C’était où ?Elle se rappelait que Alice a connu des problèmes hier soir, et qu’elle est allée la chercher, elle a connu un ami de Théo, qui a voulu l’humilier, pour gagner un mille euros, elle a bu beaucoup d’alcool, puis un homme est entré, et elle s’est souvenue de... l’avoir baisé... ? Puis elle est montée dans un avion... Elle était bien trop ivre et perdue, ce ne serait pas possible de prendre l’avion dans la pleine nuit. Mais est-ce qu’on a couché avec elle ? Elle a enlevé la couverture, la main tremblait, elle a découvert qu’elle portait toujours le costume de Playboy Bunny, mais son costume n’a pas été enlevé, ça va ça va. Elle a regardé autour d’elle, il paraissait qu’au fond, il y avait un vestiaire, elle avait besoin d’un vêtement pour se couvrir.Quand elle venait de sortir de la couverture, on a ouvert la porte.C’était Théo, il portait une robe de nuit de couleur de bleu marin, et est entré dans la chambre, l’air élégant et noble. En le voyant, Bella s’est figée. « Co
« Comment je suis vaurien ? » Théo a posé ses bras aux côtés des épaules de Bella, le regard bien audacieux. Bella a couvert d’instinct ses lèvres de sa main, le visage bien chaud, « Tais-toi. » « Comment, tu ne veux pas de moi ? » Théo a jeté sa main, les dents grinçaient, « Bella, ça fait seulement quelques jours que je suis parti, et tu as hâtes de t’engager avec Vincent, est-ce que Vincent est au courant que tu es avec moi ? » « Théo, arrêtes. » Le visage de Bella a pâli, à la pensée de la promesse qu’elle a faite à Vincent, elle se sentait désolée. En voyant son regard perdu, Théo a été emporté de rage, et a baissé la tête et l’a baisé sur les lèvres rouges. Il croyait qu’il la trouvait détestable, mais quand cette odeur familière lui a frappé dans les narines, il a été attiré. Bella s’est efforcée de se débarrasser, mais en vain, ses mains ont été contrôlées par lui, la force masculine l’a emportée.Bientôt, elle se sentait ivre de son baiser. Ces derniers jours, il est parti
« Sors. » Sans se gêner, Théo a fait recours à une expulsion. Ophélia avait les yeux rougis, l’air bien étonné, « Théo, je suis ta petite amie... » « Cela pourrait changer à tout moment. » Théo l’a retirée au poignet vers l’étage d’au-dessous. C’était la première fois qu’il l’a retirée, mais avant qu’elle n’en soit contente, elle a été poussée en dehors de la porte. « Ophélia, est-ce que tes parents t’ont dit de ne pas s’instruire dans les territoires des autres sans frapper à la porte ni le prévenir ? » Ophélia sanglotait, l’air triste, « Ce n’est pas parce que je suis mal éduquée, c’est parce que tu as abrité une femme dans la maison et que tu ne veux pas que je la voie n’est-ce pas ? » Le visage de Théo s’est tout à coup rembruni, ce connard a dépassé sa limite, « Est-ce que j’ai besoin de t’expliquer ce que je fais ? Il vaut mieux que tu te fasses une idée claire sur ton rôle. » Cela dit, il a claqué la porte et est parti.Ophélia s’est figée de stupeur en dehors de la maison
Mardi, Gilles a amené Bella dans la vieille maison de la famille des Maurice. Bella l’a offert le cadeau qu’elle avait préparé. « J’étais au centre commercial avec mon amie quand j’ai vu ça, je le trouvais beau, du coup je l’ai acheté pour toi, le tissu est bien confortable. » « Ma fille a vraiment un bon goût, c’est beau, je vais le porter demain. » Gillles était bien content. « J’ai aussi préparé des cadeaux pour mes grands-parents mais je ne sais pas s’ils... » « T’inquiètes, ils ne manquent pas de cadeaux, c’est juste une représentation de bon cœur. » a dit Gilles en souriant. La veille maison de la famille des Maurice se trouvait aussi proche de la colline de Renier. Dans leur trajet en voiture, ils n’ont pas parlé, à l’approche de la maison, on a entendu du bruit d’un hélicoptère, Bella a descendu la fenêtre et y a jeté un coup d’œil. Gilles a finalement trouvé un sujet de parler avec sa fille, « Pas mal de nobles dans la capitale ont leur propre hélicoptère, c’était l’hélic
Mardi, Gilles a amené Bella dans la vieille maison de la famille des Maurice. Bella l’a offert le cadeau qu’elle avait préparé. « J’étais au centre commercial avec mon amie quand j’ai vu ça, je le trouvais beau, du coup je l’ai acheté pour toi, le tissu est bien confortable. » « Ma fille a vraiment un bon goût, c’est beau, je vais le porter demain. » Gilles était bien content. « J’ai aussi préparé des cadeaux pour mes grands-parents mais je ne sais pas s’ils... » « T’inquiètes, ils ne manquent pas de cadeaux, c’est juste une représentation de bon cœur. » a dit Gilles en souriant. La veille maison de la famille des Maurice se trouvait aussi proche de la colline de Renier. Dans leur trajet en voiture, ils n’ont pas parlé, à l’approche de la maison, on a entendu du bruit d’un hélicoptère, Bella a descendu la fenêtre et y a jeté un coup d’œil. Gilles a finalement trouvé un sujet de parler avec sa fille, « Pas mal de nobles dans la capitale ont leur propre hélicoptère, c’était l’hélico
M.Maurice a hoché la tête, l’air satisfait : « C’est bien que tu penses comme ça, M.Bernard veut une femme noble et digne, on ne manque pas d’argent dans la famille des Maurice, ni des bijoux, ne fais pas comme les autres femmes qui n’ont jamais vu le monde. » « Oui, ne fais pas comme certaine personne, la bouche ouverte, fendue jusqu’aux oreillers, et les yeux grands ouverts au vu des bijoux. » La tante d’Ophélia a jeté un coup d’œil méprisant à Bella. Les gens autour ont ri en cachette, en entendant ça, Gilles était mécontent. Il voulait la reprocher, quand Bella a dit en souriant : « Oui, je suis très contente de recevoir des bijoux si chers, mais ce n’est pas cher à cause de son prix, c’est cher parce que c’est un cadeau de ma grand-mère. » Ses yeux humides ont légèrement rougi, après une légère pause, elle a continué, « pendant mon trajet ici, j’étais bien angoissée, je ne suis pas comme Ophélia, qui a grandi avec ses grands-parents à sa compagne, elle est dynamique et aimable,
L’oncle d’Ophélia, George Maurice qui était assis en face a demandé en souriant : « Ophélia, quand tu vas engager avec le fils aîné de la famille des Bernard ? » En voyant les regards envieux des gens sur elle, Ophélia a dit pudiquement : « selon le vœu de Mme.Bernard, ce serait à cette année ou l’année prochaine, on va s’en passer d’engagement, et se marier directement. » « Il semble que Mme.Bernard soit vraiment impatiente. » a dit la tente d’Ophélia en souriant, « Bientôt on appellera Ophélia Mme.Bernard. » M.Maurice a dit en hochant légèrement la tête : « Reste avec Théo, la famille des Maurice dépendrait à toi. » Ophélia était bien contente, « Grand-père, je ne vous décevrais pas. » En voyant les cajoleries des gens à Ophélia, Bella n’était pas mécontente, elle a juste jeté un léger coup d’œil à George, l’oncle d’Ophélia, il était assis dans un fauteuil de roulant, l’impression qu’il donnait aux gens était sombre. « Ah oui, Gilles, tu m’as promis la dernière fois de donner l
Ophélia était bien nerveuse, elle a dit d’une voix basse : « Maman, la personnalité de Théo est bien excentrique, je ne sais pas en fait s’il... » « Tu dois le faire, si Théo n’est pas d’accord, vas à Mme.Bernard, le temps est venu de prouver notre statut dans la famille des Maurice. » Julie l’a rappelée. Les yeux d’Ophélia se sont éclaircis, et a hoché la tête. Le montage Yernier, l’hippodrome. Un cheval fort et dynamique courait rapidement sur le champ, l’homme sur le cheval agitait un long fouet, portait un beau costume de chevalier noir, comme un prince noble européen, sa figure était très charmante. Bientôt, le cheval s’est arrêté, Théo s’est descendu du cheval, et a débouclé quelques boutons sur le col. Les cadres dirigeants se sont entourés de lui. « M.Bernard, vous êtes de plus en plus fort en équitation. » « M.Bernard est vraiment trop fort, il a même apprivoisé l’Ouragan. » « ... » Théo les regardait, le visage indifférent, « Racontent vite si vous avez quelqu