À la fin de l’émission, une image de Charles qui était en train de s'excuser s’est même affichée.Christine avait un air embarrassé en voyant l’image de Charles.Aurélie a froncé les sourcils en disant à voix basse : « Qu’est-ce qu’il a fait ? Il a attaqué John, il ne veut plus vivre ? »En voyant que Christine était de mauvaise humeur, Aurélie a demandé : « Christine, tu vas bien ? »« Ça va. » a répondu Christine en pansant que Charles perdait non seulement la face à la maison, mais aussi à la tété.« Christine, écoute-moi, Charles n'est pas du tout digne de toi. Sinon je te présenterai à Kevin plus tard. »« Laisse tomber. » a répondu Christine immédiatement.Aurélia a secoué la tête, se sentant secrètement désolée pour Christine. Elle pensait qu’avec la beauté et le talent de Christine, cette dernière aurait pu épouser quelqu’un de beaucoup mieux que Charles.Après le déjeuner, Christine est retournée au Groupe Bonheur qui avait beaucoup de problèmes actuellement, et elle é
Aucune femme ne voulait que son mari soit un inutile et Christine ne faisait pas exception. Elle savait que Charles était fort dans la médecine, plus fort que les 99% des médecins traditionnels de la Rue d'Asclépios. Mais Charles était toujours très paresseux. Elle voulait que Charles se relève. Bien que la proposition de Christine soit tentante, Charles n'avait vraiment pas envie de se faire remarquer, il s’était donné beaucoup de peine pour s'intégrer dans la classe sociale inférieure et il jouissait de sa vie actuelle. « Chérie, sinon tu peux participer toi-même à la compétition ? » a dit Charles. Christine a répondu sévèrement : « Charles, qu'est-ce que tu veux dire ? Dis-le simplement si tu ne veux pas y aller, pourquoi veux-tu que j'y aille ? Je ne connais rien à la médecine, je ne connais même pas les herbes. D’ailleurs, qu'est-ce que tu as fait aujourd'hui ? Pourquoi tu as attaqué la star ? Tu t’es ridiculisé même à la télévision ! » « Chérie, ce n'est pas ce que je veu
Christine n’aimait pas non plus être trop saillante, et cette voiture était trop remarquable quand elle la conduisait.Charles a ouvert la portière de la Maserati et s'est installé sur le siège du conducteur, tandis que Christine s'est installée sur le siège du passager. Charles a démarré le voiture et s’est dirigé vers l'entrée de l'autoroute.Nord-Fleuve était au nord de Centre-Fleuve, qui était également l'une des villes les plus grandes du pays.Charles n'a conduit ni trop vite, ni trop lentement, et a maintenu la vitesse à 120 km/h une fois sur l'autoroute.Christine a pris la parole : « Charles, il faut qu’on achète des cadeaux une fois qu’on sera arrivé au centre-ville de Nord-Fleuve. Je ne suis pas allée à Nord-Fleuve et je n'ai pas vu mes grands-parents depuis dix ans, alors nous ne pouvons pas être trop minables lorsque nous irons célébrer l'anniversaire de ma grand-mère cette fois-ci. »En disant cela, elle a sorti une carte et l’a tendue à Charles : « C'est ma nouvelle
Centre-Fleuve était la capitale du médicament. Nord-Fleuve, qui était juste à côté de Centre-Fleuve, avait également beaucoup de pharmacies de médicaments traditionnels. Charles et Christine se sont promenés en ville et sont bientôt arrivés à la Pharmacie Lafayette, la plus grande pharmacie de Nord-Fleuve. La Pharmacie Lafayette était très grande et luxueusement décorée, il y avait même des femmes en tenue d'infirmière qui se tenaient à l'entrée pour recevoir les clients. Charles et Christine sont entrés tous les deux dans la Pharmacie Lafayette, une vendeuse en tenue d'infirmière qui s’appelait Lya s'est avancée et a demandé en souriant : « Bonjour, je peux vous aider ? » Christine a répondu : « Nous voulons acheter des ginsengs sauvages. » « Très bien, par ici s'il vous plaît. » Lya les a orientés vers un comptoir, puis elle a sorti plusieurs boîtes bien ornées contenant des ginsengs avec un parfum charmant. « Ce sont tous des ginsengs sauvages de bonne qualité, qui ont
Lya a sorti une calculatrice pour faire le calcul. « Cela fait un total de quatre millions trois cent soixante-huit mille euros, alors j'efface la monnaie et vous devez encore payer quatre millions trois cent mille euros. » a dit Lya. « Haha ! » Charles a éclaté de rire : « Qu’est-ce que vous faites ? Vous voulez nous forcer à payer ? » « Oui, c’est ce que je vais faire. » a dit un homme venant de loin qui avait une trentaine d'années, portant une chemise noire avec un gros collier en or pendait à son cou, et il était suivi par deux hommes grands et robustes. De nombreux clients ont regardé Charles et Christine avec un air amusé. Ils savaient tous qu'ils allaient assister à un bon spectacle aujourd'hui. L'homme portant une chemise noire s’appelait Rémi Herve, il a jeté un coup d'œil à toutes les boîtes de ginseng ouvertes sur la table en riant : « C'est la règle de la Pharmacie Lafayette. Le ginseng n'est pas autorisé à voir la lumière, et quand il a vu la lumière, son énergi
D’un seul coup de pied, un homme robuste de plus de cent kilos s’est envolé. Rémi avait une mine maussade : « Petit, tu sais où tu es ? Tu es à Nord-Fleuve ! Je me fiche de ton origine, quand tu es à Nord-Fleuve, tu dois m’obéir. Maintenant agenouille-toi et admets tes erreurs, et je pourrais te laisser partir. » « Chéri, laisse tomber. » a dit Christine à Charles. Charles a hoché la tête. Rémi a fixé Christine des yeux, il était attiré par la beauté de Christine. Il a ricané : « Vous voulez partir ? Pas question ! » En disant cela, il a sorti son téléphone et a passé un appel. Charles ne voulait pas gâcher du temps avec ces clowns, il a tiré Christine pour partir. « Arrêtez-les ! » a dit Rémi. Un garde du corps a instantanément tendu son poing pour frapper Charles. Charles s'est retourné directement et a donné rapidement un coup de pied au garde du corps qui est tombé en s’écrasant contre le comptoir. Boum ! Le comptoir en verre s'est instantanément brisé en morcea
Charles avait toujours un air indifférent.À ce moment-là, les vendeuse avaient déjà expulsé tous les autres clients de la Pharmacie Lafayette, il ne restait que Charles et Christine au premier étage.Toc, toc, toc ! Le bruit des pas s’est fait entendre. Bientôt, des dizaines d’hommes avec des armes telles que des barres de fer, des machettes, des matraques électriques, etc., se sont précipitées au premier étage.« Monsieur Rémi. » a dit respectueusement un homme d'une vingtaine d'années en s’approchant de Rémi.Christine a pâli en voyant ces hommes, tandis que Charles était toujours calme.Rémi s’est levé avec un sourire : « Haha ! Petit, agenouille-toi et demande-moi pardon immédiatement, je te promets que je ne casserai que tes deux jambes. Et on sera quitte à condition que tu me prêtes ta femme pour quelque jours, sinon... »À ces mots, Charles s’est immédiatement mis en colère, si on lui créait des ennuis, il pouvait toujours se retenir, mais si on voulait embêter Christine,
Christine était très effrayée en entendant que la police arrivait bientôt. Au début, elle n'avait pas peur parce qu'elle avait raison, c'était la Pharmacie Lafayette qui l’avait forcée à acheter des ginsengs qu’elle ne voulait pas acheter. Mais maintenant, son mari avait blessé tant de personnes, il risquait d’aller en prison. « Chéri, qu’est-ce qu’on doit faire ? Ah, oui ! La famille Herve a des membres qui travaillent dans la zone militaire, je vais les appeler pour qu’ils viennent nous aider. » a dit Christine qui était sur le point de passer un appel. Charles a répondu : « Chérie, c’est rien, c'est vraiment rien ! Ne dérange pas les Herve, je peux résoudre ça, fais-moi confiance... » À ce moment-là, des bruits de pas se sont fait entendre. Une douzaine de policiers sont arrivés, ils étaient tous stupéfaits en voyant des dizaines d’hommes allongés sur le sol. « Monsieur George, vous êtes enfin arrivé ! » a dit Rémi qui s’est forcé à se lever, puis il a montré du doigt Char