Andréa, confuse et surprise, ne comprend pas ce qui se passe avec son patron. Décidant de ne rien ajouter, elle tente de sortir de la chambre, mais Florent se lève et se place devant elle, l'empêchant d’avancer. Déjà envahie par la colère, elle décide de ne plus garder le silence :
— Monsieur, qu'est-ce qui ne va pas chez vous ? Voulez-vous me créer des ennuis ? À quel jeu jouez-vous exactement ? Vous êtes un homme marié, et votre femme est ma patronne ! Il est hors de question que j'accepte ce que vous me demandez. Sans oublier que je suis déjà en couple, j’ai un petit ami que j’aime profondément. Alors, s’il vous plaît, arrêtez.
— Tu me parles de quel mariage ? Tu crois vraiment que ce que tu vois ici ressemble à un mariage ? Elle n’est jamais à la maison, et tout ce qu’elle devrait faire en tant qu’épouse, c’est toi qui le fais… sauf son rôle au lit, qu’elle est aussi incapable d’assumer. Elle ne sert pratiquement à rien dans cette maison. Alors, s’il te plaît…
— Si elle en est arrivée là, c’est peut-être parce que vous l’avez encouragée à privilégier son travail plutôt que son mariage. Assumez simplement les conséquences. Et même si je n’étais pas en couple, jamais je n’accepterais d’être une maîtresse, encore moins celle qui satisfait les envies d’un homme quand sa femme est absente. Je suis désolée.
— Je vais te payer pour ça.
— QUOI ?
— Oui, Andréa, je vais doubler ton salaire. Et ce sera notre secret.
— Monsieur, je ne suis pas intéressée. Je ne suis pas ce genre de fille. Coucher avec un homme marié pour de l’argent ? Très peu pour moi.
— D’accord… et si je te proposais d’être ma petite amie ? Une relation libre. Je ne te demanderai pas de quitter ton mec, et je ne te forcerai jamais à quoi que ce soit. On fera l’amour lorsque tu seras d’accord qu’on le fasse. Tout ce que je veux, c’est que tu sois là pour me tenir compagnie, me donner cette chaleur dont j’ai besoin et que ma femme est incapable de m’offrir.
— Ce n’est pas qu’elle est incapable, monsieur, c’est juste qu’elle est occupée par son travail.
— Andréa, réfléchis-y. Donne-moi une réponse concrète lundi. Tu me plais énormément, et si jusqu’ici j’ai résisté, c’était par respect pour mon mariage. Mais là, je n’en peux plus, elle dépasse les bornes.
— Vous devriez en parler avec votre femme.
— Tu crois que je ne l’ai pas déjà fait ? Des milliers de fois ! Mais elle ne veut rien entendre, son travail passe avant tout.
— Monsieur, je ne vais pas réfléchir à tout ça, parce que réfléchir, ce serait déjà envisager de dire oui. Ce qui n’est pas le cas. J’ai un petit ami, alors merci de comprendre et de respecter cela. Passez une bonne soirée.
— Andréa… tu me plais énormément. Je veux vraiment qu’on se donne une chance.
Sans dire un mot de plus, Andréa quitte la chambre, le cœur battant à tout rompre. Une fois la porte refermée derrière elle, Florent se laisse tomber sur le bord du lit et passe une main sur son entrejambe. Il est déjà dans tous ses états. Si Andréa s’était laissée aller, ils seraient passés aux choses sérieuses. Mais non, elle a résisté. Déçu, frustré, il décide de tenter à nouveau de joindre sa femme.
De son côté, Lucie et son patron sont déjà allongés sur le grand sofa trônant au centre de la pièce. Ils ont dépassé le stade des simples baisers et se laissent aller aux caresses. Monsieur Michael, bien décidé à aller plus loin, glisse lentement sa main sous la robe de Lucie, explorant son corps du bout des doigts. Lucie, d’abord réceptive, finit par le repousser brusquement.
— Je ne peux pas faire ça, monsieur.
Transporté dans un tourbillon de désir, Michael met quelques secondes à assimiler ses paroles. Ce n’est que lorsqu’elle se dégage violemment de son étreinte qu’il revient à la réalité.
— Qu’est-ce qui ne va pas ?
— Je rentre chez moi.
— Tu es sérieuse ?
— Oui, monsieur.
Lucie attrape son sac et plonge sa main à l’intérieur pour récupérer son téléphone. Son souffle se coupe en voyant l’écran affichant une multitude d’appels manqués de Florent.
— Oh mon Dieu…
Sans attendre un instant de plus, elle remet ses talons et quitte précipitamment l’appartement, abandonnant monsieur Michael à son désir inassouvi. Ce dernier, toujours consumé par la frustration, s’affale dans le sofa et pousse un profond soupir.
— Pourquoi cette femme ne veut-elle pas comprendre que tout mon être la réclame ?
Il serre les poings, son regard s’assombrissant.
— Dans tous les cas, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour l’avoir. Je sais qu’elle me désire aussi. Si ce n’était pas pour ce mari insignifiant, elle serait déjà à moi.
Un sourire rusé se dessine sur son visage.
— Ses voyages à répétition jouent en ma faveur… Et pour ça, je vais en organiser un autre très bientôt. Cette fois-ci, elle n’aura pas d’autre choix que de céder.
Il jette un dernier regard à l’appartement, puis se lève, récupère son téléphone et sort à son tour.
De l’autre côté de la ville, dans l’une des boîtes de nuit les plus prisées, Émilie, l’épouse de Monsieur Michael, est assise seule dans l’espace VIP. Elle fait tourner lentement son verre de champagne entre ses doigts, l’air pensive, perdue dans ses pensées. Les lumières tamisées de la boîte de nuit dessinent des ombres délicates sur son visage, mettant en valeur ses traits élégants et son regard mystérieux.
Autour d’elle, les conversations s’interrompent par moments. Des regards furtifs se posent sur elle. Des hommes, intrigués par sa présence solitaire, échangent des murmures. Certains se demandent si elle attend quelqu’un, d’autres hésitent à l’aborder, subjugués par son aura à la fois envoûtante et inaccessible.
Finalement, un homme se détache du groupe et s’approche d’elle d’un pas assuré. Il porte un costume noir sur mesure, dont la coupe impeccable souligne sa prestance. Lorsqu’il arrive à sa hauteur, il la salue d’une voix posée.
Sans lever la tête, Émilie, visiblement peu disposée à faire la conversation, répond d’un ton tranchant :
— Mon ami, je ne suis pas ici pour chercher de la compagnie. Alors, sois gentil, reprends tes deux pieds et retourne d’où tu viens.
Un sourire amusé s’étire sur les lèvres de l’homme. Au lieu de s’éloigner, il laisse échapper une remarque qui la fait tiquer :
— Je ne savais pas que tu m’avais oublié au point de ne plus reconnaître ma voix… Ou alors, c’est ma voix qui a changé, Émilie ?
À ces mots, un frisson lui parcourt l’échine. Elle relève lentement la tête et son cœur rate un battement. Ses yeux s’écarquillent sous le choc.
— Marcus… c’est vraiment toi ?
Devant elle se tient Marcus, son premier amour, celui avec qui elle rêvait de partager sa vie avant d’épouser Michael. — Tu veux toujours que je dégage ? » demande-t-il avec un sourire espiègle. Émilie, submergée par une vague d’émotions, secoue la tête et laisse échapper un rire teinté d’incrédulité et de nostalgie. — Oh non… Comment peux-tu me poser une telle question alors que je suis envahie par la joie de te revoir ? C’est vraiment toi ? Assieds-toi, s’il te plaît. — Oui, c’est bien moi » répond Marcus en prenant place à ses côtés, son regard plongé dans le sien, chargé d’un passé qu’ils n’ont jamais complètement oublié. Sans attendre, Émilie fait un signe à la serveuse attitrée à son service. Cette dernière s’approche, prête à répondre à ses exigences. — Apportez-nous un autre verre et une bouteille de champagne.Mais avant que la serveuse ne puisse acquiescer, Marcus l’interrompt doucement. — Non, pas de champagne. Apportez-nous plutôt une bonne bouteille de vin ro
Jacques, jusqu’ici arrogant, se retrouve sans voix. Andréa ne lui laisse pas le temps de répliquer. — Donc en fait, c’était pour ça que tu m’as appelée tout à l’heure, pour me menacer en voulant me soutirer encore de l’argent ? Pour financer ton petit nid d’amour ?Elle secoue la tête, un rire amer lui échappant. — Tu sais quoi, grand frère, il va falloir que tu trouves un autre endroit où rester. Mais bon, je ne me fais pas de souci, tu es doué pour ça. Tu as toujours su profiter des femmes, alors celle-ci pourra sûrement t’aider, non ?Elle se tourne vers la jeune femme, qui semble de plus en plus perdue. — Mais sois prudente, ma belle. Ce mec est un parasite. Il vit aux crochets des femmes et les jette quand il a trouvé mieux. Un vrai Don Juan de bas étage. Moi, j’en ai assez. C’est terminé.Puis, reprenant son souffle, elle lâche d’un ton ferme : — Jacques, tu as jusqu’à demain pour dégager de cette chambre. Je vais envoyer mes frères récupérer mes affaires et appeler le
Dans la chambre, Émilie s’écroule sur le lit, prend son téléphone et envoie un message à Marcus « Je suis bien arrivée. Bonne nuit. »À peine a-t-elle envoyé son message qu’un sourire en coin effleure ses lèvres. — Marcus n’a pas changé, » pense-t-elle. « Malgré sa réussite, il est resté simple, fidèle à lui-même. Et surtout… il est resté célibataire après ce qui s’est passé entre nous. Peut-être que nous étions vraiment faits pour être ensemble.Elle pousse un long soupir, repensant à son mariage avec Michael. — Comment pourrais-je encore voir un avenir avec cet homme ? Il n’y a plus rien entre nous, rien de concret. Il m’a prise pour acquise et aujourd’hui, je réalise que je ne veux plus de cette vie. Je regrette même déjà de lui avoir donné des enfants.Une lueur de détermination traverse son regard. — Il est peut-être temps de réécrire mon histoire.Se levant, elle se dirige vers la salle de bain pour prendre une douche, prête à mettre de l’ordre dans ses pensées.Résidence
Lucie dépose son téléphone sur la table et continue ce qu’elle faisait sans trop réfléchir. Les voyages d’affaires sont devenus une routine, alors elle ne se pose pas de questions sur cette nouvelle mission. Pourtant, au fond d’elle, une autre pensée l’obsède : comment se faire pardonner par son mari ? Elle semble même avoir relégué au second plan ce qui s’est passé avec son patron dans cet appartement. Résidence d’Andréa… Andréa se réveille avec un mal de tête atroce. Toute la nuit, elle a ressassé ce qui s’est passé avec son patron et les mots qu’il lui a adressés. Malgré la fatigue, elle se lève et se dirige vers la salle de bain pour se rafraîchir, se brosser les dents et prendre une douche. Une fois prête, elle décide d’aller voir sa mère pour lui demander si elle a un médicament contre son mal de tête. Mais en arrivant au salon, elle est stupéfaite. Ses affaires, celles qu’elle avait laissées dans l’appartement qu’elle louait pour Jacques, sont entassées là. Elle s’apprête
Andréa reste silencieuse, le cœur serré, incapable de répondre. — Tu ne peux pas laisser cette opportunité te filer entre les doigts. Je serai là pour te guider pour que tu ne fasses pas de bêtises. Chasse Jacques de ta tête une bonne fois pour toutes. Ce sont des hommes comme ton patron qui méritent une femme comme toi.Sans attendre de réponse, sa mère se lève et retourne dans sa chambre, la laissant seule avec ses pensées. Andréa reste figée, bouleversée. Une partie d’elle rejette l’idée avec dégoût, mais une autre voix, plus perfide, commence à murmurer dans son esprit. « Et si maman avait raison ? »Elle est encore plongée dans ses réflexions lorsqu’elle entend la voix de sa mère à travers la porte « Ton téléphone sonne, Andréa ! » D’un pas lent, comme dans un rêve, elle se lève pour aller voir qui l’appelle. Résidence de Monsieur Michael…Tôt ce matin, Émilie s'est installée sur le balcon, absorbée par son téléphone. Ses doigts glissent sur l’écran, captivée par une discus
Tout doucement, Lucie le retourne sur le dos et monte sur lui. Avec délicatesse, elle descend lentement vers son sexe tendu, verse délicatement du miel sur le gland, pose le pot à côté et commence à lui prodiguer une fellation exquise. Florent n’arrive pas à y croire. Il a l’impression que Lucie veut le pousser à bout. Il se tord de plaisir, gémit comme il peut, mais elle ne s’arrête pas. Elle n’a pas l’intention de s’arrêter. Elle s’y consacre entièrement pendant une bonne dizaine de minutes avant de se redresser. Florent, déjà au bord de l’explosion, se lève d’un bond, la prend dans ses bras et la jette sur le lit. Sans plus attendre, il grimpe sur elle, attrape le pot de miel, en verse délicatement sur ses seins avant de les lécher, les sucer et les caresser du bout de la langue, tout en explorant son corps de ses mains expertes. Lucie se laisse totalement aller. Avec une douceur maîtrisée, il fait glisser sa langue de sa poitrine jusqu’à son nombril, où il s’attarde un instant
Florent, emporté par son désir, laisse sa main glisser sur le corps de sa femme, cherchant à prolonger leur étreinte. Il caresse sa peau, effleure ses courbes, tentant une nouvelle approche. Mais Lucie l’arrête doucement en riant. — Hmm, pas si vite ! J’ai faim, moi… — Moi, j’ai faim de toi » réplique-t-il avec un sourire taquin. — D’accord, mais d’abord, une douche… et ensuite, on mange, d’accord ? Florent grogne faussement, peu convaincu, mais finit par céder. Après tout, il sait qu’elle a fait un grand effort pour lui offrir un tel moment d’intimité, et il veut lui montrer qu’il l’apprécie. Ils se lèvent donc ensemble et se rendent sous la douche. Là, entre l’eau tiède qui ruisselle sur leurs corps, les taquineries et les baisers échangés, leur complicité renaît encore un peu plus… Pendant ce temps, dans la résidence de Monsieur Michael… Émilie est toujours accrochée à son téléphone. Pour éviter d’attirer l’attention, elle s’est discrètement réfugiée dans l’une des ch
Résidence de Marcus…Marcus dépose enfin son téléphone et se dirige vers la cuisine, son ventre criant famine. Pris dans son appel avec Émilie, il en avait complètement oublié de manger. Un sourire aux lèvres, il ouvre le réfrigérateur et commence à réfléchir à ce qu’il pourrait préparer. Mais alors qu’il s’apprête à sortir des ingrédients, son téléphone se met à sonner. Curieux et légèrement excité, il se précipite pour voir l’écran, espérant que ce soit Émilie qui l’appelle à nouveau. Mais non, c’est Raïssa. Celle-là même qui l’avait poussé à se rendre dans ce night-club où il avait croisé Émilie. Il hésite un instant, puis soupire. Depuis cette rencontre, ses priorités avaient changé. Il ne voulait plus essayer quoi que ce soit avec Raïssa. D’un geste ferme, il raccroche et lui envoie un simple message « Je suis occupé. On se parle plus tard. » Puis il repose son téléphone et retourne à son repas, l’esprit encore troublé par cette soudaine résurgence du passé. De son côté, A
Michael laisse tomber la lettre. Il n’arrive tout simplement pas à y croire… Lucie est enfin arrivée à la maison. Elle descend du taxi, règle le chauffeur, puis regarde la voiture s’éloigner. Le gardien, qui l’a déjà remarquée, sort aussitôt pour lui ouvrir le portail. Elle le salue poliment avant de se diriger vers l’intérieur. En apercevant la voiture de son mari garée dans l’allée, elle s’étonne. « Pourquoi n’est-il pas au bureau ?» se demande-t-elle. Une fois dans le grand salon, elle constate que la maison est étrangement vide. Elle hésite à appeler Andréa, mais s’en abstient. Alors qu’elle s’apprête à emprunter le couloir menant à sa chambre, un bruit inhabituel attire son attention. Des gémissements. D’abord faibles, ils deviennent de plus en plus intenses à mesure qu’elle avance. Son cœur s’emballe. Un mauvais pressentiment la gagne, mais elle continue. Les sons la guident jusqu’à la seconde chambre, dont la porte est entrouverte. Lucie sent une boule se former dan
Il fait glisser ses mains le long des courbes d’Émilie, appréciant chaque contour, chaque texture. Ils s’embrassent à nouveau, cette fois avec une intensité qui révèle toute la passion et l’amour qu’ils ressentent l’un pour l’autre. Émilie se laisse doucement tomber sur Marcus, leurs corps se pressant l’un contre l’autre. Leurs mains continuent d’explorer chaque centimètre de peau offerte, redécouvrant chaque sensation. Leurs baisers deviennent plus profonds, plus urgents, chaque souffle se mêlant dans une danse sensuelle. — Je t’aime » souffle Marcus entre deux baisers, ses mains posées sur les hanches d’Émilie pour la rapprocher encore plus de lui. — Je t’aime aussi, et je veux maintenant passer le reste de ma vie à tes côtés, c’est pour ça que je suis prête à divorcer de Michael.» répond Émilie, sa voix tremblante d’émotion et de désir. — J’ai hâte que tu deviennes ma femme. — Et moi hâte que tu deviens mon homme. Elle se redresse légèrement, plongeant son regard dans cel
Tout en suçant, titillant et tétant ses merveilleux seins, il la soulève doucement pour la déposer sur la table, non loin d’eux et capture à nouveau ses lèvres avec passion. Avec fougue, il l’embrasse, puis abandonne ses lèvres pour la fixer droit dans les yeux avant de lui murmurer « Bébé, j’ai faim de toi. » Suite à ces mots, il ne lui laisse pas le temps de répondre et la penche doucement, déposant des baisers sur ses cuisses jusqu’à arriver à sa belle intimité, où il décide d’ôter délicatement le string qu’elle porte.Une fois fait, il écarte doucement ses jambes avant de se diriger vers le frigo pour prendre le pot de miel. Elle sait déjà ce qu’il s’apprête à faire et elle tremble comme une feuille laissée au vent. Il s’approche d’elle et, avec douceur, tout en la fixant droit dans les yeux, il ouvre la bouteille et commence à faire couler le miel sur sa partie intime ( sa chatte ).Elle sent la fraîcheur du miel, encore glacé par le frigo, se déposer sur sa peau. Il capture à no
Lucie est toujours en voyage avec son patron. D’après ce qu’elle a dit à Florent lors de leur récent appel, le voyage va durer plus d’un mois, car elle doit suivre une formation de trois semaines. Mais Florent ne se soucie plus vraiment d’elle. Il a désormais Andréa, qui le satisfait pleinement, même si cette dernière commence à être dépassée par son appétit sexuel insatiable. Il aime la savourer chaque jour et partout dans la maison. Même Chakirou, le gardien, les a déjà surpris dans la cuisine. Florent l’a aussitôt menacé : s’il osait raconter quoi que ce soit à qui que ce soit, il le virerait et lui rendrait la vie impossible. Pour être sûr de son silence, il lui a interdit de quitter son poste pour venir fouiner dans la maison. Difficilement, Florent tente de se consacrer à ses affaires, mais son obsession pour Andréa ne cesse de grandir. Il veut toujours être auprès d’elle, toujours l’avoir. Et ce n’est pas tout. Il a déjà commencé à lui installer un atelier, et en seulement qu
Marcus s’est déjà préparé pour partir au travail quand il entend quelqu’un sonner. Il regarde l’écran de la caméra qu’il a installée et réalise qu’il s’agit de Raïssa. Cette dernière n’ayant plus de nouvelles de lui et sachant qu’il n’aime pas qu’on le dérange au travail, a décidé de venir le voir tôt le matin, avant qu’il ne quitte la maison. Marcus sort de la maison avec son sac, le dépose dans la voiture, se dirige vers le portail et l’ouvre tout en demandant à Raïssa de l’entendre, afin qu’il puisse faire sortir sa voiture.— Mais je suis venue te voir. — Je n’ai pas dit le contraire. Et comme tu peux le voir, je suis sur le point d’aller au travail. Nous allons donc discuter de la raison de ta présence sur la route et dans la voiture. J’espère que tu me comprends. — Ok, comme tu veux. Sans ajouter un mot de plus, Marcus commence à dégager l’espace pour faire sortir sa voiture, ce qu’il fait avant de refermer le portail. Ils montent dans la voiture et prennent la route. Raïs
Andréa s’est déjà levée pour vaquer à ses tâches de femme de ménage. Pendant ce temps, Florent est encore allongé dans le lit, s’éveillant doucement. Il se redresse et s’assoit, ses pensées immédiatement happées par la nuit torride qu’il vient de passer avec Andréa. Il peine à décrire le plaisir intense qu’elle lui a procuré. Cette sensation est si forte qu’il sent une envie irrésistible monter en lui. Son désir est palpable, sa virilité tendue, et sans trop réfléchir, il se lève pour se rendre sous la douche, tentant de se préparer pour le travail. Mais une fois dans la salle de bain, après s’être brossé les dents et juste avant d’ouvrir l’eau, l’envie devient insoutenable. Il n’a qu’un seul besoin, retrouver Andréa pour apaiser cette ardeur matinale. De retour dans la chambre, il remarque que son téléphone s’est allumé. Intrigué, il le prend et voit plusieurs appels en absence de Lucie, accompagnés de messages. Il les parcourt rapidement et constate qu’elle voulait simplement pr
Florent est allongé sur son lit, attendant Andréa. De son côté, celle-ci, tout juste sortie de la douche, est assise au bord de son lit, une boîte en main. Elle repense aux paroles de sa mère lorsqu’elle lui a donné cette boîte avant son départ au travail. Un peu plus tôt…Andréa, prête à partir, s’apprête à quitter sa chambre lorsque sa mère frappe à la porte et entre, tenant une boîte en plastique. — Maman, il y a un problème ?— Non, ma fille. Je t’ai apporté quelque chose.— Qu’est-ce que c’est ?— On appelle ça « La Chatte Sucrée ». Applique-le dans ta partie intime avant de coucher avec ton patron, et tu verras, il sera sous ton charme et te donnera tout ce que tu voudras. J’espère que tu as bien réfléchi et que tu es prête à jouer le jeu.— Maman, je n’ai pas encore pris de décision…— Dans tous les cas, garde-le et utilise-le au bon moment. C’est une opportunité à ne pas laisser passer.— Tu es sûre qu’il n’y aura pas de risques ?— Ne t’inquiète pas, ma fille. Jamais je n
Résidence de Marcus…Tout se passe bien à la résidence de Marcus. Ils ont fini de dîner, et Marcus propose qu'ils dansent au rythme de la douce musique qui résonne dans toute la pièce. Émilie, d'abord réticente, finit par accepter. Ils se lèvent après avoir déposé leurs verres et commencent à se laisser emporter par la mélodie. Alors qu'ils dansent, les yeux plongés l'un dans l'autre, Marcus prend la parole « Tu es vraiment belle et j’ai tellement envie de te sentir de vrai »Émilie se perd dans la douceur de l'instant, et doucement, leurs lèvres se rapprochent. Ils échangent un premier baiser, puis un second. Alors que Marcus veut aller plus loin, Émilie l'arrête.— Qu'y a-t-il ? » demande-t-il, un peu surpris.— Je ne suis pas sûre que ce soit une bonne chose » répond Émilie, sa voix un peu tremblante. « C'est vrai que j'ai toujours des sentiments pour toi, et rien n'a diminué de ce que je ressens pour toi. Mais je suis une femme mariée, et il y a certaines choses que je ne dois pas
Une fois prêt, vêtu d’un short et d’un t-shirt décontracté, il se dirige vers la salle à manger. Mais alors qu’il passe devant la cuisine, son regard est attiré par Andréa, qui lui tourne le dos, occupée à terminer quelque chose. Il s’arrête net. Son regard glisse sur ses courbes parfaites, sa silhouette envoûtante. Une envie soudaine s’empare de lui. Lentement, il s’approche sans faire de bruit. Absorbée par ses pensées, Andréa ne remarque rien… jusqu’à ce qu’elle sente ses mains se poser sur sa taille. Elle sursaute et tourne légèrement la tête, son cœur battant à tout rompre. — Monsieur, arrêtez… » murmure-t-elle, la voix tremblante. « Le gardien pourrait nous voir. Je ne veux pas de problèmes.Florent resserre doucement son étreinte et dépose de légers baisers dans son cou, un frisson parcourant le corps d’Andréa. — As-tu réfléchi à ce que je t’ai demandé ?» chuchote-t-il à son oreille. « Je te veux, Andréa. Ce soir, je veux que tu dormes à mes côtés.— Dans… votre lit con