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chapitre 235
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Chapitre 236Les deux ont regardé le sourire sur le visage de Molly et ont hoché involontairement la tête, ensuite Jean s’est levé, « Alors je vais donner une décharge à mon père. »François a dit à côté : « Papa, ne t’inquiète pas, je vais m’en occuper ! »Il a lancé un regard profond à Molly avant de se diriger vers le bureau de l'hôpital.Molly regardait la confiance inconditionnelle que lui accordait sa famille et son cœur s’est réchauffé.Alors que toutes les personnes attendaient le retour de François, une voix quelque peu glaciale s’est fait soudainement entendre.« Jean, tu es si audacieux ! Pourquoi as-tu donné une décharge à papa ? Essaies-tu de le faire tuer ? »Pas besoin de se retourner, Molly avait déjà distingué le propriétaire de cette voix.C'était en fait Léo, le frère de Jean, et son deuxième oncle !Elle savait déjà qu'une fois la décharge effectuée, le médecin préviendrait certainement ces personnes, aussi n’était-elle pas surprise de voir cet homme apparaître ici
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 237
Chapitre 237Molly a regardé les deux personnes devant elle avec un sourire froid sur les lèvres. « Et si je disais que je peux effectivement en trouver ? »Une fois que Léo a entendu cela, il a éclaté de rire, simplement choqué par les paroles ronflantes de cette jeune fille, « Si tu peux le faire, je vais immédiatement m’agenouiller et me prosterner devant toi ! »Ernest, voyant Molly encore très calme, a froncé légèrement les sourcils, ne laissant pas échapper de telles paroles sans réfléchir comme son frère.L’expression calme de Molly a contrasté fortement avec le rire sauvage de Léo, elle l’a fixé et a ouvert la bouche : « D’accord, Léo, je n’oublierai pas ce que tu as dit tout à l’heure ». « Oncle Victor, tu l’as entendu aussi, n’est-ce pas ? »Les yeux de Molly se sont tournés vers Victor.Bien qu’il ne soit pas d’accord avec le transfert non plus, le comportement de Léo tout à l’heure avait en effet éveillé ses soupçons, et pendant un moment, son regard envers Molly est deven
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 238
Chapitre 238Léo a regardé Victor puis Molly, il n’avait pas oublié qu’elle venait de se moquer de lui pour ne pas avoir pu trouver un bon médecin pour son père. En y pensant, il a ricané froidement, « Mais tu sais ce que représente la famille Richard, Victor. Pourquoi poses-tu une telle question ? »« Bien sûr, je crois que toi, Molly, tu ne connais pas la famille Richard, mais je suis maintenant curieux de savoir quel genre de médecin tu peux trouver. »Ayant entendu ses mots, Molly lui a donné un sourire froid, même si sa voix n’était pas élevée, on pouvait distinguer la moquerie dans ses mots : « Tu n’as pas besoin de savoir, tu n’as qu’à te souvenir bien de ta promesse ».Léo venait de dire que si Molly pouvait trouver un docteur capable de guérir le vieux Doré, il s’agenouillerait et se prosternerait devant elle trois fois !Tout le monde ici l’avait entendu, mais Léo n’avait aucune peur.Même le meilleur hôpital de la capitale du pays n’était sûr qu’à 50 %, alors il ne croyait p
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 239
Chapitre 239Les yeux du docteur se sont écarquillés : « Vous êtes sûr ? Seuls les médecins de notre hôpital peuvent atteindre ce taux de réussite dans notre pays, si vous transférez précipitamment ce patient, ce sera très dangereux, il risque de mourir ! »Ayant entendu cela, François, toujours très doux et aimable, était maintenant très fâché et effrayant. Et dans son cœur, il a senti que la décision de sa petite sœur était très correcte.La qualité des soins médicaux ici était en effet scandaleusement mauvaise.Mais il lui a donné quand même un sourire poli, et a réaffirmé leur intention ferme du transfert à l’hôpital.Le docteur était confus un instant, elle a ouvert la bouche, mais sa voix révélait toujours un sentiment de supériorité, ses mots persuasifs étaient extraordinairement agressifs : « Vous êtes sûr ? Que vous ne satisfaites pas ? Pourquoi vous insistez au transfert à l’hôpital ? Notre hôpital est le meilleur hôpital de tout le pays… »Peut-être que c'était le meilleur h
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 240
Chapitre 240Le docteur à la tête commandait les forces spéciales à la porte de la salle, il avait un très beau visage métis, ses yeux se sont illuminés quand il a vu Molly. Il s’est dirigé vers elle, sa main droite s’est déjà levée et s’est enfin abaissée avec retenue : « Molly, nous sommes prêts, où se trouve le patient ? »Molly a fait un signe de tête en direction de la salle, « Il est là, à l’intérieur. »Le docteur a acquiescé solennellement.Son ton de voix était un peu étrange, il semblait qu’il ne parlait pas chinois très souvent, « D’accord. »Molly lui a répondu en hochant la tête : « Vas-y »Lorsque les soldats des forces spéciales voyaient que leur docteur traitait cette fille avec tant de respect, ils ont pris tous un air très solennel. Ensuite, le chef de ces soldats a fait un signe vers l'arrière et ils sont tous entrés pour porter l'homme.En l'espace d'une demi-minute, ils sont sortis en portant une civière où le vieux Doré endormi s’est allongé. Tout le processus éta
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 241
« Si le vieux Doré en est au courant après la reprise de conscience, il sera de nouveau impressionné par Molly. Je dois chercher un moyen pour qu’elle se range de mon côté. », s’est dit Victor.« Victor, pourquoi tu restes silencieux ? » a demandé Dillon, remarquant qu’il n’a rien dit. Victor lui a jeté un regard froid. Intimidé par le regard de Victor, Dilion a instantanément fermé la bouche. Il n’osait plus parler. Cependant, il ne savait pas ce qu’il avait fait de mal.Molly ne leur a pas fait d’attention. Elle s’est tournée vers ses parents et ses frères et leur a dit : « Rentrez et reposez-vous. Je trouverai le moyen pour guérir grand-père. »Ils ont hoché la tête. Comme Molly était capable d’appeler un médecin des forces spéciales, elle trouverait certainement de l’aide pour guérir le vieux Doré. Ils avaient confiance en elle. Molly est ensuite entré dans l’ascenseur avec les soldats des forces spéciales. Ils sont montés au toit de l’hôpital. Tout le monde regardait l’asce
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 242
Molly est descendue de l’hélicoptère. Elle regardait cette terre désertifiée, prise de nostalgie. Le vieux Doré a été hissé à l’extérieur par les soldats. Molly s’est tournée vers Didier. Didier a immédiatement compris son intention et lui a fait un signe de tête en souriant.Devant le regard incrédule des soldats, Molly s’est retournée et s’est dirigée vers la hutte délabrée qui n’était pas loin. Il ne s’est rien passé en chemin, elle y a atteint saine et sauve.Les soldats se sont regardés les uns les autres, puis ils se sont retournés vers Didier : « Docteur, comment… » Même Didier ne pouvait éviter le déclenchement du système de sécurité par satellite, mais rien ne s’est passé lorsque Molly était passée. Pourquoi ? Didier leur a jeté un coup d’œil, les quatre devaient découvrir quelque chose, ils refusaient tout simplement d’y croire. « Qu’est-ce que vous faites là ? Apportez le patient. »Didier avançait et ne signalait aucun danger. Il savait que Molly avait déjà désactivé
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 243
Chapitre 243 Molly n'a même pas retourné la tête. « Molly. » « Oh, oh, Molly, tu es déjà venue ici ? » Molly était tout simplement trop calme, si calme qu'elle n'avait pas l'air d'en être à sa première rencontre avec ce genre de choses. De plus, le système de sécurité n'a pas réagi, ils étaient donc sûrs qu'elle était déjà venue ici. Qui l'aurait cru, Molly se contentait de dire : « Non. » Elle n'était jamais venue ici auparavant ? D'énormes points d'interrogation sont apparus sur la tête de tout le monde qui a jeté un coup d'œil inquiet à Didier avant de demander : « Alors vous êtes la supérieure de Sir Leigh ? » Didier a jeté un regard impassible au soldat, et ce dernier, mesurant 1,9 mètres, n’a pas pu s'empêcher de reculer. Molly s’est retournée et a regardé Didier d'un air amusé. « Je ne suis pas son supérieur non plus. »Quoi ? Tout le monde était stupéfait. Ils voulaient en demander plus, mais le « coucou » qui les transportait s’est mis soudain à hurler, puis a laissé
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