Angèle – Angèle, tu vas être en retard, me crie ma mère depuis ma porte.Je me réveille, fais ma toilette et descends prendre un petit déjeuner.Après, j'entends des klaxons de voiture.Il est temps de partir. Mon père prend mes sacs de voyage et sort avec moi.Ma mère ferme la porte derrière.Nous montons tous les trois dans la limousine où nous trouvons M. Belinski.Sasha met mes sacs dans le coffre.Il nous salue aimablement.La limousine nous emmène dans la maison de M. Belinski, dans son garage où il montre ses douze voitures de collection à mon père. Ensuite, nous partons pour l'aéroport où un jet privé nous attend. Mes parents sont éblouis.M. Belinski leur fait visiter l'intérieur, ils en profitent pour prendre des selfies avec lui et moi. J'en ai pris aussi pour l'envoyer à Simone.Après le départ de mes parents, je remercie M. Belinski pour son amabilité.– Tout le plaisir est pour moi, mon Ange.– Excusez ma question, mais pourquoi vous m'appelez toujours ainsi « mon ange
Angèle Cela fait un jour et demi que je suis enfermée, dans ce cachot, je n'ai , ni à boire, ni à manger, pendant tout ce temps, je me sens faible, démunie, j'ai cette douleur à la poitrine, comment suis-je arrivée là ? Enfermée dans le sous-sol d'un mafieux.Angèle se pose cette question : notre destin est-il écrit d'avance ou tout est dû au hasard ?C'est quoi le destin ? Telle est ma question : peut-on changer notre destin ? Peut-on se soustraire à son destin ? Telle est la question que je me pose.- Qu'est-ce que j'aurais pu faire pour ne pas croiser sa route, si je ne travaillais pas dans ce restaurant, aurait-il pu m' apercevoir ? Où allait-il me voir ailleurs ? Est-ce mon destin de me retrouver ici ?Est-ce que je peux me soustraire à mon destin ?Pourrais-je encore voir un jour le soleil ? Aurais-je pu lui échapper ?Je vois la porte s'ouvrir sur lui, "LUCIFER"Il me regarde d'un air dédaigneux, - Alors tu as pris ta décision, accepte tu de m'épouser ?- Non- Tu crois vraime
Angèle - Vous pouvez embrasser la mariée.Il se penche sur mes lèvres et l'embrasse avec fougue. Toute la salle applaudit.Il y a des ovations, partout.- Tu es mienne jusqu'à ce que la mort nous sépare et même au-delà. Tu m'appartiens, tu es à moi, et pour toujours. Viens, nous partons en voyage de noces.- Non, je ne crois pas que ce soit nécessaire.- Je ne me rappelle pas t'avoir demandé ton avis. Il me tend la main, - Viens , nous allons dans les CaraïbesTu vas voir, ça va te plaire.Comment quelque chose pourrait me plaire alors que tout ce dont j'ai envie, c'est d'être chez moi, avoir les câlins de mes parents. Mais, non, je suis ici, forcé de me marier avec un homme que je ne connaissais pas. Je me suis fait avoir comme un rat, je suis tombée dans son piège.- Tu penses à quoi ?Je ne réponds pas, à quoi bon, il fait ce qu'il veut, quand, où et comme il veut.Je n'ai pas mon mot à dire, alors pourquoi gaspiller ma salive pour parler, ça ne sert à rien. Il voit que je ne ré
Angèle - Tu t'es assoupis, je suis venu te réveiller, tu aurais pu te noyer ainsi, fais attention, prochainement.Il me tend la serviette que je prends, m'enroule dedans et sors.Les plateaux de repas sont là, sur le lit trouve une nuisette.- Porte ça et viens manger.Je saisis la nuisette que j'enfile rapidement, ensuite je m'assois à la table à côté du lit pour manger, il en fait de même.- Comment vas-tu ?- À ton avis ? Comment est-ce que je peux aller ? Je me suis fait avoir comme une débutante, je t'ai laissé m'enlever sans m'en rendre compte, je te faisais confiance, et tu en as profité, tu es le diable en personne, ça ne te fait rien de voir que je ne veux pas de toi ? Que je ne veux être avec toi ? Que je ne veux pas coucher avec toi ? Pourquoi tu fais ça ?Il y a tellement de femmes dans ce monde qui sont prêtes à tout pour toi.Qu'est-ce que tu as à me forcer à faire ce que je ne veux pas.- Tu a parfaitement raison, Il y a des certaines de femmes qui tueraient père et mè
Angèle Il se déshabille, et vient se positionner à mon entrée bien humide. Mon cœur bat à bâton rompu, j'appréhende ce qui va suivre, j'ai lu sur internet et aussi de la bouche de ma meilleure amie que les premières fois font très mal.- Attends s'il te plaît ! Je... j'ai peur, s'il te plaît, attends un peu. Il s'arrête un instant, il m'embrasse passionnément. Puis se redresse, je ne comprends plus rien, je le regarde se lever, il prend son portable, et passe un appel, puisque je ne sais de quoi, il se passe, je suis couchée, je prends un drap pour me couvrir.Quinze minutes plus tard, on frappe à la porte, il va ouvrir et grande est ma surprise quand je vois entrer dans notre chambre deux belles femmes avec de belles poitrines, très bien maquillées et portant des petites tenues, elles ressemblent à des prostituées.- Entrée mes jolies.- Vous faites une partie à quatre ? - Non , vous allez vous occuper Juste de moi, ma femme est vierge, vous allez lui apprendre comment bien s'occu
Angèle Je serai heureuse, heureuse qu'il ait mal comme j'ai mal actuellement. Oui j'ai malAu cœur.- Prends-le dans ta main et caresse-le doucement.Je fais ce qu'il me demande- Maintenant, fais sortir ta langue et lèche-le, mets-le dans ta bouche, maintenant, tu dois avoir beaucoup de crachats sur la langue, suce-le , doucement, tu ne sais pas qu'il est fragile ? Oui, comme ça, humm, oui... ouiOooh, Bordel de merde.Il vient d'éjaculer sur mon visage.Il n'est pas fatigué ? Avec tout ce temps qu'il a passé à baiser.- Tu sais que tu es merveilleuse ? Je reviens.Il rentre dans la douche, se nettoie.Quand il sort, il m'apporte une serviette mouillée, je me nettoie, il monte sur le lit et ouvre le drap, vient de près de moi te coucher, tu as eu une dure journée.Sans un mot, je me couche près de lui, il met sa main autour de moi, me serre contre lui et me dit :- Dors bien ma princesse.Je ne réponds pas, je n'en ai pas envie.Je pense plutôt à l'avenir, car de ce que je vois, il
Angèle Il m'installe, puis prend une éponge, commence à me frotter délicatement, tout le corps, j'ai les yeux fermés profitant de cet instant de douceur, je ne sais pas quand je pourrais encore en avoir.Après le bain, nous avons passé la journée au spa, à se faire chouchouter, masser, bains de vapeur. Pour moi, ils ont fait un relooking complet : Changement de la couleur des cheveux qui est devenueUn plus clair, parsemé de trait blondLe résultat est magnifique, mes ongles ont été bien taillés, avec un vernis qui a la même couleur que ma peau, ça me donne une touche d'élégance et de raffinement, et le maquillage est tellement pur, qu'on a l'impression que je ne suis pas maquillée .Quand les esthéticiennes ont fini, elles ont apporté une robe sublime, que je devais porter, sous commande de mon mari, j'enfile la robe, et me regarde, c'est vrai que je suis éblouissante, je le reconnais.Je le retrouve à l'entrée, il est dans un nouveau costume qui révèle plus son côté sombre . Pas un
LuciferAlors, comment était la lune de miel ? Me demande mon bras droit.- C'était très bien, je me suis tapé deux putes en plus de ma femme, donc je peux dire que ça s'est bien passé.- Et elle ne s'est pas fâchée, elle n'a pas boudé ?- Je n'y ai pas prêté attention, de toutes les manières, cela ne me ferait ni chaud ni froid. Si elle ne veut pas que j'aille voir ailleurs, qu'elle soit à ma disposition vingt-quatre heures sur vingt-quatre.Mais, de toi à moi, tu crois que le mariage peut me changer ? Tu sais que j'aime les chattes, qu'elle s'estime heureuse que je me protège à chaque fois, même avec Lexis, je prends mes précautions, je ne veux pas qu'on m'apporte une grossesse dont je ne veux pas. - Selon toi, comment réagira Lexis ? - Mais qu'est-ce que tu veux que ça me fasse ? Qu'elle soit heureuse ou mécontente, ce n'est pas mon problème.De toutes les manières, j'ai trop duré avec elle ! Deux ans, c'est trop, je me demande comment elle a pû m'embobiner pendant deux ans, il m
Angèle Je l'entends ouvrir la porte , et converser avec une personne . Je prends ma douche rapidement et je m'habille avec l'ensemble qu'il a déposé à mon intention . Il me va comme un gantJe refais mon maquillage et sors les retrouver . Je le trouve en compagnie d'une très belle femme . Elle est bien plus grand que moi et est très bien habillée mais surtout très sexy . Alors je me rends compte qu'il aime bien regarder ces femmes aussi sexy mais quand il s'agit de moi , c'est une autre histoire . - Bonjour mademoiselle Elle se tourne vers moi , je pense qu'elle ne m'avait pas vue arriver . Elle me jauge de haut en bas . Son regard est remplie de ressentiment . Comme si je lui avais fait quelque chose . Je la regarde à mon tour de haut en bas avec dédain . Puis je viens m'asseoir sur les pieds de mon mari , pour bien lui faire comprendre ma place . Je me loge dans le creux de ses bras . - Je te présente mon assistante qui est ici . Véra , je te présente ma femme ! Ses yeux s'él
AngèleIl finit par se calmer. Ses yeux me scannent de haut en bas avec une lenteur calculée, presque animale. Puis, sa voix claque, sèche et impérieuse :— Va te changer.Je croise les bras sur ma poitrine, le menton légèrement relevé.— Je n’en ai pas l’intention.— Ne m’oblige pas à me répéter. Tu ne me suivras pas habillée comme ça.— Bien sûr que si. Et tu ne pourras rien y faire !Ariane me l’a bien dit : avec des hommes comme lui, si tu ne t’imposes pas, tu deviens une jolie poupée qu’il manipule comme bon lui semble. Alors aujourd’hui, je décide de ne plus me taire.— Regarde cette robe, dit-il en serrant les mâchoires. Elle montre trop tes courbes. Je ne veux pas que les hommes posent leurs yeux sur ce qui m’appartient.— Je ne t’appartiens pas, Alex. Et c’est drôle, tu ne veux pas qu’on regarde "ce qui t’appartient", mais quand c’est moi, on peut me déshabiller du regard, me baiser sans vergogne et en plus sur MON toit ? C’est ça, hein ?— Non ! siffle-t-il, pris de court pa
AngèleJe dois trouver une solution. Une solution pour fuir cette étreinte étouffante, cette envie malsaine qu’il projette sur moi comme une condamnation.— Arrête…— Je ne peux pas. J’ai besoin de ma femme…Il me soulève brusquement du sol, comme si je ne pesais rien, et me jette sur le lit. Je rebondis aussitôt, animée par un mélange de rage et de panique, et je saute hors du lit avant qu’il n’ait le temps de m’immobiliser.Il tente de m’attraper, mais je suis déjà de l’autre côté du lit. Nos regards se croisent. Un duel silencieux commence. Il se penche pour m’attraper, tend une main rapide, mais je le repousse en lui jetant la lampe de chevet. Il l’esquive de justesse, et elle s’écrase au sol dans un bruit sec.— Angèle, ne me pousse pas à bout. Viens ici !— Non ! Ne t’approche pas de moi. Ne me touche pas !— Tu es ma femme, et je veux faire l’amour à ma femme.— Je ne peux pas ! Et toi non plus tu ne peux pas !Il tente de contourner le lit. Lorsqu’il passe à gauche, je passe à
Angèle— Il n'est pas aussi insensible que toi… Mais où est-il ?— Il a préféré rentrer chez lui pour coordonner les recherches depuis sa base.— Mais… il est blessé !— Oui, il l’est. Mais malgré sa blessure, il a choisi de rentrer. Là-bas, il a ses repères, ses hommes, ses ressources. Il peut mieux organiser les choses. Tous sont rentrés avec leurs blessures. Ils vont se soigner sur place, en terrain familier.Je secoue la tête, abasourdie.— Bon Dieu… quelle horreur ! Ils sont blessés, et Ariane est là, quelque part… séquestrée par je ne sais quel fou !Je me lève brutalement, fais quelques pas, puis me rassois. Mes mains tremblent. Je ne sais même plus si je dois rester assise, me lever, hurler ou pleurer. Mon cœur bat trop vite, mes pensées s’emballent.Je suis traumatisée par ce que je viens d’apprendre. Ariane… où est-elle ? Qu’est-ce qu’elle endure à cette minute ? Quel genre de supplice ? Et qui est ce malade qui l’a enlevée ?— Et toi… toi, que fais-tu pour la retrouver ?—
Angèle— Vous êtes ma patronne, et vous n’avez pas le droit de porter quoi que ce soit dans cette demeure.Elle me sourit après cette petite tirade, les bras croisés, amusée. Je lui rends son sourire en secouant la tête, avant de répondre avec douceur :— Je le sais bien. Mais je veux aider, je n’ai pas l’intention de rester les bras croisés à regarder les autres travailler pendant que je me prélasse. Ce n’est pas dans ma nature.— Tout est déjà prêt, madame. Vous pouvez aller accueillir vos invités pour le petit déjeuner. C’est le moment parfait.Je pousse un léger soupir théâtral, tout en souriant.— Très bien, je m’avoue vaincue. Mais ce n’est que partie remise, je le jure. J’irai accueillir mes invités comme une hôtesse modèle.Je me rends dans la salle à manger. Dès que j’entre, je tombe sur le "couple de l’année" comme je les appelle affectueusement. Ils viennent tout juste d’arriver et, dès que leurs regards se croisent, je suis frappée par l’évidence de leur complicité. Une co
Angèle - Comment veux-tu que les autres me respectent, si mon propre mari m'a humiliée au vu et au su de tous ? - Tu as parfaitement raison, je ferai plus d'efforts . C'est promis ! - Je vais t'observer pendant quelque temps, je verrai si tu es vraiment sincère ou pas. Je ne te crois plus. Ta parole ne vaut rien ! Rien ! Tu m'entends ? Tu vas devoir me montrer que ta parole en vaut la peine. Mais d'ici là, ne t'approche plus de moi , ne me touche plus. J'en ai assez de ton comportement de macho ! Je suis une personne, pas un objet. ET tu me dois du respect ! J'exige du respect ! Je suis fatiguée de toujours perdre face à toi, j'en ai assez de ton côté autoritaire ! Tu as voulu une femme ! Et tu m'as oubliée à être ta femme. Tu m'as obligé à te donner ce que j'avais de plus précieux c'est à dire ma virginité, que tu m'as pris sans état d'âme , mais tout cela ne t'a pas suffit : Ton sexe se promène de trous en trous , pour chercher quoi ? Je ne saurai te le dire !
LuciferJe pense à tout ce que Ariane vient de dire et je réalise combien de fois j'ai été injuste envers elle.Je ne peux imaginer qu'elle puisse me tromper une seule fois, je ne peux l'accepter. Je tuerai quiconque oserait laToucher. Elle est ma femme, elle m'appartient . Personne n'a le droit de voir ce beau corps à part moi. Je suis le Dieu de l'enfer et j'amènerai dans les profondeurs de l'enfer toute personne qui la regardera de trop près. - Petite peste, j'ai compris ce que tu viens de me dire , et j'ai compris la leçon : Ne pas faire aux autres , ce que tu ne veux pas que l'on te fasse . Et toi Auracio, espèce de tête brûlée , pourquoi ne dis tu rien ? - Parce que ma fiancée a tout dit, que veux-tu que je dise de plus ? Ha , oui , je sais ce que je dois ajouter dessus : Tu es un idiot cher cousin , sinon qui oserait faire ce que tu as fait ? Tu es bête ou quoi ? - Si c'est pour m'injurier alors , je préfère que tu ne dis rien . - Et que voulais-tu que je te dis ? Que je t
Lucifer - Ça suffit , tu ne vas pas te moquer de moi sous mon propre toit , Auracio, tu dois apprendre les bonnes manières à ta sauvage ...- Espèce d'infidèle c'est toi le sauvage .Pour qui te prend-tu? pour m'injurier ? Tu veux du respect ? mon respect ? Mérite-la , c'est tout ce que j'ai à te dire .Qu'elle personne pathétique tu es ! Tu veux du respect ? As-tu respecté ta femme quand tu baisais une autre femme pendant qu'elle était à deux pas de toi ? As-tu respecté ta femme pendant votre lune de miel quand tu as baisé deux prostituées devant elle ? Tu penses qu'elle est faîte de quoi ? De bois peut-être ? Qu'elle n'a pas de cœur ? Qu'elle n'a pas de sentiment ? Quel homme marié pourrait faire cela à l'élu de son cœur ? Ou n'as-tu pas de cœur ?Mets toi un peu à sa place , pense un peu à ce que tu ressentirais si un autre homme posait ses mains sur ta femme ?Elle le dit en s'approchant lentement de moi j'ai l'impression qu'elle veut que je visualise ma femme en train de se fai
AngèleJe le vois s'approcher , comme un enfant prise en faute , il est tellement pathétique ! J'attends qu'il parle , mais pour le moment , il ne dit rien , il a cet air coupable sur le visage .Il prend la pommade, et commence à l'étaler sur les mollets . Je le laisse faireje verrai jusqu'où il ira . Il remonte jusqu'à mes cuisses , il est maintenant en genoux devant moi , il lève la tête et nos regards se croisent , et peut voir dans ses yeux beaucoup de désolation alors les miens lui montrent de la tristesse. Il ne dit toujours rien , et sa main , monte jusqu'à mon sexe , je l'arrête et lui dit : - Je crois qu'il est temps que je m'habilleJ'ai fini de me pommader .- Attend, je n'ai pas encore fait le milieu du dos ! - Non ça va ! Je me lève , pour m'habiller , nous devons aller dîner , je me rends dans mon dressing pour chercher une robe que nous avons choisi aujourd'hui : Elle est de couleur bleue , très simple , vraiment faite pour la maison , elle m'arrive à mi-cuisse ,