceaux. Elle est sortie la service avec une posture assez arrogante.Quant à Molly, après avoir quitté la salle, elle a trouvé que Jean et Victoria l’attendaient à l’extérieur. Lorsqu'ils l’ont vue sortir, ils lui ont demandé doucement : « Molly, tu es restée ensemble avec le directeur général Verne ces deux derniers jours ? »Il n'y avait aucun moyen de demander à Gabriel sur ce sujet, alors ils ne pouvaient que demander à cette fille.Convenait-il de leur dire ce qui s’était passé à l’étranger ? Molly n’a pas pu empêcher de se frotter les sourcils et a ouvert enfin la bouche ayant l’air nonchalant : « En quelque sorte. »Victoria a pensé que Molly était timide, alors elle a suggéré à Jean de ne plus lui demander.Louis l’a pensé aussi. Il a donc interrompu Jean d’un ton doux : « Molly, l’opéra
Chapitre 233Serrant les dents, Florence n’a pas pu le supporter plus longtemps et s’est retournée pour partir. À ce moment-là, Victoria a repris ses esprits et voulait inconsciemment la poursuivre : « Florence ! »Mais Jean l’a arrêtée : « Si tu la poursuis maintenant, tu ne feras que la blesser davantage en lui donnant un espoir inutile. »Victoria s’est figée immédiatement, ne sachant pas quoi faire.Antoine, qui n’avait pas parlé, s’est avancé et l’a réconfortée, « Maman, ne t’inquiète pas. Les parents de Florence, j’ai déjà découvert leurs identités. Dans quelques jours, nous pourrons avoir leurs informations précises. »« Vraiment ? », Victoria a regardé Antoine avec surprise, sur le fond de ses yeux, une émotion complexe, soit contente, soit déçue.Jean a repoussé un soupire : « Dites-nous immédiatement quand tu as leurs informations. Nous allons arranger bien les suites pour Florence. »Après tout, elle avait vécu dans la famille Doré pendant tant d’années, ils ne la laisseraie
Chapitre 234Gabriel n’a dit rien, il s’est levé simplement et s’est dirigé vers le grand balcon. Il s’est penché pour regarder en bas, ses doigts effleurant le rebord de la fenêtre en albâtre.« Monsieur le doyen Leblanc, cela fait quelques années que je ne t'ai pas vu. Tu as changé beaucoup, n’est-ce pas ? Tu oses me faire attendre maintenant. »Interrogé par Gabriel, le doyen Leblanc a essuyé la sueur de son front et s'est excusé à plusieurs reprises : « Je viens d’inspecter le bâtiment. Et quand j'ai appris que vous étiez ici, je suis revenu immédiatement. »Sam avait peur de cet homme devant lui, même si maintenant son cœur s’est rempli de ressentiment, il n'a pas osé pas le montrer et s’est contenté de sourire : « C'est juste parce qu’il y avait un patient en état urgent. Sinon je n'oserais pas vous offenser, monsieur le jeune maître Verne. »Gabriel a jeté un coup d’œil à son gros corps et lui a dit froidement, « Bon, c’est bien. »Dans la seconde suivante, un sourire froid a ap
Chapitre 235« Qu’est-ce que tu as dit ? »Il a réalisé alors qu’il a perdu son sang-froid, ensuite il a confirmé quelque chose de façon claire et nette.Finalement, il a raccroché le téléphone et a regardé Gabriel avec incrédulité.« Patron, Iliad a dit que quelqu’un viendrait opérer le grand-père de Molly, cette personne est d’un niveau très élevé et l’a surpassé il y a deux ans, alors nous n’avons pas à nous inquiéter. »« Mais comment sait-il la maladie du vieux Doré ? »En vertu du statut de la famille Doré, ils n’auraient pas dû pouvoir contacter Iliad du tout.Lorsque Gabriel a entendu cela, une lueur a traversé dans ses yeux. Il a appuyé directement sur le bouton de l’ascenseur et est entré à vive allure. Il est arrivé bientôt au rez-de-chaussée.Basile l’a suivi, regardant son dos avec incertitude, ne sachant pas ce que pensait son patron.Mais après que les portes de l’ascenseur se sont ouvert, une belle fille tranquille a envahi sa ligne de mire. En un instant, il a tout com