Chapitre 42 : Geste inattendu…
Je me posais des tas de questions, je ne savais plus ce qui était et ce qui n’étais pas….
Cela faisait longtemps maintenant que nous étions ensemble, des mois des semaines et des jours, nous avions traversés pas mal d’épreuves ensemble et il était toujours là, je l’aimais chaque jour un peu encore, mais aujourd’hui le doute semait un désordre total dans ma tête, je ne consentais pas qu’il reste en contact avec cette fille qui en plus était son EX, non pas ça… Je ne le consentais tout simplement pas alors oui j’avais besoin de temps pour réfléchir à deux fois car je savais que j’étais follement amoureuse de lui et que peut-être cela me coûterait cher de l’être…Il me fallait prendre du recul, pChapitre 43 : L’envers du décor…Nous arrivions au terme du mois d’Avril, tout allait pour le mieux mais je n’étais toujours pas à l’aise, giovanni était toujours en contact avec cette fille, il continuait de recevoir des photos d’elle, il ne l’avait tout simplement pas rayé définitivement de sa vie…Il ne le savait pas mais je voyais tout ce qui se passait, il pensait que je ne voyais rien mais je n’étais pas bête il était toujours en contact avec elle…Un jour alors que nous étions connectés tous les deux sur messenger il me dit quelque chose qui me glaça le cœur…-ma princesse il y a quelque chose que je voudrais te dire-je suis toute ouïe mon cœur-en fait… il y a Sabrina qui arrive ici la semaine prochaine
Chapitre 44 : Perdre ses repères…-mimo arrête ! snifff !! non c’est pas vrai ! snifff non ça ne peut pas être vrai-qu’est-ce qui n’est pas vrai ?-non ce n’est pas possible, il n’a pas pu me faire ça, sniiffff-tu te torture et tu ne veux même pas me dire ce qui se passe-sniiffff…. Snifff-mimo chérie dit moi ce qui ne ve pas-sniifff… non… c’’est pas possible…. Non…. SniifffJe pleurais toutes les larmes de mon corps, ça ne pouvait pas être vrai il y avait sûrement erreur sur la personne pas mon giovanni, non pas lui, mais je ne rêvais pas la réalité était telle que ce message avait été envoyé par ce même destinataire et la photo que j’avais vu m&rs
Chapitre 45 : Confidences…********(Dans la tête de Jade)********Je ne savais pas ce qui lui arrivait, elle se sentait mal, très mal, heureusement pour nous, les examens c’étaient finalement bien passés, elle avait fait du mieux qu’elle pouvait elle me l’avait dit, mais je me sentais impuissante face à sa situation, nous étions à deux semaines de son départ, je l’avais aidé à tout réglé dans les moindres détails mais quelque chose me dérangeais, nos rapports n’étaient plus ce qu’ils étaient avant, elle s’était simplement enferméeMais pourquoi ?Elle enchénait des crises d’angoisse à tour de rôle, je l’entenda
Chapitre 46 : Être bien chez soie…-Sois prudente ma puce me dit jade-je le serai…-et donne-moi de tes nouvelles de temps en temps-d’accord-tu vas terriblement nous manquer me dit zéï les embués de larmes-à moi aussi… c’est si dur de vous quitter, mais en même temps je n’ai pas trop de choix…-je sais ma puce… je sais… prends soin de toi…On annonçait le départ du vol à destination de Pointe-Noire, je fis un dernier bisou aux filles et peu à peu je disparu dans la foule, il était temps de rentrer…En effet deux long mois s’étaient écoulés, depuis ma rupture avec Giovanni , il n’avait plus jamais fait signe de vie et moi, j’avais appris
Chapitre 47 : Vacances…-Doucement ! ne sautez pas ! vous allez vous faire mal !Les cris de ma mère et le vacarme des enfants me tiraient de mon sommeil…J’ouvrais les yeux pour me réveiller dans un décor qui autrefois m’était familier, je m’étirais un peu, baillais et me levais, j’avais passé une excellente nuit, me réveiller chez moi était tout ce dont j’avais besoin, mon remède et ma raison de sourire, je pris ma serviette et me dirigea dans la douche où je passais un quart d’heure profitant d’un bon bain…Après mon petit rituel du matin je décidais enfin de sortir il était temps que je savoure ma journée…A peine avais-je mis les pieds dehors que les enfants accoururent vers mo
Chapitre 48: Mauvais pressentiment...Les rires fusaient dans toute la pièce, mon père racontait des blagues et maman en rajoutait, les rires qui éclataient dans la pièce rendaient l’atmosphère encore plus belle, nous étions à table, mangeant et discutant de tout et de rien, je regardais autour de moi ces visages qui faisaient ma joie et je respirais pleinement….-mais mimo tu n’as pas de blague à raconter ?-non papa fis-je je suis hors circuit pour le moment-oh !! s’écria-t-il tu me déçois ! tu viens du SENEGAL le pays des comptes et tu n’as rien à nous raconter ! ah ma fille tu ne sais pas profiter hein !-oh mais papa ! tu me finis comme ça !-mais c’est vrai ! renchéri maman ! comment ça tu n’as rien dans ton répertoire ?
Chapitre 49 : Dans le doute…Mon cœur battait la chamade, je ne savais pas ce qui m’arriva exactement, mais j’étais au moins sûre d’une chose : je ne pouvais pas être enceinte.Le résultat du test précédent fait avec les filles à Dakar était formel : NEGATIF alors je n’avais pas à m’en faire pour ça, quoique je n’en étais plus si sûre… j’avais passé toute la nuit à y réfléchir si bien que le sommeil me gagna aussi vite que ma réflexion…Au petit matin j’étais restée dans la chambre, je n’avais pas très envie de manger et mes idées étaient très perturbées alors je décidais de m’enfermer un peu…je r&ea
Chapitre 50 : Le Mail...Je n’en pouvais plus de ce mal de ventre s’en était trop je ne voulais plus souffrir alors je m’allongeais…Je me tordais de douleur comme pas possible, mais quel était donc ce comprimé qui m’infligeait tant de mal!-tu te sens mieux ? me demanda katie toute apeurée-un peu dis-je dans un souffle-bon j’arrive…Je restais seule allongée, je savais que c’était risqué de prendre ces comprimés mais je ne savais pas qu’il y aurait une tournure aussi lourde, j’avais eu confiance au premier test que j’avais fait mais maintenant avec tout ce qui se passait je voulais en avoir le cœur net une bonne fois pour toute.J’étais faible et triste, je ne voulais surtout pas être dans
************EPILOGUE***********-ma puce ça va aller ?-oui bien sûr… je suis juste malheureuse je ne veux pas te laisser tout seul-tata ! cria ethan assis sur son siège-bébé dis-je-tata !-regarde comme il est heureux tu devrais l’être aussi-ce n’est pas si simple que tu le crois, je vais partir et laisser mes deux bébés dis-je en versant une larme qui coula sur ma joue-non ne dis pas ça j’irais avec toi et on restera ensemble une semaine, j’ai pris ma permission tu t’en souviens ?-oui-alors épargne-moi cette tête d’enterrement et souris-moi-non je ne peux pas dis-je en me levant-tata !Je regardais ethan crier de joie mais juste à cette image mon cœur se serra fort, je n’en étais pas capable, non je ne pouvais p
Chapitre 73 : Parle-moi de toi…-Alors raconte-moi un peu comment c’est une grossesse ?-oh rien de vraiment wow mais très impressionnant-ah oui ?-oui et c’est une expérience vraiment unique-ton bébé te manque ?-comment ça ?-je veux dire dans ton ventre-oh oui parfois mais ça passe avec le temps-hummmOn discutait de tout et de rien, et sa me faisait énormément plaisir, il était assez ouvert et dégagé mais je ne me laissais pas séduire pour autant j’avais déjà connu un être semblable qui c’était avéré être un véritable monstre alors je gardais mes pieds sur terre-pourquoi es-tu célibataire ? lui demandais-je-oh longue histoire-j’
Chapitre 72 : Journée détente…Nous étions Samedi, le fameux samedi, je me demandais toujours s’il fallait partir ou pas, katie pendant ce temps avait déjà dit aux parents qu’on sortait du coup elle apprêtait ethan-moi j’apprête l’enfant quand tu auras fini de cogiter fais-moi signe on va partir, marion a déjà pris son bain et elle s’habille même déjà-et toi ? lui demandais-je-j’ai déjà pris mon bain, je vais m’habiller dès que j’aurais fini avec ethan, j’ai fais son sac et j’ai tout mis je dis bien tout donc fini de cogiter et fais-moi signe-humm-ah au moins je te dis déjà-bon… ok je l’appelle d’abord-fais vite alors-ok…Je composais donc son numéro e
Chapitre 71 : Et si je t’invitais…-ça fait deux semaines que tu ne sors pas tu n’as pas envie de changer d’air ?-si mais je ne peux pas-pourquoi ? me demanda alors katie-parce que je suis occupée à ce que tu sais-ehh !! mais tu vas finir seule hein ! donc c’est ethan ta raison maintenant ?-katie ne recommence pas-ah mais je dis seulement et puis le garçon de la dernière fois-là hum ! il n’a jamais appelé en plus-je te dis, je savais que c’était trop beau pour être vrai-ça là même c’est affaire à suivre parce que façon il est mignon là moi-même je suis très étonné du fait qu’il ait demandé ton numéro-parce que je suis laide peut-être ?-Non ! je veux dire par l&a
Chapitre 70 : Harvey…Nous étions samedi, un jour comme les autres à la seule différence qu’il faisait vraiment beau temps, je m’imprégnais de chaque rayon de soleil tant je me sentais bien, ethan dormait encore je l’avais posé dans son berceau et j’étais allée prendre un bain, ensuite j’avais rejoints maman dehors pour l’aider un peu, il avait été sage cette nuit, il n’avait pas trop pleuré et n’avait pas pris ses quatre biberons de nuit comme à son habitude il n’en avait pris que trois et avait dormi sagement jusqu’au petit matinHum sacré ethanJ’aidais maman à faire du poisson quand papa vint me faire signe de le suivre dans le sallon-je reviens maman-ok-papa je suis là dis-je-assieds-toi ma ch&ea
Chapitre 69 : Drôle de Famille…-maman !-…-maman !!!!-ahhhhh !!! mimo que se passe-t-il ?-maman pardon vient prendre Ethan na zo koka yé lisusu tsé ! (je n’en peux plus de lui) il pleure trop ! maman !-ah bon hein ? donc tu pensais que le travail de maman était simple hein ? ou que le bébé est un jouet ?-ah maman pardon aide moi je n’en peux plus na lémbi ( je suis fatiguée)-humm occupe-toi d’abord de lui une seconde je vais me laver les mains et ensuite je suis là-ah maman ! fais vite kohhh (s’il te plait)!!-ya mimo donc toi vraiment tu ne peux pas bercer l’enfant ?-ah moi je suis fatiguée il pleure trop-mais c’est normal intervint maman il confond encore ses jours et ses nuits il dort le jour et reste éveillé la nuit d&egrav
Chapitre 68 : Quand la puissance de Dieu agit…Avant tout je tiens à préciser que tout n’est jamais rose dans la vie, ce que nous espérons n’arrive jamais comme nous le voulons, il y a des pensées et des souhaits qui ne se réalisent que si le bon Dieu le décide et comme vous le savez tous tout accouchement est un grand combat pour toute femme, toutes nos mères ont eu à subir des hauts et des bas lors d’un accouchement et beaucoup d’entre elles y sont restées voilà pourquoi nous nous devons de les respecter de les aimer et de les chérir car il n’est pas facile de porter un enfant pour en donner la vie après neuf long mois de labeur alors ne jugez pas les femmes trop tôt et ne pensez pas que mourir en couche est infaisable, soutenez les plutôt et glorifiez le bon Dieu si la mère et l’en
Chapitre 67: Le Couloir de la mort (II)… ***(Dans la tête de papa Christophe)***Non…Non pas ma fille, non ce n’est pas possible, il doit sûrement y avoir un malentendu, non il y a vraiment un grand malentendu j’en suis sûre, je marchais dans le hall de l’hôpital les idées en vrac tandis qu’à côté ma petite katie pleurait depuis une heure maintenantpourquoi pleurait-elle ? Même moi je n’en croyais pas un mot je restais dans l’espoir qu’il y aurait un miracle, nous étions là depuis une heure à refaire le bilan de ce qui n’avait pas marché, mais qu’est-ce qui n’avait donc pas marché ?Elle avait porté sa grossesse sans problème, tout allait pour le mieux alors pourquoi un drame à la f
Chapitre 66 : "Le couloir de la mort" ( I )...Cette partie est susceptible de blesser l’état d’esprit de certaines personnes et j’ai eu à réfléchir deux fois avant de l’écrire mais je l’ai finalement fait car cela fait partie de l’histoireTout ne se passe pas toujours comme nous le voulons il faut savoir accepter certains faits et se remettre entre les mains du seigneur, j’espère que ce chapitre enseignera plus d’un…(Dans la tête de mimo)12h00J’étais allongée dans la salle depuis deux heures maintenant, ma sœur et mon père étaient rentrés chacun de leur côté katie ayant des TD et papa du travail, j’étais donc seule, je n’avais pas informé