D’un seul coup de pied, un homme robuste de plus de cent kilos s’est envolé. Rémi avait une mine maussade : « Petit, tu sais où tu es ? Tu es à Nord-Fleuve ! Je me fiche de ton origine, quand tu es à Nord-Fleuve, tu dois m’obéir. Maintenant agenouille-toi et admets tes erreurs, et je pourrais te laisser partir. » « Chéri, laisse tomber. » a dit Christine à Charles. Charles a hoché la tête. Rémi a fixé Christine des yeux, il était attiré par la beauté de Christine. Il a ricané : « Vous voulez partir ? Pas question ! » En disant cela, il a sorti son téléphone et a passé un appel. Charles ne voulait pas gâcher du temps avec ces clowns, il a tiré Christine pour partir. « Arrêtez-les ! » a dit Rémi. Un garde du corps a instantanément tendu son poing pour frapper Charles. Charles s'est retourné directement et a donné rapidement un coup de pied au garde du corps qui est tombé en s’écrasant contre le comptoir. Boum ! Le comptoir en verre s'est instantanément brisé en morcea
Charles avait toujours un air indifférent.À ce moment-là, les vendeuse avaient déjà expulsé tous les autres clients de la Pharmacie Lafayette, il ne restait que Charles et Christine au premier étage.Toc, toc, toc ! Le bruit des pas s’est fait entendre. Bientôt, des dizaines d’hommes avec des armes telles que des barres de fer, des machettes, des matraques électriques, etc., se sont précipitées au premier étage.« Monsieur Rémi. » a dit respectueusement un homme d'une vingtaine d'années en s’approchant de Rémi.Christine a pâli en voyant ces hommes, tandis que Charles était toujours calme.Rémi s’est levé avec un sourire : « Haha ! Petit, agenouille-toi et demande-moi pardon immédiatement, je te promets que je ne casserai que tes deux jambes. Et on sera quitte à condition que tu me prêtes ta femme pour quelque jours, sinon... »À ces mots, Charles s’est immédiatement mis en colère, si on lui créait des ennuis, il pouvait toujours se retenir, mais si on voulait embêter Christine,
Christine était très effrayée en entendant que la police arrivait bientôt. Au début, elle n'avait pas peur parce qu'elle avait raison, c'était la Pharmacie Lafayette qui l’avait forcée à acheter des ginsengs qu’elle ne voulait pas acheter. Mais maintenant, son mari avait blessé tant de personnes, il risquait d’aller en prison. « Chéri, qu’est-ce qu’on doit faire ? Ah, oui ! La famille Herve a des membres qui travaillent dans la zone militaire, je vais les appeler pour qu’ils viennent nous aider. » a dit Christine qui était sur le point de passer un appel. Charles a répondu : « Chérie, c’est rien, c'est vraiment rien ! Ne dérange pas les Herve, je peux résoudre ça, fais-moi confiance... » À ce moment-là, des bruits de pas se sont fait entendre. Une douzaine de policiers sont arrivés, ils étaient tous stupéfaits en voyant des dizaines d’hommes allongés sur le sol. « Monsieur George, vous êtes enfin arrivé ! » a dit Rémi qui s’est forcé à se lever, puis il a montré du doigt Char
Charles a regardé les policiers en face de lui. Ils étaient onze en tout, dont quatre marchant vers Charles avec leurs armes dans les mains. Charles a sorti onze aiguilles d’argent et a violemment agité sa main. Quatre aiguilles d'argent ont été projetées comme des balles, perçant avec précision les poignets des quatre policiers. « Ah ! » Les armes à feu dans les mains des quatre policiers sont instantanément tombées par terre. Charles a agité de nouveau sa main. Plusieurs aiguilles d'argent se sont envolées et perçant le corps des autres policiers qui ont instantanément senti leur corps s'engourdir et ne pouvaient même pas bouger. Cette scène a fait peur à George. Rémi, de son côté, était également en état de choc. « Qu’est-ce que c’est ? » Christine était également abasourdie. Elle s’est mariée avec Charles depuis longtemps, mais elle ne savait pas que Charles avait des tours aussi bizarres. D'un simple geste de la main et avec des aiguilles d'argent, il avait maîtrisé auta
Charles est sorti de La Pharmacie Lafayette avec Christine. Il se demandait pourquoi ils avait eu tant de problèmes, ils ont juste voulu acheter un ginseng. Christine a soudainement tendu sa petite main blanche en disant : « Donne-la-moi. » Charles s'est figé pendant un instant puis il a demandé : « Quoi ? » « La pièce noire que tu as sortie tout à l’heure, je l’ai déjà vue. » Charles a tendu sa pièce d’identité et Christine l'a instantanément prise. « Le Dragon Noir ? » a dit Christine en riant. « Qu'est-ce qui te fait rire ? » a demandé Charles. « Charles, tu t'ennuies ou quoi ? Si tu veux faire une fausse pièce d'identité, il faut la faire sérieusement. Qu'est-ce que tu fais avec une pièce d’identité du Dragon Noir ? » Charles s'est frotté le nez. Avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit, Christine a directement jeté la pièce d’identité dans la poubelle. « Tu... » Charles a ouvert la bouche mais n'a rien dit. Christine a réprimandé : « Ne fais pas des choses
Charles lui a répondu : « Oui, l’affaire a été réglée, mais je rencontre une autre situation. Christine a jeté ma carte d’identité de Dragon Noir. Je veux que tu appelles Félix et que tu lui demandes de la récupérer et de la garder pour le moment. » « D’accord, où se trouve votre carte d’identité ? » Charles lui a donné une adresse, puis Daniel a raccroché et a appelé Félix. Bientôt, Christine est revenue. Avec Charles, ils sont allés au parking et se sont dirigés vers la famille Moreau. Félix, qui avait reçu l'appel de Daniel, n'a pas osé ralentir et a personnellement fouillé dans la poubelle que Daniel avait mentionnée. Cette scène a attiré l'attention de nombreux passants.« Regarde ! Le général est en train de fouiller dans les poubelles ! »« Oh-là-là ! »Les passants sont restés bouche bée.Félix ne s'est pas soucié des murmures des passants, car il a rapidement trouvé une carte d'identité noire dans la poubelle et en a sorti. Quand il l'a ouverte, il n'a pas pu s'empêcher de s'
Le plus jeune oncle de Christine, Marcel Moreau, était la seule personne en affaires dans la famille Moreau et possédait beaucoup plus de richesses que la famille Cyr. Son fils unique, Martin, a travaillé pour l'entreprise familiale depuis qu'il a obtenu son diplôme universitaire et il était maintenant le directeur général. Dans quelques années, Martin deviendrait le président du conseil d'administration.La famille de Marcel était les favoris de toute la famille Moreau en raison de leur générosité, ils n'hésitaient pas à prêter de l'argent aux membres de la famille et ne demandaient jamais à le récupérer. Au fil des ans, ils ont dû prêter des centaines de millions d'euros.Marcel s'est approché, en regardant la Ferrari rouge en édition limitée garée devant la porte, il a hoché la tête et a commenté : « Pas mal. Avec un prix de plus de vingt-huit millions, elle est considérée comme une voiture de luxe haut de gamme. Simon, c’est ta voiture ? »« Bien sûr. » Simon a affiché un air fier.
Céline a répondu : « Je suis responsable du département de la commercialisation des aliments. » Martin s'est empressé de dire : « Céline, ma famille a aussi l'intention de s'installer dans le Centre de Nouvelle Ère, mais pour l'instant il n'est ouvert qu'aux très grands groupes, pas encore aux petits groupes. Alors, comme tu es responsable d’un département de cette société, est-ce que tu peux aider ma famille à s'y installer plus tôt ? »« Mais… » Céline avait l'air difficile, car les règles de son entreprise interdisaient la corruption et le népotisme et la puniraient sévèrement si elle était prise en délit, mais elle était trop gênée pour refuser lorsque sa famille le lui demandait. Elle a jeté un coup d'œil à Charles et vu que ce dernier ne disait rien, elle a réfléchi et a hoché la tête : « Je ne peux pas décider toute seule, je parlerai à Madame Dublanc quand je serai de retour au bureau. »« Super ! » Martin s'est écrié avec enthousiasme : « Céline, tu es vraiment compétente, tu
« Christine, transfère-moi les 10 milliards. Je les garderai. Je vais faire une planification pour dépenser ces 10 milliards. Nous allons d’abord acheter une grande villa, puis je ferai le tour du monde. » Hélène a déjà fait des plans pour la suite.« Non. » Christine l’a résolument refusée.« Cet argent est à moi, comment puis-je te le transférer ? »Christine savait que si elle donnait les 10 milliards à Hélène, elle ne les récupérerait jamais.À l’hôpital militaire.« Quoi ? » Pascal a été choqué.« Frère Ducasse, est-ce vrai ? Tu as donné 10 milliards à Christine? Vous n’aurez aucun rapport à partir d’aujourd’hui? »Charles a dit avec impuissance : « Christine et moi ne sommes pas du tout faits pour être ensemble. Elle ne m’aime pas du tout. Je prends cet argent pour le paiement complet de ma dette envers elle. »« Mais elle est tombée amoureuse du Dragon Noir, tu es le Dragon Noir. Pourquoi ne lui as-tu pas dit que tu es le Dragon Noir? Si tu le lui dis, tu auras encore une chanc
Après avoir hésité un instant, Christine a dit : « Tu as sauvé sa fille, alors tu devrais être payé pour ça. Je ne veux pas te menacer de divorcer. Je pense que si un couple est fait pour être ensemble, ils devraient être ensemble. Au contraire, il vaut mieux se séparer. Je ne pense pas que nous soyons un couple fait pour être ensemble. »« J’ai compris. » Charles a pris une profonde inspiration. Bien que Christine ait dit qu’elle ne voulait pas le menacer de divorcer, ce qu’elle avait dit était évident. À ce moment-là, Charles était un peu déçu, déçu de la famille Cyr et de Christine. Les membres de la famille Cyr étaient toujours dégoûtants, peu importe à quoi ils avaient survécu, ils ne pourraient jamais être changés. Quant à Christine, au tout début, elle avait eu un cœur en or même si elle avait grandi dans une telle famille. Cependant, elle est progressivement devenue aussi snob que les membres de sa famille.Il s’est levé et a dit sérieusement en regardant Christine : « Christi
« Il est le héros du monde et vous êtes la plus belle femme de Centre-Fleuve. Vous êtes un couple parfait. Si vous vous mariez, ceci sera une bonne histoire amoureuse. »En entendant cela, Christine était également un peu gênée et a expliqué hâtivement : « Vous avez mal compris, je ne suis qu’une amie du Dragon Noir et je ne divorcerai pas de mon mari. Mon mari était un subordonné du Dragon Noir. Ils s’entendaient très bien. »À côté d’eux, Charles était très heureux quand il a entendu cela, car il pensait que Christine n’avait plus l’intention de divorcer. Maintenant, tant qu’il faisait des efforts, il pourrait tôt ou tard avoir la passion de Christine.Après avoir expliqué, Christine est partie avec Charles, main dans la main. À ce moment-là, elle était si connue que peu importe où elle allait, elle était entourée d’un tas de gens, et ces gens posaient presque toujours des questions sur elle et le Dragon Noir.Ils ont ensuite quitté la bijouterie.Christine s’est excusée : « Charles,
Christine était paniquée parce que Charles était vraiment gentil avec elle. Il faisait tout ce qu’elle disait et lui obéissait au doigt et à l’œil. Cependant, elle était tombée amoureuse d’un autre homme. C’était une infidélité conjugale. Elle sentait une brûlure sur son visage et s’est avancée la tête baissée, n’osant pas regarder Charles.Charles a couru rapidement pour tenir la main de Christine. Peut-être à cause de sa mauvaise conscience, Christine ne l’a pas refusé et a laissé Charles la tenir par la main.Dès qu’ils sont sortis du cinéma, une petite fille s’est approchée d’eux avec des roses. Elle a dit en fixant Charles : « Monsieur, achetez une rose pour cette beauté, s’il vous plaît. Une beauté mérite de jolies fleurs. »« C’est combien ? » a demandé Charles avec un sourire.« Dix euros une rose. »« D’accord, je prends toutes tes roses. »Charles a fouillé dans ses poches, mais comme il n’avait pas l’habitude de porter son portefeuille, il n’a donc trouvé aucun sou dans ses
Charles a agité légèrement la main, puis il a pointé la chaise à côté de lui et a dit : « Assieds-toi. À propos, as-tu réglé le problème avec Lila ? »Benoît s’est approché, s’est assis et a dit : « Je lui l’ai déjà dit, mais ce n’est pas si facile de divorcer d’elle. Elle refuse catégoriquement de divorcer. Je vais demander le divorce forcé. J’ai besoin des preuves de son infidélité. Frère Ducasse, peux-tu m’aider ? »« Hum. » Charles a hoché la tête. Avec le réseau de renseignement souterrain qu’il maîtrisait, il était très facile de recueillir des preuves de l’infidélité d’une personne.« Laisse-moi le faire, et je te donnerai les preuves de l’infidélité de Lila demain. »Benoît s’est levé. D’un air reconnaissant, il a dit solennellement : « Frère Ducasse, merci beaucoup. Sans toi, je ne sais pas quand ma vie misérable se terminerait. Tu m’as sauvé... »Charles a agité légèrement la main et a dit avec un sourire : « Benoît, tu exagères. Nous sommes frères, alors pourquoi parles-tu
Mais en pensant à la scène où Aurélie et le Dragon Noir s’étreignaient et s’embrassaient sur le canapé, Christine s’est sentie mal à l’aise. Elle s’est retournée pour regarder Charles qui était à côté d’elle et était pleine de déception. Ce serait formidable si son mari était aussi bon que le Dragon Noir.« Frère Ducasse, tu es jeune. Auprès de qui as-tu appris tes compétences médicales ? Et tes compétences en arts martiaux, qui te les a enseignées ? » Allongée sur la table, Adèle a posé son menton sur ses mains et regardait Charles avec anxiété, car Charles était charmant et il était assez mystérieux. Ses compétences en médecine et enarts martiaux l’intéressaient.Charles a souri légèrement, sans rien dire. Maintenant, il n’avait que Christine à ses yeux. Assis à côté de Christine, il pouvait sentir l’odeur du parfum sur le corps de Christine, et il pouvait même sentir l’odeur du shampoing émanant des cheveux. Même si ce n’était pas la première fois qu’il était si proche de Christine,
Cette scène a été témoignée par de nombreuses personnes, ils savaient tous que le restaurant appartiendrait à Benoît.« Frère Benoît. » Certains de ses camarades ont tourné à tous les vents et ont commencé à flatter Benoît.Dans une magnifique salle privée au deuxième étage de la fondue de Lopez.Il y avait plusieurs personnes assises dans la salle privée, Tristan, Charles et Adèle.« Adèle, es-tu satisfaite maintenant ? » a demandéTristan avec un sourire.« Hum. » Adèle a hoché vigoureusement la tête et a dit, « C’est l’anniversaire le plus inoubliable que j’aie jamais eu, papa, merci. »Tristan était très heureux d’être remercié par sa fille.« Boum boum boum. » On a frappé à la porte. César qui se tenait à l’écart est allé ouvrir la porte. Il a vu deux femmes à la porte, une était d’âge moyen, l’autre était extrêmement belle dans une robe magnifique. C’étaient Hélène et Christine.« Monsieur Dumont. » Hélène se tenait à la porte, avec un sourire éclatant, elle a dit, « Ça vous déra
Adèle tenait le bras de Charles, comme s’ils étaient très proches. Au fond du cœur, Charles voulait la refuser, mais en pensant que Tristan lui avait fait un si gros cadeau et avait également amené tous les gros bonnets qui avaient assisté à la fête d’anniversaire pour déjeuner dans ce petit restaurant de fondue, cela pourrait aider la fondue de Lopez à acquérir une réputation. D’ailleurs, le restaurant de Benoît aurait désormais beaucoup plus de clients. Il a donc permis à Adèle de lui tenir le bras.En regardant Charles et Adèle entrer dans le restaurant de fondue, Christine n’avait pas de courage d’y aller. Elle se tenait au loin. Après avoir hésité un instant, elle s’est retournée et voulait partir.« Christine, qu’est-ce que tu fais ? » Hélène l’a attrapée.Christine a dit avec impuissance : « Pourquoi est-ce que je devrais y aller ? Pour me faire mépriser et ridiculiser par lui ? »« Gamine, comment je t’ai appris avant ? Tu es sa femme, Mais tu t’es fait voler ton mari, tu es u
En voyant cette scène, Lila était complètement perplexe à la porte. N’était-il pas le monsieur qui avait donné les cadeaux ? Pourquoi avait-il dit bonjour à Charles ? À ce moment-là, son esprit était vide et elle était dans un état de confusion. Tristan a dit à César : « Tu n’as pas précisé quand tu as livré ces cadeaux, dis-lui que c’était Monsieur Ducasse qui les a donnés à Monsieur Lopez. »« Oui. »César s’est dirigé vers Lila.Lila a repris ses esprits et a salué à la hâte : « Monsieur, entrez, s’il vous plaît. »César a agité légèrement la main et a dit : « Ne vous ai-je pas livré un cadeau auparavant ? Ce cadeau a été offert par Monsieur Ducasse à Monsieur Lopez. »« Ah ? » Lila a ouvert grand la bouche. Après avoir été étourdie pendant quelques secondes, elle s’est retournée et a regardé Léonard derrière elle, parce que Léonard avait dit qu’il les lui avait donnés, alors elle l’avait emmené dans une salle privée au deuxième étage et lui avait fait plaisir.En voyant ce spectac