« Sors. » Sans se gêner, Théo a fait recours à une expulsion. Ophélia avait les yeux rougis, l’air bien étonné, « Théo, je suis ta petite amie... » « Cela pourrait changer à tout moment. » Théo l’a retirée au poignet vers l’étage d’au-dessous. C’était la première fois qu’il l’a retirée, mais avant qu’elle n’en soit contente, elle a été poussée en dehors de la porte. « Ophélia, est-ce que tes parents t’ont dit de ne pas s’instruire dans les territoires des autres sans frapper à la porte ni le prévenir ? » Ophélia sanglotait, l’air triste, « Ce n’est pas parce que je suis mal éduquée, c’est parce que tu as abrité une femme dans la maison et que tu ne veux pas que je la voie n’est-ce pas ? » Le visage de Théo s’est tout à coup rembruni, ce connard a dépassé sa limite, « Est-ce que j’ai besoin de t’expliquer ce que je fais ? Il vaut mieux que tu te fasses une idée claire sur ton rôle. » Cela dit, il a claqué la porte et est parti.Ophélia s’est figée de stupeur en dehors de la maison
Mardi, Gilles a amené Bella dans la vieille maison de la famille des Maurice. Bella l’a offert le cadeau qu’elle avait préparé. « J’étais au centre commercial avec mon amie quand j’ai vu ça, je le trouvais beau, du coup je l’ai acheté pour toi, le tissu est bien confortable. » « Ma fille a vraiment un bon goût, c’est beau, je vais le porter demain. » Gillles était bien content. « J’ai aussi préparé des cadeaux pour mes grands-parents mais je ne sais pas s’ils... » « T’inquiètes, ils ne manquent pas de cadeaux, c’est juste une représentation de bon cœur. » a dit Gilles en souriant. La veille maison de la famille des Maurice se trouvait aussi proche de la colline de Renier. Dans leur trajet en voiture, ils n’ont pas parlé, à l’approche de la maison, on a entendu du bruit d’un hélicoptère, Bella a descendu la fenêtre et y a jeté un coup d’œil. Gilles a finalement trouvé un sujet de parler avec sa fille, « Pas mal de nobles dans la capitale ont leur propre hélicoptère, c’était l’hélic
Mardi, Gilles a amené Bella dans la vieille maison de la famille des Maurice. Bella l’a offert le cadeau qu’elle avait préparé. « J’étais au centre commercial avec mon amie quand j’ai vu ça, je le trouvais beau, du coup je l’ai acheté pour toi, le tissu est bien confortable. » « Ma fille a vraiment un bon goût, c’est beau, je vais le porter demain. » Gilles était bien content. « J’ai aussi préparé des cadeaux pour mes grands-parents mais je ne sais pas s’ils... » « T’inquiètes, ils ne manquent pas de cadeaux, c’est juste une représentation de bon cœur. » a dit Gilles en souriant. La veille maison de la famille des Maurice se trouvait aussi proche de la colline de Renier. Dans leur trajet en voiture, ils n’ont pas parlé, à l’approche de la maison, on a entendu du bruit d’un hélicoptère, Bella a descendu la fenêtre et y a jeté un coup d’œil. Gilles a finalement trouvé un sujet de parler avec sa fille, « Pas mal de nobles dans la capitale ont leur propre hélicoptère, c’était l’hélico
M.Maurice a hoché la tête, l’air satisfait : « C’est bien que tu penses comme ça, M.Bernard veut une femme noble et digne, on ne manque pas d’argent dans la famille des Maurice, ni des bijoux, ne fais pas comme les autres femmes qui n’ont jamais vu le monde. » « Oui, ne fais pas comme certaine personne, la bouche ouverte, fendue jusqu’aux oreillers, et les yeux grands ouverts au vu des bijoux. » La tante d’Ophélia a jeté un coup d’œil méprisant à Bella. Les gens autour ont ri en cachette, en entendant ça, Gilles était mécontent. Il voulait la reprocher, quand Bella a dit en souriant : « Oui, je suis très contente de recevoir des bijoux si chers, mais ce n’est pas cher à cause de son prix, c’est cher parce que c’est un cadeau de ma grand-mère. » Ses yeux humides ont légèrement rougi, après une légère pause, elle a continué, « pendant mon trajet ici, j’étais bien angoissée, je ne suis pas comme Ophélia, qui a grandi avec ses grands-parents à sa compagne, elle est dynamique et aimable,
L’oncle d’Ophélia, George Maurice qui était assis en face a demandé en souriant : « Ophélia, quand tu vas engager avec le fils aîné de la famille des Bernard ? » En voyant les regards envieux des gens sur elle, Ophélia a dit pudiquement : « selon le vœu de Mme.Bernard, ce serait à cette année ou l’année prochaine, on va s’en passer d’engagement, et se marier directement. » « Il semble que Mme.Bernard soit vraiment impatiente. » a dit la tente d’Ophélia en souriant, « Bientôt on appellera Ophélia Mme.Bernard. » M.Maurice a dit en hochant légèrement la tête : « Reste avec Théo, la famille des Maurice dépendrait à toi. » Ophélia était bien contente, « Grand-père, je ne vous décevrais pas. » En voyant les cajoleries des gens à Ophélia, Bella n’était pas mécontente, elle a juste jeté un léger coup d’œil à George, l’oncle d’Ophélia, il était assis dans un fauteuil de roulant, l’impression qu’il donnait aux gens était sombre. « Ah oui, Gilles, tu m’as promis la dernière fois de donner l
Ophélia était bien nerveuse, elle a dit d’une voix basse : « Maman, la personnalité de Théo est bien excentrique, je ne sais pas en fait s’il... » « Tu dois le faire, si Théo n’est pas d’accord, vas à Mme.Bernard, le temps est venu de prouver notre statut dans la famille des Maurice. » Julie l’a rappelée. Les yeux d’Ophélia se sont éclaircis, et a hoché la tête. Le montage Yernier, l’hippodrome. Un cheval fort et dynamique courait rapidement sur le champ, l’homme sur le cheval agitait un long fouet, portait un beau costume de chevalier noir, comme un prince noble européen, sa figure était très charmante. Bientôt, le cheval s’est arrêté, Théo s’est descendu du cheval, et a débouclé quelques boutons sur le col. Les cadres dirigeants se sont entourés de lui. « M.Bernard, vous êtes de plus en plus fort en équitation. » « M.Bernard est vraiment trop fort, il a même apprivoisé l’Ouragan. » « ... » Théo les regardait, le visage indifférent, « Racontent vite si vous avez quelqu
Les femmes, c’étaient des êtres frivoles. Théo a agité le fouet, et s’en allé en cheval. Le regard d’Ophélia a été attiré par la belle figure héroïque de Théo, il était vraiment attirant et charmant, après avoir vu un tel homme, elle n’apprécierait plus les autres. Elle va certainement l’épouser.Dans le bureau. Le directeur général M.Dubois a fait un rapport à Bella, l’air découragé : « Présidente Leroy, la terre proche des côtes a été donnée au Groupe Frémier. » Bella s’est figée de stupeur, « C’était juste hier quand tu m’as dit qu’il nous faut seulement attendre que les dossiers soient autorisés. » « J’ai entendu dire que le fils aîné de la famille des Bernard a était derrière cette affaire, le Group Frémier appartient à la famille des Berléand, maintenant on dit que la famille des Berléand a établi un lien avec la famille des Bernard. » M.Dubois avait l’air abattu, « On a déjà beaucoup dépensé pour cette terre, maintenant on a tout perdu. » Bella est restée silencieuse pendant
Bella ne l’a pas regardé, elle est allée directement dans la cuisine pour chercher des outils de nettoyage, mais elle ne les a pas trouvés, puis elle est allée au balcon. Le visage de Théo qui était assis sur le canapé est devenu de plus en plus froid. Qu’est-ce qui s’est passé ? Elle aurait dû venir ici et l’insulter pour avoir donné la terre à George, et le prier pitoyablement. La chose ne s’est pas passée comme il avait cru, il s’est levé et s’est dirigé vers elle, le visage froid. Bella a finalement trouvé un balai au balcon, elle s’est retournée, mais elle s’est heurtée dans sa poitrine dure, ça faisait tellement mal qu’elle avait l’impression que son nez était cassé. « M.Bernard, qu’est-ce que tu fais. » « Ce devrait être moi qui te pose cette question. » Théo sentait que cette femme était toxique pour lui, il serait ennuyeux quand il ne la voyait pas, mais il serait plus ennuyeux quand il la voyait. « C’était toi qui m’as dit de nettoyer pour toi, il est déjà trop tard, je