Angèle
Elle crie mon nom
- Qu'est-ce qu'il y a ? tu m'as fait une de ces frayeurs,
- c'est quoi ces merveilles dans ton sac ?
Elle me montre le Ipade et le nouveau smartphone intra performant,
- Mon patron me l'a donné pour le travail.
- Mais dis donc, ton travail doit être très super pour que avant même de commencer,tu as déjà tout ça. Tu seras payer à combien ?
- 10 000 € , avec des avantages sociaux et une assurance tout-risque.
- C'est de la bombe, ça, tu es sûre que tu ne lui a pas taper dans l'oeil ?
J'éclate de rire
- Tu es malade toi, tu l'as bien regarder ? Et tu m'as bien regarder ? Tu détailles ma parole.
Un homme
si beau,
si riche,
si élégant
Et moi,
si banale,
si quelconque,
si pauvres
Tu dois avoir un problème de vue
- C'est toi qui est aveugle, tu te regarde parfois dans le miroir ? Je suis sur que non. Tu es magnifiquement belle, courageuse, intelligente, douée, avec ces nichons et ce postérieur, sans oublier ce visage d'ange. Si j'étais un homme ou si j'étais lesbienne, crois moi que j'allais tenter ma chance. Et tu n'allais pas échanger à mes assots .
- Tu es folle, toi,moi aussi je t'aime.
Tu sais que les dimanches c'est jour de spa pour moi ?
- Non, Non et Non, cette fois ci, je ne me laisserai pas faire, ça ne va pas ce passer comme ça. Soit je vais avec toi les dimanches, ou tu ne bouge pas.
- Quoi ? tu veux maintenant me prendre en otage ?
- Tu as tout compris. Le spa, j'y vais aussi à prendre ou à laisser.
- J'ai vais voir ce que je peux faire.
- Tu as déjà tout vu. appel ton patron, il faut qu'on parle avec lui.
- Mais, je n'ai pas son numéro.
- Comment c'est possible ? Tu n'as pas demandé ?
- Non, Je n'y ai même pas songé à lui demander.
- Donne moi ton nouveau téléphone, que je vérifie, il a dû l'enregistrer la dedans.
Je lui tend le téléphone, elle est vraiment motivée. Elle déverrouille , et va dans les contacts.
- Je te l'avais bien dit. Je vois un contact ici, où c'est écrit Alexandre, ça doit être lui.
Je la vois lancer le numéro, c'est quoi son problème à cette fille ? Elle est folle.
- Mais, qu'est ce que tu fais ?
- Mais rien, j'appelle, tiens il à décroché.
- Mais je ne t'ai pas dit que je voulais lui parler.
- ha non, tiens parles
J'entends au téléphone
- Allô, allo, mon ange qu'est-ce qu'il y a ?
Je suis obligé de parler maintenant, elle Va me le payer.
- Allô, monsieur je, excusez-moi Pour le dérangement, c'est ma copine qui a lancé votre numéro, elle veut aller spa avec moi les dimanches, je voulais savoir si c'était possible ?
- Elle a l'air de vraiment y tenir.
- Exactement, monsieur si vous pouvez accepter, elle sera vraiment contente, surtout qu'elle n'a pas pu avoir de stage chez vous.
- Très bien, elle peut t'accompagner les dimanches.
- Merci monsieur,
- n'oublie pas, de bien te reposer le soir la journée du jeudi sera bien chargée.
- Bien monsieur, mais Sasha peut rentrer chez lui, puisque j'ai fini les cours.
- Bon,tu vas grandement ouvrir les oreilles, car je ne veux plus revenir sur ce sujet, Sasha te suivra partout à partir d'aujourd'hui, jusqu'à nouvel ordre, que tu travailles ou pas, que tu sois à l'école ou pas, que tu sois au restaurant ou pas, donc où que tu sois,il sera avec toi .
- Même dans la douche?
- C'est sensé être une blague ?
- Non, monsieur.
- Je le pense aussi. Regarde sur ton iPad
je t'ai envoyé un travail de recherche, tu me donneras les résultats le jeudi.
Il a raccroché, quel mufle.
- Tu as gagné cette bataille, le dimanche est notre journée spa.
- Ha bon, comme tu insiste, je vais t'accompagner, mais sache que tu me force la main là, heureusement que je suis généreuse, alors je vais t'accompagner.
- Ho, merci beaucoup pour votre générosité. "Généreuse" mon œil, tu me suppliais littéralement, il n'y a même pas une minute, tu n'as pas honte ?
- Honte ? Mais honte de quoi ? À force d'avoir honte les gens n'ont jamais rien. Par ce qu'ils ont honte de demander.
Tu penses que si j'avais eue honte j'allais t'accompagner ? he ben non, j'allais rester là à te maudir nuit et jour, de ne pas pouvoir t'accompagner, de la chance que tu as . He ben non, je n'ai pas honte.
Ho, merci beaucoup pour votre générosité. "Généreuse" mon œil, tu me suppliais littéralement, il n'y a même pas une minute, tu n'as pas honte ?
- Honte ? Mais honte de quoi ? À force d'avoir honte les gens n'ont jamais rien. Par ce qu'ils ont honte de demander.
Tu penses que si j'avais eue honte j'allais t'accompagner ? he ben non, j'allais rester là à te maudir nuit et jour, de ne pas pouvoir t'accompagner, de la chance que tu as . He ben non, je n'ai pas honte.
- Tu n'est pas croyable, On y va ?
- Oui, je dîner ce soir chez Georges ( petit ami)
- Comment il va-t-il ? Enfin,il est revenu de son voyage.
- Enfin, il a tellement durée, un mois, merde un mois plein sans faire l'amour avec lui, si je ne l'avais pas menacé de le tromper, il serait encore là-bas.
- Je ne sais pas pourquoi, il s'inquiète tu l'aimes trop pour le tromper.
- C'est toi qui le dit, si j'ai des démangeaisons, et qu'il n'est pas là ? Que veux-tu que je fasse ? Je vais aller voir ailleurs .
- Que tu prends de l'eau chaude pour laver la chatte .
Angèle— Tu ne le penses pas réellement, hein ? je dis en posant mon verre avec un soupir.Simone lève les yeux au ciel, son sourire moqueur aux lèvres.— Tu crois ? Tu ne peux pas me comprendre, c’est parce que t’es encore vierge. Franchement, je me demande comment tu peux encore l’être avec tous les beaux mecs qui te tournent autour. Qu’est-ce que t’attends ? Que des plantes poussent là-bas ?Je rougis violemment, prise entre gêne et exaspération.— Je… Je sais pas moi-même ce que j’attends. Tout ce que je sais, c’est que ce ne sont pas les bons.— Et comment tu sauras si c’est le bon ou pas ? Il y a une ampoule magique qui va s’allumer entre tes jambes peut-être ?— Tu peux vraiment être bête parfois…— Non mais sérieusement ! s’exclame-t-elle en riant. Tu vas finir vieille fille si tu continues à les fuir tous comme la peste.— Quand je verrai le bon, je le saurai. Mon cœur me le dira. Je sais que je le saurai.Je la regarde droit dans les yeux, et mon ton est si ferme que même Si
AngèleOn sonne à la porte. Il est presque vingt heures. Je descends lentement, pensant que j’ai peut-être oublié quelque chose dans le hall. Mais en ouvrant, je me fige : Sasha se tient là, toujours aussi impassible, tenant deux sacs. Je pensais qu’il était reparti avec la Mercedes.— Bonsoir mademoiselle, dit-il avec politesse. Monsieur m’a chargé de vous livrer des sushis. Il sait que vous aimez ça. Il a également envoyé vos tenues de travail. Vous devrez en porter une différente chaque jour, selon les instructions.Je cligne des yeux, surprise.— Des tenues ? Il m’offre... des vêtements de travail ?— Il précise que si vous refusez de les porter, il ne sera pas nécessaire de vous présenter demain au bureau.Je serre les lèvres. Ce genre de contrôle déguisé sous forme de générosité me perturbe. Et pourtant… quelque chose en moi frémit. Il m’a envoyé des sushis. Comment sait-il que c’est mon plat préféré ?— Dites-lui merci. Bonne soirée, Sasha.Je ferme la porte doucement, le cœur
AlexandreJ’avais déjà prévenu Joséphine de notre arrivée. Comme toujours, elle n’a pas fait les choses à moitié. Un véritable festin nous attendait. Ce n’est pas tous les jours que j’amène une femme ici — en vérité, c’est la toute première fois. C’est dire à quel point elle est différente.On s’installe à table. Je remarque immédiatement que mon ange est affamée, mais elle essaie de le cacher, comme si elle voulait rester digne. Elle me plaît, même dans ses silences.— Que penses-tu des contrats que tu as étudiés ? je demande en tranchant la viande.— J’ai remarqué que vous avez des partenariats partout, pas seulement en France… En Amérique, en Russie, en Chine. C’est impressionnant.— Tu sais, ça fait des années que je travaille dans ce domaine. Pour obtenir ce genre de contrats, il faut de la patience, de la stratégie, des relations… et surtout, un travail impeccable. Une seule erreur peut te coûter une décennie de crédibilité.Elle hoche la tête, absorbant chaque mot.— Vous avez
Lucifer - Je sais tout cela, Enrique, Il lui tire encore une autre balle dans la cuisse. L'homme hurle, se débat- Je vous en prie, ne me tuez pas, je vais faire sortir mon frère du pays, je vous le jure.- Ne te fatigue pas Enrique, j'ai une image à te montrer.Il voit son frère arriver dans une poussette, il est méconnaissable, il est rouge, il essaie de regarder son frère dans les yeux pour se rendre compte que ce sont deux trous vides qui y sont.Son frère n'a plus de yeux, ses yeux ont été retirés chirurgicalement, L'homme, pour un hurlement, s'évanouit, Lucifer verse sur lui un sceau d'eau glacée, il se réveille en sursaut, il n'arrête pas de pleurer.Lucifer lui met une claque, - Tu vas arrêter de pleurer comme une fillette. C'est dégoûtant. Je n'en ai pas fini avec toi, le plus beau cadeau arrive. Emmenez-la.Il voit arriver une jeune fille en sous-vêtements, entraînée par un homme corpulent, il l'attache sur un matelas d'une place posé sur un lit métallique. les jambes et
Lucifer Son copain n'arrive plus à pleurer, il est juste là, les yeux hagards, comme s'il était déconnecté de ce monde. Il faisait peine à voir.Quant à sa copine, elle commence à se fatiguer, sa bouche ne fait plus bien la pipe. Derrière elle se trouvaient deux hommes, l'un dans l'anus et l'autre dans son vagin, elle était fatiguée, mais on a l'impression que son mec était nul au vu de la manière à laquelle elle a pris toutes ses queues.Lucifer est resté à voir le spectacle.Il est très fier de lui. Il relève Enrique et lui dit :Tu peux prendre ta copine, ton frère et y aller, n'oublie pas la prochaine cargaisonEt je paierai la moitié de la somme convenue, pour dommages et intérêts.Enrique se demande, comment va-t-il pouvoir rentrer chez lui ainsi, avec un frère qui n'a plus d'yeux, une copine, qui s'est fait baiser dans tous les trous de son corps. Il peut toujours remercier Lucifer d'être toujours en vie, il aurait pu le tuer lui et sa famille, il conseillera son pire ennemie
Angèle Le lendemain matin, Sasha est venu me chercher comme convenu, nous sommesallé, au bureau d'État civil pour faire mon passeport, tout s'est bien passé. Deux heures plus tard, nous avons fini.J'ai appelé Simone pour bavarder un peu avec elle.- Alors, frangine, quoi de neuf ?- Tu vas bien ? Qu'est-ce que tu es en train de faire? Tu n'es pas allé travailler ce matin ?- Non, je suis allée faire mon passeport, on se croise avant les cours, pour que je t'en parle ?- Viens me chercher ma poule.- Sasha, on va chercher, Simone !- D'accord, mademoiselle.Je retrouve Simone devant chez elle, elle monte, nous partons prendre un verre, pas loin.À peine assise qu'elle me bombarde de questions :- Alors meuf, quoi de neuf ? Dis-moi toutTu sais que j'aime être à la page, alors déballe le morceau.- Merde, Simone, c'est quoi ce langage ?Tu parles comme une gangster, ma belle.- Je passé toute la nuit à regarder le parrain ( film mafieux) tu ne peux pas imaginer combien j'ai aimé leur
Angèle – Angèle, tu vas être en retard, me crie ma mère depuis ma porte.Je me réveille, fais ma toilette et descends prendre un petit déjeuner.Après, j'entends des klaxons de voiture.Il est temps de partir. Mon père prend mes sacs de voyage et sort avec moi.Ma mère ferme la porte derrière.Nous montons tous les trois dans la limousine où nous trouvons M. Belinski.Sasha met mes sacs dans le coffre.Il nous salue aimablement.La limousine nous emmène dans la maison de M. Belinski, dans son garage où il montre ses douze voitures de collection à mon père. Ensuite, nous partons pour l'aéroport où un jet privé nous attend. Mes parents sont éblouis.M. Belinski leur fait visiter l'intérieur, ils en profitent pour prendre des selfies avec lui et moi. J'en ai pris aussi pour l'envoyer à Simone.Après le départ de mes parents, je remercie M. Belinski pour son amabilité.– Tout le plaisir est pour moi, mon Ange.– Excusez ma question, mais pourquoi vous m'appelez toujours ainsi « mon ange
Angèle Cela fait un jour et demi que je suis enfermée, dans ce cachot, je n'ai , ni à boire, ni à manger, pendant tout ce temps, je me sens faible, démunie, j'ai cette douleur à la poitrine, comment suis-je arrivée là ? Enfermée dans le sous-sol d'un mafieux.Angèle se pose cette question : notre destin est-il écrit d'avance ou tout est dû au hasard ?C'est quoi le destin ? Telle est ma question : peut-on changer notre destin ? Peut-on se soustraire à son destin ? Telle est la question que je me pose.- Qu'est-ce que j'aurais pu faire pour ne pas croiser sa route, si je ne travaillais pas dans ce restaurant, aurait-il pu m' apercevoir ? Où allait-il me voir ailleurs ? Est-ce mon destin de me retrouver ici ?Est-ce que je peux me soustraire à mon destin ?Pourrais-je encore voir un jour le soleil ? Aurais-je pu lui échapper ?Je vois la porte s'ouvrir sur lui, "LUCIFER"Il me regarde d'un air dédaigneux, - Alors tu as pris ta décision, accepte tu de m'épouser ?- Non- Tu crois vraime
AngèleMes yeux glissent lentement le long de ses omoplates puissantes, descendant sur sa poitrine sculptée, jusqu’à son ventre où chaque muscle semble avoir été dessiné avec précision. Ses abdominaux forment des lignes nettes, presque irréelles. Mes yeux continuent leur descente involontaire vers ses cuisses musclées, encadrant ce membre impressionnant, même au repos. Une masse de désir silencieux, indécent par sa simple présence.— Tu aimes ce que tu vois ?Sa voix grave me ramène brutalement à la réalité.— Hein… quoi ?Je détourne les yeux, rouge de honte.— Je te demande si je suis assez beau à tes yeux. Tu t’es bien rincé l’œil, ou dois-je encore tourner sur moi-même ?Son ton est moqueur, mais étrangement doux.— Je... je ne te regardais pas.— C’est vrai. Tu ne me regardes pas moi, c’est mon corps que tu admires.— Bien sûr que non.— Pourquoi ? Je ne suis pas beau ?— Si, enfin… Bon, j’ai sommeil. J’ai des courses à faire demain.Il rit doucement, cette façon qu’il a de m’att
Angèle— Merci beaucoup. Et mes parents ont bien reçu leur cadeau… Il ne fallait pas, vraiment. C’est très généreux de ta part. Ma mère était émue aux larmes.— De rien, ma chérie. Tout ce qui est à moi t’appartient.Il m’embrasse doucement sur le front avant de quitter la pièce. Me voilà seule. Je dois me rendre dans la cuisine pour superviser les préparatifs.— Martha, on a encore du boulot, dis-je en entrant dans la pièce. Il faut nettoyer un autre coin du manoir. Non, en fait, on va tout nettoyer de fond en comble.Je veux que chaque recoin du manoir respire la perfection. Alex a parlé avec une telle fierté tout à l’heure… Je refuse qu’il ait honte d’un détail mal entretenu. Il faut que tout soit étincelant, irréprochable.— Appelle les employés. Ils vont devoir travailler sans relâche pendant les sept prochains jours. Ce manoir doit briller comme jamais auparavant. Tout doit être comme neuf.— D’accord, ma chérie, répond Martha avec un sourire rassurant.Elle s’affaire rapidement
Angèle— Ok, je me suis mariée avec mon patron.— Quoi ?!— Oui, maman. Nous venons tout juste de rentrer de notre lune de miel.Il y a un silence au bout du fil. Je peux presque entendre les rouages tourner dans la tête de ma mère, et je m’apprête à la suite...— Mais pourquoi si vite ? Tu es enceinte ?— Non, maman. Nous sommes simplement… amoureux. Et il ne voulait pas que nous "péchions" avant le mariage. Il a insisté pour que nous attendions d’être mariés avant de… tu vois.— Oh ma fille ! C’est… c’est tellement romantique ! J’en ai les larmes aux yeux. Tu es une femme mariée, et en plus tu as décroché le gros lot : un homme riche, élégant, et qui t’a respectée.— Merci maman.— Félicitations, mon cœur. Bon Dieu, elle s’est mariée !Je souris en l’écoutant s’extasier. Mais évidemment, papa ne tarde pas à se manifester.— Je veux lui parler, dit-il en arrière-fond. Il ne peut pas épouser ma fille sans demander sa main à ses parents ! Ce n’est pas acceptable.Je n’ai même pas le te
AngèleJe prends la pommade, la réchauffe entre mes paumes avant de poser délicatement mes mains sur son dos nu. Je commence à le masser lentement, mes gestes circulaires épousant la tension de ses muscles. Il ferme les yeux, soupire, se détend sous mes doigts.— Nous aurons de la visite après-demain, murmure-t-il sans ouvrir les yeux.Mon cousin vient avec sa copine. Ils veulent rencontrer ma femme.Sa voix glisse dans l’air comme une promesse. Ma main continue son va-et-vient, jusqu’à ce que la sienne remonte sur mon épaule. Il me caresse, doucement. Je ferme les yeux à mon tour, m’abandonnant à son toucher.— Je peux avoir mon téléphone maintenant ? Pour appeler mes parents ? Je pense que tu as eu ce que tu voulais…Il se redresse légèrement, son regard brillant d’un feu que je connais trop bien.— Oui, j’ai eu ce que je voulais, répond-il en pinçant brusquement mon téton. Je sursaute, mon corps réagit malgré moi. Il le sait. Tu peux appeler tes parents… et ton amie.Sa main glisse
LuciferAlors, comment était la lune de miel ? Me demande mon bras droit.- C'était très bien, je me suis tapé deux putes en plus de ma femme, donc je peux dire que ça s'est bien passé.- Et elle ne s'est pas fâchée, elle n'a pas boudé ?- Je n'y ai pas prêté attention, de toutes les manières, cela ne me ferait ni chaud ni froid. Si elle ne veut pas que j'aille voir ailleurs, qu'elle soit à ma disposition vingt-quatre heures sur vingt-quatre.Mais, de toi à moi, tu crois que le mariage peut me changer ? Tu sais que j'aime les chattes, qu'elle s'estime heureuse que je me protège à chaque fois, même avec Lexis, je prends mes précautions, je ne veux pas qu'on m'apporte une grossesse dont je ne veux pas. - Selon toi, comment réagira Lexis ? - Mais qu'est-ce que tu veux que ça me fasse ? Qu'elle soit heureuse ou mécontente, ce n'est pas mon problème.De toutes les manières, j'ai trop duré avec elle ! Deux ans, c'est trop, je me demande comment elle a pû m'embobiner pendant deux ans, il m
Angèle Il m'installe, puis prend une éponge, commence à me frotter délicatement, tout le corps, j'ai les yeux fermés profitant de cet instant de douceur, je ne sais pas quand je pourrais encore en avoir.Après le bain, nous avons passé la journée au spa, à se faire chouchouter, masser, bains de vapeur. Pour moi, ils ont fait un relooking complet : Changement de la couleur des cheveux qui est devenueUn plus clair, parsemé de trait blondLe résultat est magnifique, mes ongles ont été bien taillés, avec un vernis qui a la même couleur que ma peau, ça me donne une touche d'élégance et de raffinement, et le maquillage est tellement pur, qu'on a l'impression que je ne suis pas maquillée .Quand les esthéticiennes ont fini, elles ont apporté une robe sublime, que je devais porter, sous commande de mon mari, j'enfile la robe, et me regarde, c'est vrai que je suis éblouissante, je le reconnais.Je le retrouve à l'entrée, il est dans un nouveau costume qui révèle plus son côté sombre . Pas un
Angèle Je serai heureuse, heureuse qu'il ait mal comme j'ai mal actuellement. Oui j'ai malAu cœur.- Prends-le dans ta main et caresse-le doucement.Je fais ce qu'il me demande- Maintenant, fais sortir ta langue et lèche-le, mets-le dans ta bouche, maintenant, tu dois avoir beaucoup de crachats sur la langue, suce-le , doucement, tu ne sais pas qu'il est fragile ? Oui, comme ça, humm, oui... ouiOooh, Bordel de merde.Il vient d'éjaculer sur mon visage.Il n'est pas fatigué ? Avec tout ce temps qu'il a passé à baiser.- Tu sais que tu es merveilleuse ? Je reviens.Il rentre dans la douche, se nettoie.Quand il sort, il m'apporte une serviette mouillée, je me nettoie, il monte sur le lit et ouvre le drap, vient de près de moi te coucher, tu as eu une dure journée.Sans un mot, je me couche près de lui, il met sa main autour de moi, me serre contre lui et me dit :- Dors bien ma princesse.Je ne réponds pas, je n'en ai pas envie.Je pense plutôt à l'avenir, car de ce que je vois, il
Angèle Il se déshabille, et vient se positionner à mon entrée bien humide. Mon cœur bat à bâton rompu, j'appréhende ce qui va suivre, j'ai lu sur internet et aussi de la bouche de ma meilleure amie que les premières fois font très mal.- Attends s'il te plaît ! Je... j'ai peur, s'il te plaît, attends un peu. Il s'arrête un instant, il m'embrasse passionnément. Puis se redresse, je ne comprends plus rien, je le regarde se lever, il prend son portable, et passe un appel, puisque je ne sais de quoi, il se passe, je suis couchée, je prends un drap pour me couvrir.Quinze minutes plus tard, on frappe à la porte, il va ouvrir et grande est ma surprise quand je vois entrer dans notre chambre deux belles femmes avec de belles poitrines, très bien maquillées et portant des petites tenues, elles ressemblent à des prostituées.- Entrée mes jolies.- Vous faites une partie à quatre ? - Non , vous allez vous occuper Juste de moi, ma femme est vierge, vous allez lui apprendre comment bien s'occu
Angèle - Tu t'es assoupis, je suis venu te réveiller, tu aurais pu te noyer ainsi, fais attention, prochainement.Il me tend la serviette que je prends, m'enroule dedans et sors.Les plateaux de repas sont là, sur le lit trouve une nuisette.- Porte ça et viens manger.Je saisis la nuisette que j'enfile rapidement, ensuite je m'assois à la table à côté du lit pour manger, il en fait de même.- Comment vas-tu ?- À ton avis ? Comment est-ce que je peux aller ? Je me suis fait avoir comme une débutante, je t'ai laissé m'enlever sans m'en rendre compte, je te faisais confiance, et tu en as profité, tu es le diable en personne, ça ne te fait rien de voir que je ne veux pas de toi ? Que je ne veux être avec toi ? Que je ne veux pas coucher avec toi ? Pourquoi tu fais ça ?Il y a tellement de femmes dans ce monde qui sont prêtes à tout pour toi.Qu'est-ce que tu as à me forcer à faire ce que je ne veux pas.- Tu a parfaitement raison, Il y a des certaines de femmes qui tueraient père et mè