Il fait glisser ses mains le long des courbes d’Émilie, appréciant chaque contour, chaque texture. Ils s’embrassent à nouveau, cette fois avec une intensité qui révèle toute la passion et l’amour qu’ils ressentent l’un pour l’autre. Émilie se laisse doucement tomber sur Marcus, leurs corps se pressant l’un contre l’autre. Leurs mains continuent d’explorer chaque centimètre de peau offerte, redécouvrant chaque sensation. Leurs baisers deviennent plus profonds, plus urgents, chaque souffle se mêlant dans une danse sensuelle. — Je t’aime » souffle Marcus entre deux baisers, ses mains posées sur les hanches d’Émilie pour la rapprocher encore plus de lui. — Je t’aime aussi, et je veux maintenant passer le reste de ma vie à tes côtés, c’est pour ça que je suis prête à divorcer de Michael.» répond Émilie, sa voix tremblante d’émotion et de désir. — J’ai hâte que tu deviennes ma femme. — Et moi hâte que tu deviens mon homme. Elle se redresse légèrement, plongeant son regard dans cel
Michael laisse tomber la lettre. Il n’arrive tout simplement pas à y croire… Lucie est enfin arrivée à la maison. Elle descend du taxi, règle le chauffeur, puis regarde la voiture s’éloigner. Le gardien, qui l’a déjà remarquée, sort aussitôt pour lui ouvrir le portail. Elle le salue poliment avant de se diriger vers l’intérieur. En apercevant la voiture de son mari garée dans l’allée, elle s’étonne. « Pourquoi n’est-il pas au bureau ?» se demande-t-elle. Une fois dans le grand salon, elle constate que la maison est étrangement vide. Elle hésite à appeler Andréa, mais s’en abstient. Alors qu’elle s’apprête à emprunter le couloir menant à sa chambre, un bruit inhabituel attire son attention. Des gémissements. D’abord faibles, ils deviennent de plus en plus intenses à mesure qu’elle avance. Son cœur s’emballe. Un mauvais pressentiment la gagne, mais elle continue. Les sons la guident jusqu’à la seconde chambre, dont la porte est entrouverte. Lucie sent une boule se former dan
Les rayons du soleil filtrent à travers les fenêtres, effleurant les rideaux pour annoncer une belle journée à venir. Andréa est déjà à pied d’œuvre dans la cuisine, préparant le petit-déjeuner. L’air est embaumé par le parfum du café chaud et du pain grillé au beurre, une de ses spécialités. Pendant ce temps, Lucie et Florent sont encore dans leur chambre. C’est le week-end, et Lucie est rentrée de voyage la veille. Florent se réjouit à l’idée de passer du temps avec elle, mais il se trompe lourdement sans le savoir. Dès l’aube, Lucie s’est levée, a passé un moment devant son ordinateur, puis est allée prendre une douche en vue d’un rendez-vous professionnel. Florent, encore engourdi par le sommeil, ouvre lentement les yeux et aperçoit sa femme devant le miroir, en train de se maquiller. Il ne comprend pas ce qui se passe. Se redressant, il lutte contre les dernières traces de fatigue pour mieux observer la scène. Oh oui, c’est bien Lucie, vêtue d’une robe élégante et perchée sur
Andréa n’a même pas le temps de finir sa phrase que Jacques raccroche. Elle soupire, frustrée, avant de se lamenter à voix basse « Je ne comprends vraiment pas ce qu’il veut de moi… Cette relation commence à me dépasser. Une relation où c’est la femme qui doit nourrir l’homme, pendant que lui ne fait aucun effort. Son seul souci, c’est de me demander de l’argent pour jouer aux paris sportifs et boire avec ses amis. Mon seul péché, c’est d’être tombée amoureuse de lui.» Suite à ces mots, elle range son téléphone et retourne en cuisine. Pendant ce temps, Lucie arrive enfin au lieu de son rendez-vous. Une fois sortie de sa voiture, elle entre dans l’établissement où elle est aussitôt conduite à la salle de réunion. À son arrivée, elle aperçoit son patron, Monsieur Michael. Après quelques échanges de salutations, elle s’installe et il lui tend quelques dossiers à consulter avant l’arrivée du partenaire d’affaires. Mais tandis qu’elle est absorbée par les documents, Michael ne cesse
Florent détourne le regard, troublé. L’ombre du doute commence à s’insinuer en lui, et malgré lui, une image lui revient en tête… celle d’Andréa, se penchant pour ramasser cette maudite cuillère. Dans la résidence de Monsieur Michael ( bosse de Lucie )La tension est à son comble dans le vaste salon luxueux de la résidence. Emilie fait les cent pas, incapable de se tenir en place. Sa respiration est saccadée, et ses poings serrés trahissent l’ampleur de sa colère. Assise sur le grand canapé en cuir, Sandrine, sa meilleure amie, tente tant bien que mal de la calmer. — Emilie, tu dois te détendre… tu t’énerves toute seule et ce n’est pas bon pour toi.Mais Emilie ne l’écoute pas. Sa mâchoire est crispée, et son regard brûle d’une rage contenue. — Cet homme commence sérieusement à me rendre folle ! » crache-t-elle en se tournant brusquement vers Sandrine. « Il m’a forcée à abandonner mon travail sous prétexte qu’il voulait que je m’occupe des enfants et de lui. Maintenant… maintena
Sans perdre une seconde de plus, elle se lève d’un bond et monte à l’étage. Direction sa chambre, où elle compte bien se changer avant de sortir prendre l’air… Pendant ce temps, à l’autre bout de la ville, Lucie et son patron, Michael, se trouvent dans l’un de ses somptueux et luxueux hôtels. Installés dans un salon privé, ils savourent du champagne tout en échangeant quelques mots. Le téléphone de Lucie repose dans son sac, en mode silencieux. Elle ignore totalement que son mari tente de la joindre. Michael, quant à lui, ne cesse de la fixer avec insistance, son regard brûlant de désir. Il la contemple, la détaille, comme s’il avait envie de la dévorer. Lucie commence à se sentir mal à l’aise sous cette attention soutenue. Il commence à faire nuit et elle décide alors de prendre congé. — Monsieur, je vais devoir partir. Il se fait tard, et je ne veux pas que mon mari…Elle n’a même pas le temps de finir sa phrase que Michael l’interrompt brusquement : — Je suis amoureux de to
Andréa, confuse et surprise, ne comprend pas ce qui se passe avec son patron. Décidant de ne rien ajouter, elle tente de sortir de la chambre, mais Florent se lève et se place devant elle, l'empêchant d’avancer. Déjà envahie par la colère, elle décide de ne plus garder le silence : — Monsieur, qu'est-ce qui ne va pas chez vous ? Voulez-vous me créer des ennuis ? À quel jeu jouez-vous exactement ? Vous êtes un homme marié, et votre femme est ma patronne ! Il est hors de question que j'accepte ce que vous me demandez. Sans oublier que je suis déjà en couple, j’ai un petit ami que j’aime profondément. Alors, s’il vous plaît, arrêtez. — Tu me parles de quel mariage ? Tu crois vraiment que ce que tu vois ici ressemble à un mariage ? Elle n’est jamais à la maison, et tout ce qu’elle devrait faire en tant qu’épouse, c’est toi qui le fais… sauf son rôle au lit, qu’elle est aussi incapable d’assumer. Elle ne sert pratiquement à rien dans cette maison. Alors, s’il te plaît… — Si elle en e
Devant elle se tient Marcus, son premier amour, celui avec qui elle rêvait de partager sa vie avant d’épouser Michael. — Tu veux toujours que je dégage ? » demande-t-il avec un sourire espiègle. Émilie, submergée par une vague d’émotions, secoue la tête et laisse échapper un rire teinté d’incrédulité et de nostalgie. — Oh non… Comment peux-tu me poser une telle question alors que je suis envahie par la joie de te revoir ? C’est vraiment toi ? Assieds-toi, s’il te plaît. — Oui, c’est bien moi » répond Marcus en prenant place à ses côtés, son regard plongé dans le sien, chargé d’un passé qu’ils n’ont jamais complètement oublié. Sans attendre, Émilie fait un signe à la serveuse attitrée à son service. Cette dernière s’approche, prête à répondre à ses exigences. — Apportez-nous un autre verre et une bouteille de champagne.Mais avant que la serveuse ne puisse acquiescer, Marcus l’interrompt doucement. — Non, pas de champagne. Apportez-nous plutôt une bonne bouteille de vin ro
Michael laisse tomber la lettre. Il n’arrive tout simplement pas à y croire… Lucie est enfin arrivée à la maison. Elle descend du taxi, règle le chauffeur, puis regarde la voiture s’éloigner. Le gardien, qui l’a déjà remarquée, sort aussitôt pour lui ouvrir le portail. Elle le salue poliment avant de se diriger vers l’intérieur. En apercevant la voiture de son mari garée dans l’allée, elle s’étonne. « Pourquoi n’est-il pas au bureau ?» se demande-t-elle. Une fois dans le grand salon, elle constate que la maison est étrangement vide. Elle hésite à appeler Andréa, mais s’en abstient. Alors qu’elle s’apprête à emprunter le couloir menant à sa chambre, un bruit inhabituel attire son attention. Des gémissements. D’abord faibles, ils deviennent de plus en plus intenses à mesure qu’elle avance. Son cœur s’emballe. Un mauvais pressentiment la gagne, mais elle continue. Les sons la guident jusqu’à la seconde chambre, dont la porte est entrouverte. Lucie sent une boule se former dan
Il fait glisser ses mains le long des courbes d’Émilie, appréciant chaque contour, chaque texture. Ils s’embrassent à nouveau, cette fois avec une intensité qui révèle toute la passion et l’amour qu’ils ressentent l’un pour l’autre. Émilie se laisse doucement tomber sur Marcus, leurs corps se pressant l’un contre l’autre. Leurs mains continuent d’explorer chaque centimètre de peau offerte, redécouvrant chaque sensation. Leurs baisers deviennent plus profonds, plus urgents, chaque souffle se mêlant dans une danse sensuelle. — Je t’aime » souffle Marcus entre deux baisers, ses mains posées sur les hanches d’Émilie pour la rapprocher encore plus de lui. — Je t’aime aussi, et je veux maintenant passer le reste de ma vie à tes côtés, c’est pour ça que je suis prête à divorcer de Michael.» répond Émilie, sa voix tremblante d’émotion et de désir. — J’ai hâte que tu deviennes ma femme. — Et moi hâte que tu deviens mon homme. Elle se redresse légèrement, plongeant son regard dans cel
Tout en suçant, titillant et tétant ses merveilleux seins, il la soulève doucement pour la déposer sur la table, non loin d’eux et capture à nouveau ses lèvres avec passion. Avec fougue, il l’embrasse, puis abandonne ses lèvres pour la fixer droit dans les yeux avant de lui murmurer « Bébé, j’ai faim de toi. » Suite à ces mots, il ne lui laisse pas le temps de répondre et la penche doucement, déposant des baisers sur ses cuisses jusqu’à arriver à sa belle intimité, où il décide d’ôter délicatement le string qu’elle porte.Une fois fait, il écarte doucement ses jambes avant de se diriger vers le frigo pour prendre le pot de miel. Elle sait déjà ce qu’il s’apprête à faire et elle tremble comme une feuille laissée au vent. Il s’approche d’elle et, avec douceur, tout en la fixant droit dans les yeux, il ouvre la bouteille et commence à faire couler le miel sur sa partie intime ( sa chatte ).Elle sent la fraîcheur du miel, encore glacé par le frigo, se déposer sur sa peau. Il capture à no
Lucie est toujours en voyage avec son patron. D’après ce qu’elle a dit à Florent lors de leur récent appel, le voyage va durer plus d’un mois, car elle doit suivre une formation de trois semaines. Mais Florent ne se soucie plus vraiment d’elle. Il a désormais Andréa, qui le satisfait pleinement, même si cette dernière commence à être dépassée par son appétit sexuel insatiable. Il aime la savourer chaque jour et partout dans la maison. Même Chakirou, le gardien, les a déjà surpris dans la cuisine. Florent l’a aussitôt menacé : s’il osait raconter quoi que ce soit à qui que ce soit, il le virerait et lui rendrait la vie impossible. Pour être sûr de son silence, il lui a interdit de quitter son poste pour venir fouiner dans la maison. Difficilement, Florent tente de se consacrer à ses affaires, mais son obsession pour Andréa ne cesse de grandir. Il veut toujours être auprès d’elle, toujours l’avoir. Et ce n’est pas tout. Il a déjà commencé à lui installer un atelier, et en seulement qu
Marcus s’est déjà préparé pour partir au travail quand il entend quelqu’un sonner. Il regarde l’écran de la caméra qu’il a installée et réalise qu’il s’agit de Raïssa. Cette dernière n’ayant plus de nouvelles de lui et sachant qu’il n’aime pas qu’on le dérange au travail, a décidé de venir le voir tôt le matin, avant qu’il ne quitte la maison. Marcus sort de la maison avec son sac, le dépose dans la voiture, se dirige vers le portail et l’ouvre tout en demandant à Raïssa de l’entendre, afin qu’il puisse faire sortir sa voiture.— Mais je suis venue te voir. — Je n’ai pas dit le contraire. Et comme tu peux le voir, je suis sur le point d’aller au travail. Nous allons donc discuter de la raison de ta présence sur la route et dans la voiture. J’espère que tu me comprends. — Ok, comme tu veux. Sans ajouter un mot de plus, Marcus commence à dégager l’espace pour faire sortir sa voiture, ce qu’il fait avant de refermer le portail. Ils montent dans la voiture et prennent la route. Raïs
Andréa s’est déjà levée pour vaquer à ses tâches de femme de ménage. Pendant ce temps, Florent est encore allongé dans le lit, s’éveillant doucement. Il se redresse et s’assoit, ses pensées immédiatement happées par la nuit torride qu’il vient de passer avec Andréa. Il peine à décrire le plaisir intense qu’elle lui a procuré. Cette sensation est si forte qu’il sent une envie irrésistible monter en lui. Son désir est palpable, sa virilité tendue, et sans trop réfléchir, il se lève pour se rendre sous la douche, tentant de se préparer pour le travail. Mais une fois dans la salle de bain, après s’être brossé les dents et juste avant d’ouvrir l’eau, l’envie devient insoutenable. Il n’a qu’un seul besoin, retrouver Andréa pour apaiser cette ardeur matinale. De retour dans la chambre, il remarque que son téléphone s’est allumé. Intrigué, il le prend et voit plusieurs appels en absence de Lucie, accompagnés de messages. Il les parcourt rapidement et constate qu’elle voulait simplement pr
Florent est allongé sur son lit, attendant Andréa. De son côté, celle-ci, tout juste sortie de la douche, est assise au bord de son lit, une boîte en main. Elle repense aux paroles de sa mère lorsqu’elle lui a donné cette boîte avant son départ au travail. Un peu plus tôt…Andréa, prête à partir, s’apprête à quitter sa chambre lorsque sa mère frappe à la porte et entre, tenant une boîte en plastique. — Maman, il y a un problème ?— Non, ma fille. Je t’ai apporté quelque chose.— Qu’est-ce que c’est ?— On appelle ça « La Chatte Sucrée ». Applique-le dans ta partie intime avant de coucher avec ton patron, et tu verras, il sera sous ton charme et te donnera tout ce que tu voudras. J’espère que tu as bien réfléchi et que tu es prête à jouer le jeu.— Maman, je n’ai pas encore pris de décision…— Dans tous les cas, garde-le et utilise-le au bon moment. C’est une opportunité à ne pas laisser passer.— Tu es sûre qu’il n’y aura pas de risques ?— Ne t’inquiète pas, ma fille. Jamais je n
Résidence de Marcus…Tout se passe bien à la résidence de Marcus. Ils ont fini de dîner, et Marcus propose qu'ils dansent au rythme de la douce musique qui résonne dans toute la pièce. Émilie, d'abord réticente, finit par accepter. Ils se lèvent après avoir déposé leurs verres et commencent à se laisser emporter par la mélodie. Alors qu'ils dansent, les yeux plongés l'un dans l'autre, Marcus prend la parole « Tu es vraiment belle et j’ai tellement envie de te sentir de vrai »Émilie se perd dans la douceur de l'instant, et doucement, leurs lèvres se rapprochent. Ils échangent un premier baiser, puis un second. Alors que Marcus veut aller plus loin, Émilie l'arrête.— Qu'y a-t-il ? » demande-t-il, un peu surpris.— Je ne suis pas sûre que ce soit une bonne chose » répond Émilie, sa voix un peu tremblante. « C'est vrai que j'ai toujours des sentiments pour toi, et rien n'a diminué de ce que je ressens pour toi. Mais je suis une femme mariée, et il y a certaines choses que je ne dois pas
Une fois prêt, vêtu d’un short et d’un t-shirt décontracté, il se dirige vers la salle à manger. Mais alors qu’il passe devant la cuisine, son regard est attiré par Andréa, qui lui tourne le dos, occupée à terminer quelque chose. Il s’arrête net. Son regard glisse sur ses courbes parfaites, sa silhouette envoûtante. Une envie soudaine s’empare de lui. Lentement, il s’approche sans faire de bruit. Absorbée par ses pensées, Andréa ne remarque rien… jusqu’à ce qu’elle sente ses mains se poser sur sa taille. Elle sursaute et tourne légèrement la tête, son cœur battant à tout rompre. — Monsieur, arrêtez… » murmure-t-elle, la voix tremblante. « Le gardien pourrait nous voir. Je ne veux pas de problèmes.Florent resserre doucement son étreinte et dépose de légers baisers dans son cou, un frisson parcourant le corps d’Andréa. — As-tu réfléchi à ce que je t’ai demandé ?» chuchote-t-il à son oreille. « Je te veux, Andréa. Ce soir, je veux que tu dormes à mes côtés.— Dans… votre lit con