LA FILLE DE MON PATRON-PARTIE 02-RAM

Williams venait tous les jours voir Merveillia, mais cette dernière ne lui laissait pas d’importance ce que ce dernier n'appréciait pas. Il détestait souvent me voir avec Merveillia. Selon lui, Merveillia ressentait des choses pour moi. 

Merveillia aussi aimait me voir tout temps à ses cotés ce qui me donnait des réflexions parfois bizarres, bien vrai qu'elle est très belle et plusieurs hommes couraient après elle. Mais l'idée d'avoir une relation amoureuse avec elle ne m'était jamais  venue à l'esprit, je la considérais  juste comme ma grande sœur, ma patronne, mon amie.  Oui c’est ce que je me disais mais les sentiments que j'avais pour cette dernière commencent par changer. C'était comme si elle voulait occuper une place plus profonde dans mon cœur. 

Souvent je passais toutes mes heures libres à penser à elle. Je rêvais même d'elle parfois, mais je ne pouvais rien lui dire parce que on parlait de ma patronne là, et aussi elle avait déjà un petit ami que son père connaît bien. Je parle bien de Williams.

*Chez Merveillia…..* 

C'était le week-end, Merveillia s'était déjà levée de son lit. Elle avait pris une douche, pris son petit déjeuner et allait s'asseoir devant son ordinateur portable.

          

Elle était en train de fouiller dans ses photos de mannequinat lorsqu'elle tomba sur une des photos où je figurais.  Elle avait prise cette photo lorsque nous étions à une réunion, elle ne faisait que regarder la photo et commença par dire des choses…

— Richy est vraiment cool et aussi il est vraiment génial. On dirait que je craque pour ce dernier. Il est simple, adorable, gentil, vraiment il a tous ce dont une femme a besoin pour se sentir à l'aise. Je vois pourquoi je n'aime plus m'éloigner de lui.  Mais je suis sa patronne après tout, et de plus je suis une femme et je ne peux jamais passer en première position, s’il ne ressent rien pour moi ? Comment vais-je faire pour lui avouer mes sentiments ? Je ne me trompe pas, je suis amoureuse de Richy. Je vais l'appeler, peut être qu'il est libre et nous allons faire une promenade...

J'étais à la maison lorsque mon portable sonna. j'avais pris le portable pour consulter l'écran et c'était Merveillia. J'avais décroché parce que je me disais que c'est peut être le boulot qui m'appelait.

— Allô !!! Bonjour Madame.

— Bonjour Richy et ce matin ?

— Ça va, je rends grâce et de votre côté ?

— Bien aussi, Richy stp tu es à la maison ?

— Oui je suis à la maison.

— OK tu n’es pas occupé j'espère ? Ou bien as- tu un programme dans l'après-midi ? 

— Non non je ne pense pas.

— D'accord je peux venir te prendre vers 17 h comme ça ?

— D'accord c'est compris il n'y a pas de problème. 

— D'accord merci beaucoup à toi, et à tout à l'heure...

Merveillia raccrocha l'appel, et je commençai par me poser des questions.

— Nous sommes en week-end et dans les règles nous ne devions pas aller au boulot ou faire quelque chose concernant le boulot maintenant où cette fille veut m'amener ? Me demandai-je

J'étais là, la tête plongée dans mes pensées lorsque mon portable commença à sonner de nouveau. J'avais pris le portable et c'était Laurette la femme de ménage que j'avais rencontré dans l'ascenseur.  

Laurette est une fille très cool, depuis notre première rencontre dans l'ascenseur, elle et moi avions eu un lien d'amitié très fort.  C'est elle qui s'occupait de la propriété de mon bureau et aussi du bureau des autres. Elle m'aidait dans beaucoup de choses. Elle est vraiment gentille avec moi...

J'avais pris son appel et.. :

— Allô !!!! Bonjour Laure(diminutif de Laurette) comment vas-tu ?

— Je vais bien Richy sauf que tu me manques un peu.

— Oh la la !!! Vraiment ? 

— Je te jure, Richy tu me manque, je me demande pourquoi j'ai cette envie de te voir. On dirait que.... Non rien.

— On dirait quoi ? 

— Non rien, tu es à la maison ?

— Oui-Oui je suis à la maison, tu veux venir chez moi ?

— Tu as bien deviné, Richy, je veux venir chez toi. Je peux ?

— Ce n’est pas un problème , tu viens à quelle heure ?

— Vers 16h comme ça c'est bon ?

— 16h ? Pourquoi pas maintenant ? Parce-que je veux aller quelque part à 17 h comme ça donc ce n’est pas sûre que je vais rester longtemps avec toi si tu viens.

— D’accord je vois mais, t'inquiète pas je vais venir à l'heure que j'ai dit. Si tu pars je vais t'espérer !  Maman est à la maison non ?

— Oui elle est là, mais tu as oublié que c'est la première fois que tu veux venir chez moi ? Et déjà tu décides de rester avec mes parents sans mieux les connaître ? Tu es vraiment curieuse toi !

— Toute chose à sa première fois mon cher et tes parents sont aussi mes parents. 

Et de plus, ce sont mes beaux-parents. (Elle se mit à rire en disant cela).

- Cool ! OK c'est compris, j'espère que tu vas reconnaître la maison que je t'avais montrée !

— Comment je ne vais pas reconnaître la maison de mon mari ? Toi aussi. Tu me verras dans la maison seulement.

— D'accord madame ma femme. (En riant)

— Bonne journée mon trésor.

— Bonne à toi aussi.

Laurette est vraiment cool avec moi, une amie que je n’avais jamais eu auparavant. J'avais déposé mon portable, parce que ma mère voulait aller puiser de l'eau et j'ai pris la bassine dans sa main pour puiser.

                 

Ma mère une femme lionne, je priais beaucoup Dieu pour elle à fin qu'il fasse un miracle pour qu'elle donne naissance à une fille pour que je pusse avoir une petite sœur. 

              

Parfois quand je taquinais ma mère, pour lui dire que je veux une sœur, elle me faisait comprendre qu'elle a beaucoup d'enfants, et ses enfants sont en moi. Elle priait chaque jour pour moi pour que je pus trouver une bonne femme...

*Chez Merveillia…* 

Merveillia était dans sa chambre, elle choisissait l'habit qu'elle allait porter.

Elle ne savait pas quoi choisir, parce qu’elle voulait se faire très belle avant de se rendre chez moi.   

        

Elle était là lorsque leur femme de ménage était venue frapper à sa porte. Elle était partie ouvrir la porte et cette dernière lui fit comprendre que monsieur Williams l'attendait au salon. Elle était partie déposer l'habit qu'elle avait en main et alla rejoindre Williams au salon. 

         *Une fois au salon :* 

— Bonsoir Williams, comment vas-tu ? 

- Bonsoir Merveillia, tu as vu mes appels ?

— Non, tu m'as appelé ? (les sourcils froncé)

— Bien-sûr que je t'avais appelé plusieurs fois et tu as refusé de me répondre. Tu es connectée sur W******p, je t'écris et tu ignores mes messages. Tu as quoi au juste ? (avec un regard jaloux)

- (avec un ton, nerveux) Williams tout d'abord, est-ce que tu te rends compte que tu es dans ma maison ? Tu ne peux pas venir chez moi et crier sur moi tu me comprends là ? Je ne peux pas être libre et refuser de prendre tes appels.

— Tu veux me faire comprendre que tu étais occupée c'est ça ? 

— William sais tu que je n'ai de compte à rendre à personne? Je te dis que j'étais occupée c'est pour et c'est pour cette raison que je n’ai pas répondu à tes appels et autres. Si tu ne veux pas croire à ça c’est ton problème ! C’est pour ça que tu es venu ici ? C'est pour me faire la morale ? Parce que moi j'ai des choses à faire.

— OK je veux que tu m'accompagnes à une réunion dans la boîte de mon père.

— C'est à quelle heure ta réunion en question ?

— À 16h30 on doit être là-bas.

— 16h 30mn ? Il est 13h maintenant. Williams sans te mentir je ne peux pas , j'ai un rendez-vous à 17h que je ne peux pas rater.

— Quoi un rendez-vous tu dis ? Quel rendez-vous ? Parce qu' à ce que je sache ta boîte est fermée les week-ends. 

— Williams tu te prends pour mon père ou pour mon mari ? Je ne peux pas t'accompagner à cette réunion donc désolée. Je peux me retirer ?

— Tu veux partir où ? J'ai fini de te parler ?

— Williams tu es devenu fou ou tu veux devenir fou ? Tu n'as aucun droit sur moi tu me comprends là ? Je ne suis pas celle que tu crois.

— Merveillia surveille tes paroles, ou bien tu oublies que tu es ma fiancée ? J'ai tous les droits sur toi et tu dois m'obéir.

— Mon œil, fiancée de qui ? De toi ? Tu rêves, je vois. Je ne suis pas ta fiancée et je ne compte même pas devenir ta fiancée.  Fiancée d'un coureur de jupons ? Ça jamais. 

— C’est à moi tu dis ça salope, tu n'as même pas honte et c'est avec ton secrétaire tu sors. Se rabaisser jusqu'à ce niveau à cause d'un pauvre type.

— Pour toi je sors déjà avec Richy ? Oh que Dieu exauce tes prières. Parce-que Richy est un homme beau, mignon, rempli d'amour et de romance. Il est vraiment à mon goût, prie pour moi OK ? Bon après midi, si tu veux voir mon père il n'est pas à la maison.

Merveillia voulait prendre les escaliers lorsque Williams la tira par ses cheveux et voulait lui faire mal lorsqu'il entendit la voix de la mère de Merveillia.

— Williams !! qu'est-ce que je vois comme ça ? C'est ma fille ou bien qui ? C'est comme ça que tu veux être son mari ? 

Williams relâcha les cheveux de Merveillia et commença par calmer la mère de Merveillia en avançant des arguments. Mais cette dernière ne lui avait pas donné une chance et lui demanda juste de quitter sa maison.

Williams était dans l'obligation de sortir de la maison une fois dehors il prit sa voiture et prit la route. 

La mère de Merveillia demanda à sa fille ce qui s'était passé, et lorsque cette dernière lui avait tout raconté, elle s'était fâchée et décida d'attendre le père de Merveillia pour lui dire ses deux mots.

De l’autre côté, Laurette était venue chez moi comme elle avait dit. Il était 15h 50mn, je m'apprêtais avant l'arrivée de Merveillia. Ma mère était dehors en train de faire la lessive lorsque Laurette fit son entrée.

                 

Elle salua ma mère et demanda d'après moi. Ma mère m'appela et j'étais sorti voir.

J'avais présenté Laurette à ma mère, mon père n'était pas à la maison. Directement Laurette alla vers ma mère, elle n’était pas entré dans ma chambre, mais commença à faire la lessive avec cette dernière.

Ma mère était vraiment contente de cette d'elle. J’étais là entrain de causer avec ma mère et Laurette lorsque Merveillia fit son entrée, elle salua ma mère et demanda après mon père comme elle n'était plus une étrangère dans la maison. 

Laurette l'avait saluée et elle l'avait reconnue. Mais elle lui avait juste répondu sans demander quelque chose. 

J’étais prêt et nous sommes montés dans la voiture et prirent la route. C'était Merveillia même qui conduisait la voiture.

Nous sommes partis dans un endroit vraiment chic. C'était dans un restaurant très chic de la ville on n’avait même pas encore pris siège lorsque Merveillia me demanda ce qu’il y avait entre Laurette et moi.

J'étais vraiment étonné lorsque Merveillia m'avait posé cette question. Mais comme elle et moi il n’y avait rien entre nous, et aussi Laurette et moi également rien entre nous, j'avais pris siège et répondit à sa question.

— Madame, Laurette est juste une amie à moi et elle travaille aussi dans votre entreprise !

— Oui je la connais très bien, elle est l'une des femmes de ménage dans l'entreprise. Tu es sûre qu’elle est juste amie avec toi ?  Sinon elle est très collée à ta mère, comme si elle était ta fiancée.

— Oh madame vous aussi, c'est vrai que Laurette est une bonne fille, simple compréhensive, gentille et aussi belle.  Elle sera aussi une bonne femme mais je n’ai pas des sentiments envers elle. 

— Donc tu veux me dire qu'elle te plaît c'est ça ? 

Dans ma tête je me disais : (mais elle n’a pas saisi ce que je viens de dire ou quoi ?)

— Madame s'il vous plaît, je ne veux pas vous stopper dans vos questions. Mais je ne sais pas pourquoi nous sommes ici.

— Richy c'est quoi ! Tu n’as pas confiance en moi ou quoi ? Ou bien tu penses que je peux te kidnapper ou te faire du mal ? 

- Madame j'ai jamais dit ça hein, c'est juste que je suis un peu gêné d'être ici seul avec mon boss sans connaître les raisons !

— Ok je vois, bon je veux juste qu'on reste un peu ensemble pour discuter de ce que nous allons faire dans l'autre semaine. 

— Ok ce n’est pas grave, bon je vous écoute.

— Tu vas prendre quoi ? Oh j'ai oublié, prends le menu devant toi et fais le choix de ce que tu veux manger.

Comme Merveillia m'avait demandée, je n’avais pas eu le choix, j'avais pris le menu et commença à le consulter.  J'avais du mal à faire un choix, parce que toutes les nourritures sur le menu coûtent vraiment cher. Elle m'attendait, mais au finish, j'avais décidé de ne rien prendre. 

— Euh !!!!  Merci madame, mais je ne veux rien prendre. (Avec un sourire Léger)

— (étonnée) Richy, pourquoi tu dis ça ? Comment tu ne veux rien prendre ! Ou bien as- tu quelque chose ? 

— Madame je n’ai rien ! Tout juste que ces nourritures coûtent trop chers. 

— Ok je savais que tu allais dire ça.  Mais ne te soucis pas ! Ce n’est pas toi qui va payer la facture, donc s'il te plaît fait un choix ou je le ferai à ta place.

Je n’avais pas le choix et j'avais laissé, Merveillia faire le choix à ma place. Elle commanda des plats qui coûtaient vraiment chers. Une fois que les serveurs amenèrent les plats, elle leur demanda d'amener une bouteille de champagne. Nous avons commencé à déguster les plats.....

Pendant ce temps chez moi à la maison,

Laurette avait déjà fini la lessive avec ma mère, elle était dans la cuisine avec ma mère, mais elle qui causait très bien avec ma mère, changea de mine. Ce qui poussa ma mère à lui poser des questions. 

— Ma fille, qu'est-ce qui ne va pas ? Tu ne te sens pas bien ? 

— Maman je n’ai rien, ne vous inquiétez pas. 

— Ma fille, ne me cache rien, stp. C'est vrai que c’est ta première fois de venir ici, mais si quelqu'un vient ici qu’on lui dit que tu es étrangère ici, il ne croira pas et dira que tu vis avec nous ça fait déjà longtemps. Donc j'ai déjà appris un peu sur toi. Si c'est quelque chose qui te tracasse, dit le moi ma chérie Si possible je peux t'aider.

Laurette n'avait plus le choix, elle souleva sa tête et ouvrit sa bouche pour parler.

— Maman, je ne sais pas si vous allez me comprendre mais...

— Mais quoi, ma fille ? Parle moi je t'écoute. Même Richy ton ami sait très bien que je n’aime pas voir quelqu'un soucieux comme ça donc parle moi.

— Maman c'est à cause de Richy que je suis comme ça. 

— À cause de Richy ? Mon garçon ? 

— Oui maman.

— Mais Richy n'est pas ici avec nous non ?

— Je sais très bien qu'il n'est pas à la maison maman. Mais c'est que j'ai peur de le perdre à cause de notre patronne.

— Oh je vois claire maintenant. Laurette je peux te poser une question ? 

— Oui maman. (La tête baissée avec un air honteux)

— Richy et toi vous avez quelle relation ? Vous êtes juste des amis ou quoi ? 

— Maman nous sommes juste des amis. Mais...... (elle penchait la bouche et caressait ses doigt)

— Je comprends déjà ce que tu veux dire. Est-ce que Richy est au courant que tu ressens quelque chose pour lui ? 

—  (elle froisse son visage avec l’air honteux et dit) : Non maman, j'ai du mal à lui avouer mes sentiments. Parfois je lui dis ça indirectement. Mais à-travers mes analyses Richy ne s'intéresse pas à moi.

— Ooh donc selon toi Richy s'intéresse à sa patronne ?. 

— Je pense bien que c'est ça maman, même si je ne suis pas trop sûre.

— D'accord j'ai compris, ne te fais pas de soucis pour ça. Richy m'a dit que votre boss a déjà un fiancé, donc ne t'inquiète pas trop pour ça. Et en regardant bien mon garçon lui aussi ressent des choses pour toi ma chérie. Je serai vraiment contente de t'avoir comme belle fille, la femme de mon fils. C'est vrai que c'est notre premier contact mais tu semble être une bonne fille. 

— Maman c'est vrai que madame Merveillia a déjà un fiancé, Mais elle n'aime pas son fiancé en question et elle s'intéresse aussi trop à Richy. Elle peut mettre de l'argent devant Richy pour l'avoir.

— Je connais très bien mon garçon, il n'acceptera jamais ça en sachant que cette dernière a déjà un fiancé ! Jamais ma fille. Reprends tes esprits et viens m’aider.  Une fois que Richy sera à la maison, je vais lui poser certaines questions...

Laurette, commença par aider ma mère une fois rassurée... 

Monsieur Williams était parti voir le père de Merveillia là où il se trouvait. Il avait raconté des sottises à ce dernier.  Et le père de Merveillia aussi l'avait suivi bêtement. Il avait même menti sur le compte de la mère de Merveillia. Le père de Merveillia se fâcha et prit son portable pour appeler Merveillia.

À suivre…

RICHY PLUME-RAM

GOD'S INSPIRATION