Chapitre 67: Le Couloir de la mort (II)…
***(Dans la tête de papa Christophe)***Non…
Non pas ma fille, non ce n’est pas possible, il doit sûrement y avoir un malentendu, non il y a vraiment un grand malentendu j’en suis sûre, je marchais dans le hall de l’hôpital les idées en vrac tandis qu’à côté ma petite katie pleurait depuis une heure maintenant
pourquoi pleurait-elle ? Même moi je n’en croyais pas un mot je restais dans l’espoir qu’il y aurait un miracle, nous étions là depuis une heure à refaire le bilan de ce qui n’avait pas marché, mais qu’est-ce qui n’avait donc pas marché ?
Elle avait porté sa grossesse sans problème, tout allait pour le mieux alors pourquoi un drame à la f
Chapitre 68 : Quand la puissance de Dieu agit…Avant tout je tiens à préciser que tout n’est jamais rose dans la vie, ce que nous espérons n’arrive jamais comme nous le voulons, il y a des pensées et des souhaits qui ne se réalisent que si le bon Dieu le décide et comme vous le savez tous tout accouchement est un grand combat pour toute femme, toutes nos mères ont eu à subir des hauts et des bas lors d’un accouchement et beaucoup d’entre elles y sont restées voilà pourquoi nous nous devons de les respecter de les aimer et de les chérir car il n’est pas facile de porter un enfant pour en donner la vie après neuf long mois de labeur alors ne jugez pas les femmes trop tôt et ne pensez pas que mourir en couche est infaisable, soutenez les plutôt et glorifiez le bon Dieu si la mère et l’en
Chapitre 69 : Drôle de Famille…-maman !-…-maman !!!!-ahhhhh !!! mimo que se passe-t-il ?-maman pardon vient prendre Ethan na zo koka yé lisusu tsé ! (je n’en peux plus de lui) il pleure trop ! maman !-ah bon hein ? donc tu pensais que le travail de maman était simple hein ? ou que le bébé est un jouet ?-ah maman pardon aide moi je n’en peux plus na lémbi ( je suis fatiguée)-humm occupe-toi d’abord de lui une seconde je vais me laver les mains et ensuite je suis là-ah maman ! fais vite kohhh (s’il te plait)!!-ya mimo donc toi vraiment tu ne peux pas bercer l’enfant ?-ah moi je suis fatiguée il pleure trop-mais c’est normal intervint maman il confond encore ses jours et ses nuits il dort le jour et reste éveillé la nuit d&egrav
Chapitre 70 : Harvey…Nous étions samedi, un jour comme les autres à la seule différence qu’il faisait vraiment beau temps, je m’imprégnais de chaque rayon de soleil tant je me sentais bien, ethan dormait encore je l’avais posé dans son berceau et j’étais allée prendre un bain, ensuite j’avais rejoints maman dehors pour l’aider un peu, il avait été sage cette nuit, il n’avait pas trop pleuré et n’avait pas pris ses quatre biberons de nuit comme à son habitude il n’en avait pris que trois et avait dormi sagement jusqu’au petit matinHum sacré ethanJ’aidais maman à faire du poisson quand papa vint me faire signe de le suivre dans le sallon-je reviens maman-ok-papa je suis là dis-je-assieds-toi ma ch&ea
Chapitre 71 : Et si je t’invitais…-ça fait deux semaines que tu ne sors pas tu n’as pas envie de changer d’air ?-si mais je ne peux pas-pourquoi ? me demanda alors katie-parce que je suis occupée à ce que tu sais-ehh !! mais tu vas finir seule hein ! donc c’est ethan ta raison maintenant ?-katie ne recommence pas-ah mais je dis seulement et puis le garçon de la dernière fois-là hum ! il n’a jamais appelé en plus-je te dis, je savais que c’était trop beau pour être vrai-ça là même c’est affaire à suivre parce que façon il est mignon là moi-même je suis très étonné du fait qu’il ait demandé ton numéro-parce que je suis laide peut-être ?-Non ! je veux dire par l&a
Chapitre 72 : Journée détente…Nous étions Samedi, le fameux samedi, je me demandais toujours s’il fallait partir ou pas, katie pendant ce temps avait déjà dit aux parents qu’on sortait du coup elle apprêtait ethan-moi j’apprête l’enfant quand tu auras fini de cogiter fais-moi signe on va partir, marion a déjà pris son bain et elle s’habille même déjà-et toi ? lui demandais-je-j’ai déjà pris mon bain, je vais m’habiller dès que j’aurais fini avec ethan, j’ai fais son sac et j’ai tout mis je dis bien tout donc fini de cogiter et fais-moi signe-humm-ah au moins je te dis déjà-bon… ok je l’appelle d’abord-fais vite alors-ok…Je composais donc son numéro e
Chapitre 73 : Parle-moi de toi…-Alors raconte-moi un peu comment c’est une grossesse ?-oh rien de vraiment wow mais très impressionnant-ah oui ?-oui et c’est une expérience vraiment unique-ton bébé te manque ?-comment ça ?-je veux dire dans ton ventre-oh oui parfois mais ça passe avec le temps-hummmOn discutait de tout et de rien, et sa me faisait énormément plaisir, il était assez ouvert et dégagé mais je ne me laissais pas séduire pour autant j’avais déjà connu un être semblable qui c’était avéré être un véritable monstre alors je gardais mes pieds sur terre-pourquoi es-tu célibataire ? lui demandais-je-oh longue histoire-j’
************EPILOGUE***********-ma puce ça va aller ?-oui bien sûr… je suis juste malheureuse je ne veux pas te laisser tout seul-tata ! cria ethan assis sur son siège-bébé dis-je-tata !-regarde comme il est heureux tu devrais l’être aussi-ce n’est pas si simple que tu le crois, je vais partir et laisser mes deux bébés dis-je en versant une larme qui coula sur ma joue-non ne dis pas ça j’irais avec toi et on restera ensemble une semaine, j’ai pris ma permission tu t’en souviens ?-oui-alors épargne-moi cette tête d’enterrement et souris-moi-non je ne peux pas dis-je en me levant-tata !Je regardais ethan crier de joie mais juste à cette image mon cœur se serra fort, je n’en étais pas capable, non je ne pouvais p
******** PROLOGUE ********La vie, le début d'une histoire rose pour certains mais grise pour d'autre, elle se définie par vos actes et de ce que vous en faites.les envies et les désirs se diversifient et à chaque pas, on grandit un peu plus ainsi est faite cette toile pleine d'attraits que j'appelle: " LA VIE", ma vie.----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Il y a exactement un an, la jeune fille que je suis menait une vie normale pleine de joie et d'aventure, je parcourais le monde sans encombre à ma guise.Ma jeunesse à portée de main, mes études fleurissantes, je ne pouvais rêver mieux et ça je le croyais, tout avait l'air parfait jusqu'au j