Louis a lâché Céleste et déchiré lentement le chèque en morceaux. Céleste s’est élancée pour arrêter Louis, mais a été repoussée brutalement. Cruel et inhumain, il lui a dit d’un ton froid : « Je t’ai laissé une chance. »La dernière espérance de Céleste a été détruite comme ce chèque déchiré. Les m
Céleste avait l’air calme lorsqu’elle parlait de Louis, comme si elle était prête à lâcher prise. Mais Jean savait que ce n’était pas le cas. Si l’on aime quelqu’un de tout son cœur, il faut beaucoup pour se remettre de la séparation. Jean comprenait que Céleste faisait semblant d’être indifférente, mais elle se cacherait pour pleurer.Jean ne posait plus de questions à Céleste. Il a changé de sujet : « Je sais que tu n’as pas encore payé les frais d’hospitalisation de ton père. En tant qu’ami, je peux te donner un coup de main, tu pourras me rembourser plus tard. » Jean était au courant que Céleste n’avait pas les moyens. Il lui a proposé son aide à plusieurs reprises, mais elle l’a refusé à chaque fois. La réponse de Céleste a été la même cette fois-ci : « Non, merci. »« Céleste, pense à ton père. Est-ce que tu préfères être insultée par cet abruti plutôt que d’accepter ma gentillesse ? Je veux simplement t’aider sans aucune condition. Je ne suis pas aussi riche que Louis, mais m
Céleste pensait que ce n’était pas un hasard, elle était certaine que quelqu’un a fait exprès de cacher la vérité. Puisqu’elle s’est trouvée une impasse en cherchant les employés de la famille Durand, elle a changé immédiatement de stratégie. Céleste était maline, elle s’est tournée vers le chauffe
Céleste a regardé l’adresse sur le papier, c’était un parc sépulcral. Céleste s’est dit : « Est-ce que la sœur de Louis est morte ? Mais qu’est-ce que mon père a avoir avec la mort de sa sœur ? Je connais père, il ne ferait jamais de mal à une petite fille ». Céleste savait que c’était tout ce que les deux pouvaient lui dire, alors elle ne les posait plus de questions. Pendant le reste du trajet, elle restait silencieuse.Ils sont bientôt arrivés au manoir de la famille Leroy. À la vue de cette maison familière, Céleste avait des sentiments mêlés. Adam lui a demandé poliment : « Madame, voulez-vous descendre de la voiture ? » Céleste a répondu : « Non, j’attends Louis dans la voiture ». Après le divorce, Céleste se séparerait de Louis pour toujours, donc elle ne voulait pas d’accident.Toutes les choses ici pouvaient réveiller ses souvenirs avec Louis, ce qui lui ferait du mal. Elle n’avait pas envie de prendre le risque. Si ce n’était pas pour Louis, qui l’avait traitée extrêmeme
« Louis, est-ce que tu me hais ? » « Oui. » Entendant sa réponse, Céleste s’est tournée vers lui et a demandé d’une voix basse : « Donc… seras-tu heureux si je suis morte ? » La question de Céleste a été comme un grondement de tonnerre pour Louis. Il n’arrivait pas à réfléchir clairement à cause
Il était silencieux dans la voiture, et Sarah parlait fort en raison de l’inquiétude, Céleste a donc clairement entendu qu’elle a appelé l’enfant « Charles ». Elle s’est encore souvenue du jour où elle avait obtenu le résultat du test de grossesse, elle s’est précipitée vers Louis, folle de joie. « Louis, tu vas être père ! Je suis enceinte ! J’ai déjà décidé du nom de notre bébé. Si c’est une fille, on l’appelle Catherine. Si c’est un garçon, on l’appelle Charles. Qu’est-ce que tu en penses ? »Céleste souhaitait qu’elle ait mal entendu, mais Louis n’a pas évité son regard, il lui a répondu clairement et sans hésitation : « Il s’appelle Charles. » « Salaud ! » Céleste a levé la main pour lui donner une gifle. Cette fois, Louis n’a pas esquivé, il l’a laissé frapper.« Comment oses-tu donner à son enfant le nom que j’ai choisi pour le mien ? » Pour céleste, l’enfant était la ligne rouge. Ses larmes ne cessaient de couler. Elle s’est jetée sur lui comme une folle. « Tu es un démon !
« Et si je refuse ? » Céleste le regardait avec ses yeux aussi purs et clairs que des montagnes vertes après la pluie. Elle a arrêté de pleurer et affiché un air indifférent « Alors je sauterai de la voiture. Si je ne peux pas sauver mon père, je ne veux plus vivre. »Louis a sorti un chèque et y a
Céleste a passé un bon moment à marmonner dans le cimetière. Mais elle ne pouvait plus se plonger dans le chagrin, elle n’avait pas le temps. Elle a décidé de continuer des enquêtes à partir de la photo de cette fille. La plupart des femmes que son père connaissait étaient ses collègues dans l’entreprise. Au moment où elle allait contacter ses collègues, elle a reçu un appel.Celui qui l’a appelé était Jacques Giraud. Il était l’un des enfants vivant dans les régions reculées à qui son père a donné une assistance financière. Jacques a demandé avec inquiétude : « Mme Durand, j’ai entendu dire que votre père était gravement malade. Comment va-t-il ? » « Merci de votre gentillesse. Mon père est soigné à l’hôpital. » « M. Durand est un homme si gentil. Sans son aide, nous n’aurions pas pu quitter les zones montagneuses pauvres et n’aurions pas une vie heureuse. »Une idée est soudainement venue à l’esprit de Céleste. Paul avait commencé à financer les enfants dans les régions reculées i