Quelques jours avant le dernier examen Blanc, il y’eu une conférence à l’université de Douala qui était ouverte à tout le public. David qui n’était pas très loin de cet université, a résolu y aller avec son voisin qui était étudiant dans cette université. Pour lui c’était un moyen de se reposer après cette longue journée de révision. La salle était plein de public et les conférenciers étaient bien installer. Recteur comme Professeurs et docteurs. Ils ont projeté le thème ou mieux la question du jour sur le mur qui était celle de savoir que choisirait chacun s’il était face au choix entre Avoir raison et être gentil ? Les avis sortaient de part et d’autres. Les membres du public cherchaient à répondre, chacun donnait son avis. David qui essayait réfléchissait à la question, a été choisi par le Recteur après avoir soulevé son doigt pour répondre à la question. David tremblait un peu face au public. Un public de plus de 1500 personnes. Un micro lui a été offert pour qu’il répondre.
DAVID : Je vous remercie de m’avoir passé le micro. Euhh s’il faut que je donne mon avis face à ce sujet, je crois que personnellement je choisirai la gentillesse. Chacun ici parmi nous a le pouvoir de rendre le monde plus doux et moins violent. Vous me demanderez comment ? Mais surement en redécouvrant les vertus de la gentillesse. Il est frappant de constater à quel point cette qualité de cœur essentielle est dépréciée, parfois même méprisée. Par quelle malice, l’attribue-t-on a de la faiblesse, voire de la bêtise ? Pourtant qui ici ne se souvient pas d’une parole gentille venue à point nommé nous réconforter ?D’une main tendue qui nous a secourus au cœur de l’adversité ? D’un regard compatissant qui nous réchauffe le cœur ? Et pour cause ! La gentillesse est un rempart contre l’indifférence et l’égoïsme. Il est donc temps de lui donner ses lettres de noblesse et de la pratiquer tous les jours. Il est temps de déposer les armes. Car la gentillesse est tout simple. Elle se niche dans un sourire, une attention aux autres, un regard indulgent, dans notre capacité à lâcher prise et à pardonner. La recherche de la raison n’est pas à exclure. Chercher à avoir raison c’est désirer avoir beaucoup plus d’estime envers la personne à qui nous nous expliquons. Mais n’oublions pas que lorsque l’on cherche à avoir raison, le plus souvent dans les discutions entre amis, entre couple, plus on s’explique pour gagner la confiance d’autrui plus on perd notre valeur devant la personne sans le savoir. La gentillesse est comme le fondement de tous. Quand nous sommes plus doux et plus gentils, tout change et s’adoucit comme par enchantement. Merci à Vous !
Toute la salle s’est levée pour applaudir David. L’avis le plus long et le mieux expliqué. David souriait quand ses proches lui tendaient la main en signe de félicitation. Puis le Recteur lui a demandé quelle filière il faisait. Grande a été sa surprise lorsque David leur a dit qu’il n’était qu’un élève de la Terminale D.
David ce jour n’est pas rentré à la maison sans la sommes de 70 mille offerte par différents conférenciers en salle. Qu’allait-il faire de cet argent ? Il est rentré tout expliquer à sa mère. Elle était si joyeuse qu’elle a coulé les larmes. David lui a remis 50 mille
DAVID : Maman avec cet argent s’il te plait je ne veux plus que tu ailles souffrir sous le soleil au marché avec ta maladie qui ne te laisse pas là. Nous sommes dans un grand quartier et je ne vois pas petit restaurant ici. L’espace qui est devant la cours de Ma’a Gisèle là, demande ça, tu ouvres un mini restaurant, tu prépares et tu vends. Tu peux faire les Beignets haricots bouillie le matin avec le café en journée tu vends la nourriture. Si tu as le temps même le soir tu peux encore faire les Beignets. Avec ça tu verras que tu seras un peu à l’aise.
SA MERE : Tu as raison Le Grand, avec le marché qui est loin là... c’est vrai. C’est une bonne initiative. Et 50 mille si est un très bon capital. Je vais même faire 5 différents mets. Merci beaucoup mon fils. Warr Merci
DAVID : (Prenant sa mère dans ses bras) C’est toujours pour nous Mama, c’est juste que quand je vois ta santé et le marché qui devient compliqué là, c’est mieux de rester à la maison et faire ton petit commerce. Si ça marche petit à petit tu peux agrandir. Tu pourras Commencer maintenant à faire les œufs. Après la salade, après ajouter les chaises… plus tard tu auras un vrai restaurant, puis tu commenceras le service traiteur… Tu vas te construire, avoir ta voiture… (Souriant)
SA MERE : Regarde comment tu me fais pleurer Le Grand, werr c’est Dieu qui avait fait que je t’accouche.
DAVID : Bon il me reste 20 mille comme je compose bientôt là il faut que je me concentre, donc je n’irai plus au camp arachide. Il manque même 3 jours les Alain finissent l’école. Donc ils n’auront plus de ration.
SA MERE : Donc ôh tchôh jöuh Mbêh Poisson peuh laâh liâh weêrh ? (Donc tu n’achètes même pas le poisson on prépare aujourd’hui ? (souriant))
DAVID : Euill Tchäng tche Mmôh Wë… Alain Mbêh hôh ? (Euilll il n’ya pas de problème. Alain est même où ?)
Sa mère était tout pour lui. Il l’aimait comme le seigneur Jésus avait demandé qu’on aime son prochain. Il a appelé Son petit frère Alain et lui a donné l’argent pour aller acheter le poisson puis il est allé dans sa chambre. Il avait laissé son portable en charge avant d’aller à cette conférence. Alors lorsqu’il prit, Nanou lui avait laissé de tonnes de messages d’inquiétude. Il a préféré l’appeler pour lui expliquer les raisons de son silence depuis 2 heures. Elle était très contente de la manière dont il a géré cet argent. Car David lui avait tout dis. Les deux n’avaient pas de secret entre eux.
Le lendemain David est allé dans la salle de Nanou lui rendre visite.
DAVID : Comment tu vas Nanou ?
NANOU : Très bien et toi ?
DAVID : La forme est là, tiens voilà un paquet
NANOU : Waouh. Humm on dirait tu lis les pensées. Je t’assure j’avais vraiment envie de manger du gâteau crème et voilà c’est exactement ça que tu m’apportes.
DAVID : Quand on aime une personne, même nos esprits s’aiment et sont liés. (Souriant). Alors quoi de neuf ?
NANOU : Rien rien juste que j’ai envie de passer un moment seul avec toi David. J’aimerai qu’on se ballade encore. J’aimerai qu’on prenne un pot ensemble. J’aimerai qu’on aille prendre des photos ensemble. Qu’on aille explorer la terre. Juste toi et moi.
DAVID : Abon hein, attend quand j’aurai mon jet Privé hein… on ira partout
NANOU : Dans combien de siècle mon chéri
DAVID : Très bientôt mon amour. (Souriant). Bon bref moi aussi j’aimerai bien faire tout cela avec toi mais tu vois que là maintenant nous avons la corde au cou. Les examens ici et là, d’ici lundi on commence les examens blancs, après cela, on ira faire deux semaine ou 3 et oupss je commence le Bac. Tu vois que ce n’est pas facile.
NANOU : Oui tu as raison. Mais au moins pour la promenade nor s’il te plait s’il te plait s’il te plait… (Arrêtant le bras de David)
DAVID : ok à vous l’honneur madame (souriant)
NANOU : Madame qui ?
DAVID : Euhhhh Madame Nanou nor (riant)
NANOU : Ahahaha… Maff fou ! Moi c’est Madame POKAM, Epouse deMonsieur POKAM David. Future Milliardaire camerounais et père de 4 enfants
Tous les deux se sont mis à rire, c’était si beau de les voir ainsi. Bien que certains jaloux et jalouse se mordaient le doigt les voyant ainsi. La salle était presque vide. La plupart des élèves était restée réviser à la maison. Aucun enseignant n’était venu depuis le matin. Ils avaient donc préférer s’assoir au fond de la salle. Rien ne les dérangeait, rien ne les empêchait de passer du bon temps
NANOU : (adossée sur l’épaule de David) On joue à un jeu ?
DAVID : Humm Lequel ?
NANOU : Simple ! Action ou vérité ! Chacun à son tour de poser une question.
Et l’autre répond sans mentir.
DAVID : (souriant) Ok commences.
NANOU : Action ou vérité ?
DAVID : Euh… Vérité
NANOU : Euh As-tu déjà pensé que tu peux m’épouser un jour ? Depuis que nous sommes ensemble déjà ?
DAVID : Ehh baaaah ! Euchh les filles ! En fait oui cela m’a déjà traversé l’esprit deux ou trois fois. Mais penser réellement à cela jusqu’à faire de cela un sujet de réflexion non !
NANOU : Humm ok. Je choisie Action
DAVID : Tu as le cœur hein. Ok je veux un bon poème romantique (riant)
NANOU : (Souriant) Avec toi je n’ai jamais froid. Tu le réchauffes de tes bras. Je me blottis contre toi mon Prince. Je suis bien avec toi. Les moments de tendresse, de douceur que tu me donnes par tes gestes, je les aime. J’adore nos moments, nos instants. Rien ne nous échappe. Tout est notre partage. C’est toi, c’est moi, c’est nous. Chaque secondes, chaque minute, chaque heure, tu me manques et je ne cesse de penser à toi. L’homme que j’aime, celui qui me comble de bonheur et qui réchauffe mon cœur, ma vie, c’est toi ! Ma vie sans toi je n’y pense même pas car au fond de moi c’est toi et rien que toi. Tant de plaisir et de désir nous prennent. Tu es mien et moi je serais toujours tienne. Je t’aime.
DAVID : öpeuuutahh ! Tu t’attendais seulement ? Kieuuuh !
NANOU : (riant) Pourquoi ? J’ai mal dit ?
DAVID : Non tu as gagné le jeu. Mince ! Je transpirais déjà. Et tu parles doucement tu me fixe, tu me perds, je ne avais plus ou j’en suis. Waouhh…
NANOU : Merci. Ne considère pas cela comme un jeu simplement, c’est une vérité. Bon je crois que je dois rentrer. J’ai répétition à 15h et je n’ai même pas encore fait mes exercices.
DAVID : Ok courage
Ils se sont levés elle a pris son sac et ils sont sortis. David l’a raccompagné jusqu’à ce qu’elle prenne la moto. Car son chauffeur n’était pas encore venu. David est retourné dans sa salle.
Les semaines sont passées, David avait réussi à l’examen blanc. Il ne manquait plus que 3 jours pour l’examen final de l’année. Le Baccalauréat. Nous sommes Vendredi qui précède le jour de l’examen. David est allé chercher sa carte scolaire et regarder déjà dans quelle salle il composera. Sa camarade de classe Edwige est venu le voir
DAVID : Oui oui Edwige comment tu vas ?
EDWIGE : Gars l’examen me stresse
DAVID : Comment ça, tu n’es pas prête ?
EDWIGE : Pas ça, juste que je ne sais pas j’ai une peur là...
DAVID : Tu dois tenir ferme, ai confiance en toi-même. Restes positive dis-toi que tu as fait ton travaille et tu verras. Moi j’ai étudié ce que je pouvais, je vais composer lundi. Seul dieu pourra m’aider. Mais je n’ai pas peur d’affronter l’examen. Tu devras faire pareil.
EDWIGE : Merci tu es très cool David. Merci Bien.
Ils se sont séparés après que David ait reçu sa carte scolaire puis il est rentré à la maison. Il fallait qu’il passe en revue les matières de lundi.
Dimanche, le dimanche qui précède le lundi jour d’examen du Baccalauréat, David avait décidé ce jour ne pas étudier. Juste se reposer et prier pour le bon déroulement de l’examen. Sa mère avait déjà commencé son petit business. David passait cette journée à cheval entre le mini restaurant de sa mère et le lit pour se reposer. Nanou ne cessait de l’écrire quand elle avait du temps. Question de lui souhaiter les meilleurs vœux possible. Ce soir ils se sont réuni lui et sa mère pour recommander la semaine d’évaluation entre les mains du seigneur. Lundi arrivé, le jour de l’examen, David s’est levé de bonne humeur ce matin-là, il s’est nettoyé puis il est allé au centre d’examen. Mais ce jour David eu la chance de sa vie. Il y’avait deux surveillant dans sa salle. L’un de ces surveillants est passé vérifier les identités des élèves. Malheureusement David venait de constater que le sien était resté sur le lit. Il avait oublié de le prendre. Qu’allait-il faire ? Il devait sans doute être considéré comme un fraudeur.
Pendant qu’il essayait en vain de s’expliquer devant le surveillant de salle qui menaçait de le livrer au chargé de mission qui sillonnait dans les couloir le chef de salle est venu le secourir. Quand il a vu son nom, Pokam il lui a demandé s’il était le fils de monsieur Pokam décédé il y’a quelques années. Quand il a répondu par l’affirmation, le chef de salle lui a demandé de rentrer s’assoir et de ne plus oublier sa carte la prochaine fois. Ce surveillant chef de salle avait autrefois été sorti d’une situation compliquée par Monsieur Pokam, père de David.
Un bienfait n’est jamais oublié. Quoique nous fassions un jour ce bien sera utile.
Même si nous ne mangeons pas les fruits nos enfants profiteront. Continuer à faire du bien, c’est continuer à semer pour moissonner au moment opportun. David eu la chance de sa vie. Cette première épreuve se déroula dans les bonnes conditions. Ainsi que la deuxième. Mais selon David, la 3ème épreuve n’était pas très bien. Il est rentré ce soir épuisé. Il s’est lavé, manger et a causé quelques minutes avec Nanou avant d’éteindre son portable
Nous sommes vendredi Samedi, la fin de l’examen Baccalauréat, David était en fin libre. Il est rentré ce jour heureux d’avoir enfin enlevé la tenue scolaire dessus lui. Il a rangé sa chambre, lavé ses vêtements et il a mis du crédit pour causer avec Nanou sa copine. Ils ont programmé se voir dans un snack de la place ce soir-là. David est allé aider sa mère au restaurant recevait déjà un bon nombre de client.Nanou était de son côté très prise par les révisions. Son examen devait commencer dans deux semaines. Elle avait deux grandes sœurs NINA etLILIANE, un grand frère BORIS et une petite sœur PASSY. Chacune des grandes sœurs était mariée et vivait à l’étranger avec leur famille. Il ne restait que Nanou et Passy à la maison, Boris étant à Bafoussam pour un
Le jour où David commençait l’école est arrivé. Comme tout étudiant il est allé à l’école et a eu un emploi de temps fixe. Mais malheureusement il ne pouvait plus travailler à la station. Il était donc obligé de chercher d’autres petits boulot à faire après les cours. Il avait donc trouvé un travail dans un grand restaurant. Il devait nettoyer le restaurant chaque soir à la fermeture. Et ouvrir le restaurant caque matin avant d’aller occuper sa journée. Cela lui rapportait le peu qu’il pouvait avoir pour se gérer et gérer sa petite reine.Le temps passait, ils grandissaient, ils devenaient matures, David avait déjà fait la connaissance de Passy, la sœur de Nanou qui l’aimait bien, par sa gentillesse et sa simplicité. Passy passait le temps à dire à Nanou qu’elle avait eu
Nanou était perdue, elle ne comprenait plus rien. Elle coulait les larmes en écoutant tout ce qu’Alima disait. Au début elle doutait fortement de la véracité des propos d’alima. Mais avec ce qu’Alima disait elle commençait à croire que David n’était pas sérieux. Car dans les propos d’alima elle voyait des vérités. Alima n’avait pas menti. Nanou n’avait jamais couché avec David depuis leur union. Mais elle se disait comme David n’avait jamais demandé surement pour ces moments-là ce n’était pas sa priorité. Elle ne savait plus quoi dire Répondre à alima qui elle aussi ne cessait pas de l’attaquerALIMA : Tu ne parles plus petite profiteuse ? Je vais te dire une chose ma chérie. N’attend jamais que ton gars te dise qu’il a envie de toi avant que tu e donnes à lui. Certai
Nanou de son côté pleurait toujours, elle aimait vraiment David et était aussi troublé, car elle ne savait pas si sa manière de parler à David était bonne ou mauvaise. Pendant qu’elle se lamentait, on a sonné au portail. C’était sa cousine Himelda qui était venue rendre visite.HIMELDA : Ekiee Nanou c’est quoi cette mine ? Il y’a quoi ?NANOU : Non cousine il y’a rien juste un peu de mal de tête mais ça iraHIMELDA : Vraiment ? Ah si tu le dis heinNANOU : Si non comment tu vas ?HIMELDA : Ah ça va je suis là il y’a qui à la maison ?NANOU : Personne je suis avec le pater mais il est au workHIMELDA : Nanou ça ne va pas, raconte-moi ce qu’il y’a même quand tu parles on sent que ce n’est pas un simple mal de tête.NANOU : je vais même commencer par o
Ils étaient à un autre endroit différent de celles où ils ont l’habitude d’y aller. C’était un vaste terrain de gazons avec les bancs publics un peu partout. Certaines personnes y allaient pour lire des bouquins, d’autres pour des séances de shooting, mais eux c’était pour mettre au clair le problème qu’il y’avait entre eux. Ils se sont installés à un banc public.DAVID : Waouh très jolie de ce côtéNANOU : Oui oui je suis déjà venue ici 3 fois avec mes amies et mes cousines pour se filmer.DAVID : Ok cool je voisNANOU : David je voulais vraiment m’excuser pour mon comportement, je ne voulais pas te perdre mais je ne savais pas non plus comment gérer cette situation. Je ne sais pas encore la vérité mais je sais que même si c’était vrai, je me suis mal comporté
Elle a fait certains achats tels que les yaourts, chocolat et fruits. Puis elle a frappé à la porte de David vers 19hDAVID : bonjour chérie (l’embrassant) NANOU : Tu dormais déjà ?DAVID : Non non pas encore. Tes parents ne sont pas là je supposeNANOU : Oui oui ma mère est au village et mon père à Nkongsamba il a dit qu’il ne rentre pas aujourd’hui. Tu as mangé ?DAVID : Oui j’ai mangé quelques œufs là et les plantains rôtis aux prunesNANOU : Ok il y’a les fruits aussi et yaourts. Ils sont restés pendant un moment mangeant puis Nanou est allée se laver. Après sa douche elle est allée dans la chambre. Elle s’est oint a mis du parfum.NANOU : ChériDAVID : Oui chérieNANOU : Tu fais quoi au salonDAVID : (riant) Massa sa fait 10mn que tu m’as
Tout allait bien de son côté. David avait prévu passer la nuit chez sa mère car le lundi était son jour de repos au travail. Il était fatigué. Il avait abattu un gigantesque plat de Taro qui l’avait mis K.O. l’appel entre lui et Nanou s’était coupé à cause du crédit qui était fini. Quelques minutes plus tard, Nanou elle-même l’a appelé :**** Au téléphone *****NANOU : chéri ton programme de la semaine dit quoi ?DAVID : Par rapport à quoi ?NANOU, tu devais passer chez nous tu oublies ? Il faut que je donne une réponse à mes parentsDAVID : Ok c’est noté. Je vais réfléchir d’ici demain je crois que je viendrais Jeudi après le boulot donc aux environs de 17hNANOU : Ok chéri là ça marche. A cette heure mes parents sont sou
David est arrivé chez lui sous la pluie. Car après 10mn qu’il soit quitté de chez Nanou il a commencé à pleuvoir. Et étant dans un endroit sans abris il a plu sur lui avant qu’il n’arrive chez lui. Il s’est jeté sur son lit et s’est mis à pleurer. Les pleurs des hommes, tout doux, il se rappelait des injures, de tout ce que les parents de Nanou lui avait dit. Il avait fermé sa porte à clé.il se parlait en luimême : « Pourquoi ce monde est-il si injuste ? Tu aimes une femme, tu lui es fidèle pendant 6 ans tu lui as dévoué et elle aussi, mais ce sont ses parents qui mettent fin à votre rêve. (Coulant la larme) Seigneur pourquoi moi ? Pourquoi mon père était mort sitôt ? Il aurait financé mes études pour que je sois aussi un grand aujourd’hui
Il était presque 18h quand sa mère a appelé*****AU TELEPHONE******SA MERE :David c’est comment ?DAVID : mater ça va bien et vous là-bas ?SA MERE : Non ça marche euh on était au marché pour certains achats. Je crois que demain d’ici 8h on sera en route.DAVID : ah ok mum. Et Nanou comment elle va ?SA MERE : La voici même je vous laisse. Je pars me reposerNANOU : Bonsoir chéri comment tu vas ?DAVID : Je vais bien et toi ? Ta santé ?NANOU : bien juste la fatigue et la façon dont mon ventre si gonfle je me demande si c’est normalDAVID : ma mère a dit quoi par rapport ?NANOU : Rien. Je ne lui ai rien dit DAVID : ok. Il faut y penser.NANOU : ok tu me manques trop chériDAVID : Toi aussi. Mais ne t’inquiète plus demain on se verra nor.NANOU : oui oui je pr
MAMAN SANDRA : nous sommes très surpris que deux jeunes comme vous réagissent de cette manière. Ce qui est bizarre c’est que tu n’es pas riche. Car si tu l’étais tu aurais peut-être remis ce sac parce que tu en a assez, mais ne rien avoir et venir tout de même remettre un sac plein d’argent c’est ce comportement qui est remarquable. Et nous te bénissons ainsi pour que tu saches que dans la vie, la bonté que tu montres envers quelqu’un tôt ou tard tu verras que cette bonté te sera multipliée.Mr MARTIN : s’il te plait fils acceptes ces dons. Viens rester ici, là nous serons en contact permanent. Je t’adopte comme fils. Je n’ai pas d’enfant tu le sais. Ce fils devenu pédé, pff j’aurai du mettre la capote ce jour.DAVID : (souriant) On ne dit pas ça papa. C’est toujours un humain. Un jour avec l&rsquo
C’était comme un film. Il était en face d’un milliardaire qui lui recommandait de demander une faveur. Qu’allait-lui dire ?Mr MARTIN : je comprends que tu sois confus, je comprends que tu ne sache quoi dire ou quoi demander. Tu te retrouves dans une situation ou un choix estcompliqué. Tu ne sais pas s’il faut demander ou s’il faut laisser. Je sais, j’ai moimême été confronté aux situations pareilles. Prends tout ton temps pour réfléchir.MAMAN SANDRA : Mon fils tu fais quoi dans la vie ? Et tes parents ?L’attitude de David avait changé. Il était devenu plutôt placide fasse à cette réclamation. L’heure avançait, mais il ne le savait pas. Face à cette question de Maman Sandra il a dit :DAVID : Je travaille à la boulangerie HANANA et mes parents... je suis orphelin de père depui
Trois mois venaient de s’écouler, Nanou sentait déjà son ventre se ballonner.Elle avait déjà fait les premières visites Prénatales. Et le sexe de l’enfant avait déjà été déterminé. Ils devaient avoir une jolie petite fille. Elle s’était déjà bien habituée au style de vie des « pauvrars » comme son père nommait les gens de la basse classe social. Elle pouvait déjà aller à la source chercher de l’eau, préparer au feu de bois avec toute la fumée. Elle pouvait déjà bruler du macabo pour manger, bref elle était devenue une femme polyvalente. Elle aimait cette vie. Très simple. Sans complexe. David les envoyait constamment l’argent. Nanou ne vivait pas avec lui à Baf il avait refusé. Mais elle venait souvent passé du temps dans sa ma
Elle avait de jolie manucure qui laissait voir ses jolis doigts excitants. Elle avait un parfum redoutable. Une robe moulante mini qui laissait entre voir sa super poitrine attirante. Elle avait ce bagage postérieur qui faisait baver tous les hommes. Elle se mit à toucher la cuisse toucher le pied de David tout le long de sa cuisse en le consolant. David se sentait peu à peu gêner, son pilon ne restait pas indifférent aux touchés de cette joliesse. Il avait un short de maison léger. Ce qui pouvait présenter si facilement son état.DAVID : Rita que fais-tu ?RITA : euh rien je te console juste, tu sais quand le cœur d’un homme est si tendu il faut le ramollir, il faut apaiser ce mauvais sentiment en toi.DAVID : Mais…RITA : Soit relaxe Dav, je t’assure tu ne vas pas le regretter.Elle augmentait la fréquence de ses caresses, ce n’était plus qu
David n’a plus continué à manger. Il était pensif sur ce que venait de lui dire Yannick. Il s’est mis à réfléchir. A relier les faits depuis sa rencontre avec Rita jusqu’à ce jour. Son comportement, les mots qu’elle lançait et là il a attesté que Yannick avait raison. Rita l’aimait. Mais que fera-t-il ? Doit-il avancer vers Rita ? Doit-il être différent envers elle ? Que doit-il faire ? Pendant qu’il réfléchissait elle est revenueRITA : Depuis là un petit petit déjeuné comme ça te dépasse ?DAVID : (souriant) Massa Petit petit déjeuné hein, si tu dis petit déjeuné une fois ça va faire quoi ?RITA : c’est l’emphase. Bon je te laisse finir, je voulais juste te dire que je sors, je dois aller chez Sonia pour la saluer. Je me demandais si tu avais &agrav
Quand il a fini de manger il est rentré chez lui laissant David seul avec Rita.DAVID : Alors voisine, merci pour ta patience. En passant tu es très fraiche ce soir et tu sens très bonRITA : (souriante) Merci DavDAVID : De quoi veux-tu qu’on cause ?RITA : Je ne sais pas hein, n’importe quoi. Tu n’as pas une histoire ?DAVID : (souriant) j’ai lu quelques deux histoires hier quand je surfais, je vais te les raconter (s’assaillant)RITA : Ok ohDAVID : Bien le premier c’est l’histoire d’un âne. ... Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures, et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de récupérer
Le lendemain David s’est levé, il s’est nettoyé et laver et il est allé au travail. Sonia est venue chez Rita pour passer un peu de temps avec elle. Question de perdre le temps et de causer avec sa partenaire.SONIA : Comment tu trouves ton nouveau locataire ? Il ne dérange pas nor ?C’est mon ancien camarade de classeRITA : Oui oui pour sa je t’assure il ne dérange même pas. Si tu n’es pas constant à la maison pour voir parfois quand il rentre tu vas penser qu’il y’a personne dans la chambre là. Et très gentil ce mec.SONIA : Je savais, c’est comme ça. Et il est très intelligent comme tu le vois là, surement il a un gros travail. Tu penses qu’il peut quitter de Douala pour Baf pour rien ?RITA : Ah je ne sais pas. Je le vois jamais sortir, ni rentrer pour voir comment il est habillé. Je constate juste que
A quelques mettre pour prendre le taxi elle a rencontré Alvine une ancienne amie du secondaireALVINE : Ikii Mama comment tu vas ? Pourquoi ta mine est si bizarre ?:NANOU: Bonsoir chérie, laisse seulement trop de problème. Comment tu vas ?ALVINE: Je vais très bien. Humm une mouna for boboh comme toi a encore quel genre de problème ?NANOU : Les vrais problèmes qui peuvent tué ne sont jamais d’ordre financier. Chérie laisse un autre jour je te diraisALVINE : Pourquoi ? Tu es sure que tu me verras encore ? Voilà un snack. Allons prendre une tu essaies de me dire ce qui ne va pas.Elles se sont dirigés à MIAMI SNACK BAR où elles se sont installées avec chacune une boisson fraicheALVINE : Oui ma’a dit moi alorsNANOU : Tu te rappelles de David ?ALVINE : David David David… je ne pense pas heinNANOU : Dido