Angèle
- Angele ,tu es trop lente, dépêche toi,les tables ne vont pas se débarrasser toutes seules.
Me crie mon patron depuis son bureau
Si les clients se plaignent , tu n'auras pas ton pourboire de ce soir.
Je me dépêche d'aller enlever les couverts et nettoyer la table. Ensuite j'installe les nouveaux arrivants.
Cette zone est la mienne, elle est composée de six tables, ce qui signifie que même si le reste de la salle est aucun serveur ne peut me prêter main forte.
ET je me retrouve aujourd'hui dans cette situation, c'est comme si ma zone les attirait. toutes les tables sont occupées, et dès qu'une table se libère, des clients viennent s'asseoir même si je n'ai pas totalement fini mise en place.
Je suis épuisée, affamée,je n'ai rien mangé depuis le matin .
Je me présente : Je m'appelle Angèle Garcia Martin, j'ai vingt ans, j'étudie l'architecture, à Paris, et travail à mi-temps dans un restaurant , pas très loin de chez moi.
J'habite encore chez mes parents, qui ne veulent pas que je quitte la maison.
Je me dirige vers la table composée de six hommes,
- Bonsoir messieurs, qu'est-ce qu'on vous sert ?
Je suis arrêtée ainsi pense cinq minutes sans que personne ne parle parmis eux, je les regarde un à un pour savoir qui va en premier sa commande, mais je me rends compte qu'ils regardent tous un seul homme qui, lui me regarde moi .
Je leur repose la question
- Qu'est-ce je peux vous servir messieurs ?
Silence !!!!!!!
Qu'est ce qu'ils ont ? ils n'entendent pas ou c'est moi l'autre ga la ( enfaite le beau
mais qui fait peur aussi continue de me mater sans se gêner)
- Merde, c'est à vous que je parle, soyez polis et répondez moi.
Il finit par faire un sourire bizarre, vraiment effrayant et dit :
- Envoyez quatre bouteilles de meilleurs scotch.
Je repars chercher leur bouteilles
que je dépose avec des verres à liqueur.
je reviens cinq minutes plus pour la commande du repas.
Le même monsieur me dit :
- Donnez-nous, les meilleurs plats d'ici selon vous, si nous sommes satisfaits, vous aurez un bon pourboire, dans cas contraire ....
- Vous serez satisfaits
- Je l'espère bien.
Je vais voir dans cuisine pour savoir ce qui nous reste car il est vraiment Tard.
Dieu merci, les plats que je leur présenter sont encore disponibles. Je m'empresse de commander pour six personnes.
Trois minutes plus tard, je dépose les plats sur table. Et j'attends qu'il goûtent.
- Ce n'est pas mauvais
- Dis plutôt que c'est très bon, répond un autre gars.
Je les laisse manger, après leur repas, je vais débarrasser, ils se lèvent pour partir
Je n'ai même pas donné la note, je cours
pour voir s'il y a de l'argent sur la table.
Dieu merci, il y a de l'argent, je compte cinquante milles euros. Merde le repas faisait quinze mille euros.
J'ai eu un bon pourboire.
Après mon service, je rentre à pied à la maison, j'ai l'impression que je suis suivie pourtant, je ne vois personne, arrivée à cinq minutes de chez moi, je m'arrête un instant, regarde derrière moi, personne, bon, je connais mon chemin, je suis épuisée, ça doit être la fatigue.:
Angele : stage
Après mon service, je rentre à pied à la maison, j'ai l'impression que je suis suivie pourtant, je ne vois personne, arrivée à cinq minutes de chez moi, je m'arrête un instant, regarde derrière moi, personne, bon, je continue mon chemin, je suis épuisée, ça doit être la fatigue.
J'arrive à la maison, mes parents sont couchés, je monte silencieusement, dans
ma chambre, je me lave rapidement,
puis mange, (je me suis fait une emportée)
Le ventre plein, je compte mes pourboires : wahou, j'ai eu 36000 aujourd'hui : 35000 € que les ga bizarres m'ont donné et 1000 € de trois autres clients. C'est une bonne journée aujourd'hui.
Le lendemain matin je me réveille tôt, j'ai un cours à huit heures. je me lave, m'habille et descend prendre mon petit déj.
- Salut tout le monde.
Ma mère se retourne, elle fait des crêpes, me sourit, j'espère que tu as bien dormi ?
Je ne t'ai pas entendu rentrer hier soir.
- je n'ai pas vite fini , je suis rentrée doucement ne voulais pas vous réveillez.
Ma mère est une belle femme de cinquante ans et mon père un Bel homme de cinquante deux ans. Ils sont fusionnels, je n'ai jamais rencontré un couple aussi unis. Je ne les ai jamais vues se quereller, même si c'est arrivé je ne l'ai jamais sue.
Mon père place les tasses et verre de jus
Lui , il est mécanicien il a son gâteau à deux pas, elle est institutrice dans une école publique dans le quartier.
Je mange rapidement, et me lève en entendant klaxonner je cours pour aller rejoindre ma meilleure amie. Elle s'appelle Simone, on a le même âge, elle est blonde 1m50 alors que moi je suis une grande brune de 1m70 avec de très long cheveux bouclés, une belle poitrine, et un bon fessier (une forme guitare)
- choupinette, comment tu vas ?
- choupinette, je vais bien.
Je monte dans sa voiture " Dester".
- Alors et ta soirée ?
- Ça s'est très bien passé, ma mère avait donné une réception , il y avait à boire et à manger. Mon père m'a demandé de penser à déposer mes dossiers des entreprises, qu'il serait plus judicieux de commencer à faire un stage-travail .
- Il n'a pas tout à fait tort , je vais suivre aussi son conseil .On finit vite aujourd'hui donc, on pourra avoir le temps de faire nos CV et les envoyer sur les sites d'offres d'emploi .
- c'est une bonne idée on fera comme tu l'as dit.
La journée s'est bien passée, après les cours, nous avons fait nos CV que envoyer sur différents sites d'embauche.
Après cela elle m'a déposé devant le resto où je travaille, je suis allée m'habiller dans la salle réservée aux employés.
Je commence mon travail à 18 h tous les jours et finis à 22 h .Le te
mps d'aller bosser jusqu'à 23 H30 pour ensuite me coucher .
AngeleMon service débute lentement, les clients, arrivent à contre-gout , il est 21h45mn quand je les vois toujours à même table, je vais les voir pour prendre la commande.- Bonsoir messieurs,Je dépose les cartes sur la table, arrivée près de l'homme qui ne me quitte jamais des yeux, je dépose sa carte devant lui, puisque je me suis un peu courbée pour déposer sa carte, quand j'ai senti sa main entre mes jambes pour remonter jusqu'à ma, j'ai poussé un cri, horrifiée, outragée, - Mais, ça ne va pas ? Vous êtes malade ?Je vais m'asseoir toute énervée, cinq minutes plus tard mon patron me demande d'aller prendre la commande - monsieur Mathieu, vous pouvez envoyer Mariana ou quelqu'un d'autre ?S'il vous plaît, il vient de me manquer de respect en mettant sa main entre mes cuisses !- No, il n'a pas fait ça ?- laisse je vais moi même m'occuper d'eux.Il part à leur table, et je l'entends se plaindre de leur comportement.Je n'entend pas ce le monsieur, mais il revient vers- Déso
Angèle Je monte chez moi. Je vois un véhicule garer dans le coin, je n'y prête pas attention.Je suis très contente ce soir, je vais passer une bonne nuit.Je suis confiante, demain sera meilleure.SI JE SAVAIS !!!.Le lendemain matin je me réveille toute joyeuse,me lave cours à la cuisine prends un croissant bois un verre de lait- bonjour papa, maman, bonne soirée à vous.- hee pas s'y vite, où vas tu pressée ainsi ? Tu devrais être en train de faire la grâce matinée.- Je sais, mais j'ai un entretien pour un stage. Je serai à l'école à 10 h.- Bonne chance ma fille, me disent mes parents.- Merci, je vous aime .- Bisous on t'aime aussi.Je n'ai pas appelé Simone depuis hier.Il faut que je lui apprenne la bonne nouvelle, Heu non c'est mieux que j'y aille d'abord , si sa marche, je l'appelle.Je prends un Uber pour aller dans l'entreprise demandée. J'arrive 15 minutes plus tard, je descends paye le taxi, je regarde la façade de l'entreprise, l'immeuble est construit dans un style,
Angèle - Qu'est ce qui prouve que c'est vous ?Il prend son portefeuille dans son pantalon de luxe, prends sa d'identité et me le lance, Je l'attrape au vol et regarder la dessus. je vois son nom et sa photo. effectivement, il semblerait que ce soit lui. Car il est possible de falsifier les documents.Il ne prend jamais de stagiaire. Cela me surprend.- Mais qu'est ce qui prouve que vous ne l'avez pas falsifié ? Et vous n'avez jamais pris de stagiaire, dans vos entreprises.- J'ai mes raisons de ne pas prendre de stagiaire, pour ce qui de la falsification de documents, c'est à toi de voir, si tu me crois ou pas .Sache que je suis très exigeant, je ne joue pas avec le travail. tu ne peux pas suivre deux lièvres à la fois.Il ne prend jamais de stagiaire. Cela me surprend.- Mais qu'est ce qui prouve que vous ne l'avez pas falsifié ? Et vous n'avez jamais pris de stagiaire, dans vos entreprises.- J'ai mes raisons de ne pas prendre de stagiaire, pour ce qui de la falsification de docu
Angèle.Je pars vers ma salle de cours, et le voitqui me suis, je me retourne, le regarde,- vous me suivez ?- Non, je vous accompagne dans votre salle.- j' ai toujours marché seule ou avec mon amie rien ne va m'arriver ici, dans l'enceinte de l'établissement.- Désolé, mademoiselle, mais c'est les ordres que j'ai reçu, vous ne voulez pas que mon patron me renvoie, n'est ce pas ?- Non- Merci mademoiselle.Il m'accompagne jusque dans ma salle et s'arrête devant. C'est quoi cette merdeje vais m'assoir à ma place où se trouve ma meilleure amie. Je lui fais une bise.- Tu ne devineras jamais ce qui m'est arrivé ?- si tu as rencontré ce gros ta de muscles, il est tombé sur ton charme, et comme tu n'as accepté sa demande, il te poursuit partout.Tu sais que Alfred n' est pas venu au cours aujourd'hui il a été mise à taba, on dit qu'il est méconnaissable. Il a publié sa photo sur les réseaux, et son père a porté plainte contre X.- Tu ne manque pas d'imagination, toi , non c'est pas
Angèle Elle crie mon nom- Qu'est-ce qu'il y a ? tu m'as fait une de ces frayeurs,- c'est quoi ces merveilles dans ton sac ?Elle me montre le Ipade et le nouveau smartphone intra performant, - Mon patron me l'a donné pour le travail.- Mais dis donc, ton travail doit être très super pour que avant même de commencer,tu as déjà tout ça. Tu seras payer à combien ?- 10 000 € , avec des avantages sociaux et une assurance tout-risque.- C'est de la bombe, ça, tu es sûre que tu ne lui a pas taper dans l'oeil ?J'éclate de rire- Tu es malade toi, tu l'as bien regarder ? Et tu m'as bien regarder ? Tu détailles ma parole.Un hommesi beau, si riche, si élégantEt moi, si banale,si quelconque, si pauvres Tu dois avoir un problème de vue- C'est toi qui est aveugle, tu te regarde parfois dans le miroir ? Je suis sur que non. Tu es magnifiquement belle, courageuse, intelligente, douée, avec ces nichons et ce postérieur, sans oublier ce visage d'ange. Si j'étais un homme ou si j'étais l
Angèle— Tu ne le penses pas réellement, hein ? je dis en posant mon verre avec un soupir.Simone lève les yeux au ciel, son sourire moqueur aux lèvres.— Tu crois ? Tu ne peux pas me comprendre, c’est parce que t’es encore vierge. Franchement, je me demande comment tu peux encore l’être avec tous les beaux mecs qui te tournent autour. Qu’est-ce que t’attends ? Que des plantes poussent là-bas ?Je rougis violemment, prise entre gêne et exaspération.— Je… Je sais pas moi-même ce que j’attends. Tout ce que je sais, c’est que ce ne sont pas les bons.— Et comment tu sauras si c’est le bon ou pas ? Il y a une ampoule magique qui va s’allumer entre tes jambes peut-être ?— Tu peux vraiment être bête parfois…— Non mais sérieusement ! s’exclame-t-elle en riant. Tu vas finir vieille fille si tu continues à les fuir tous comme la peste.— Quand je verrai le bon, je le saurai. Mon cœur me le dira. Je sais que je le saurai.Je la regarde droit dans les yeux, et mon ton est si ferme que même Si
AngèleOn sonne à la porte. Il est presque vingt heures. Je descends lentement, pensant que j’ai peut-être oublié quelque chose dans le hall. Mais en ouvrant, je me fige : Sasha se tient là, toujours aussi impassible, tenant deux sacs. Je pensais qu’il était reparti avec la Mercedes.— Bonsoir mademoiselle, dit-il avec politesse. Monsieur m’a chargé de vous livrer des sushis. Il sait que vous aimez ça. Il a également envoyé vos tenues de travail. Vous devrez en porter une différente chaque jour, selon les instructions.Je cligne des yeux, surprise.— Des tenues ? Il m’offre... des vêtements de travail ?— Il précise que si vous refusez de les porter, il ne sera pas nécessaire de vous présenter demain au bureau.Je serre les lèvres. Ce genre de contrôle déguisé sous forme de générosité me perturbe. Et pourtant… quelque chose en moi frémit. Il m’a envoyé des sushis. Comment sait-il que c’est mon plat préféré ?— Dites-lui merci. Bonne soirée, Sasha.Je ferme la porte doucement, le cœur
AlexandreJ’avais déjà prévenu Joséphine de notre arrivée. Comme toujours, elle n’a pas fait les choses à moitié. Un véritable festin nous attendait. Ce n’est pas tous les jours que j’amène une femme ici — en vérité, c’est la toute première fois. C’est dire à quel point elle est différente.On s’installe à table. Je remarque immédiatement que mon ange est affamée, mais elle essaie de le cacher, comme si elle voulait rester digne. Elle me plaît, même dans ses silences.— Que penses-tu des contrats que tu as étudiés ? je demande en tranchant la viande.— J’ai remarqué que vous avez des partenariats partout, pas seulement en France… En Amérique, en Russie, en Chine. C’est impressionnant.— Tu sais, ça fait des années que je travaille dans ce domaine. Pour obtenir ce genre de contrats, il faut de la patience, de la stratégie, des relations… et surtout, un travail impeccable. Une seule erreur peut te coûter une décennie de crédibilité.Elle hoche la tête, absorbant chaque mot.— Vous avez
AngèleMes yeux glissent lentement le long de ses omoplates puissantes, descendant sur sa poitrine sculptée, jusqu’à son ventre où chaque muscle semble avoir été dessiné avec précision. Ses abdominaux forment des lignes nettes, presque irréelles. Mes yeux continuent leur descente involontaire vers ses cuisses musclées, encadrant ce membre impressionnant, même au repos. Une masse de désir silencieux, indécent par sa simple présence.— Tu aimes ce que tu vois ?Sa voix grave me ramène brutalement à la réalité.— Hein… quoi ?Je détourne les yeux, rouge de honte.— Je te demande si je suis assez beau à tes yeux. Tu t’es bien rincé l’œil, ou dois-je encore tourner sur moi-même ?Son ton est moqueur, mais étrangement doux.— Je... je ne te regardais pas.— C’est vrai. Tu ne me regardes pas moi, c’est mon corps que tu admires.— Bien sûr que non.— Pourquoi ? Je ne suis pas beau ?— Si, enfin… Bon, j’ai sommeil. J’ai des courses à faire demain.Il rit doucement, cette façon qu’il a de m’att
Angèle— Merci beaucoup. Et mes parents ont bien reçu leur cadeau… Il ne fallait pas, vraiment. C’est très généreux de ta part. Ma mère était émue aux larmes.— De rien, ma chérie. Tout ce qui est à moi t’appartient.Il m’embrasse doucement sur le front avant de quitter la pièce. Me voilà seule. Je dois me rendre dans la cuisine pour superviser les préparatifs.— Martha, on a encore du boulot, dis-je en entrant dans la pièce. Il faut nettoyer un autre coin du manoir. Non, en fait, on va tout nettoyer de fond en comble.Je veux que chaque recoin du manoir respire la perfection. Alex a parlé avec une telle fierté tout à l’heure… Je refuse qu’il ait honte d’un détail mal entretenu. Il faut que tout soit étincelant, irréprochable.— Appelle les employés. Ils vont devoir travailler sans relâche pendant les sept prochains jours. Ce manoir doit briller comme jamais auparavant. Tout doit être comme neuf.— D’accord, ma chérie, répond Martha avec un sourire rassurant.Elle s’affaire rapidement
Angèle— Ok, je me suis mariée avec mon patron.— Quoi ?!— Oui, maman. Nous venons tout juste de rentrer de notre lune de miel.Il y a un silence au bout du fil. Je peux presque entendre les rouages tourner dans la tête de ma mère, et je m’apprête à la suite...— Mais pourquoi si vite ? Tu es enceinte ?— Non, maman. Nous sommes simplement… amoureux. Et il ne voulait pas que nous "péchions" avant le mariage. Il a insisté pour que nous attendions d’être mariés avant de… tu vois.— Oh ma fille ! C’est… c’est tellement romantique ! J’en ai les larmes aux yeux. Tu es une femme mariée, et en plus tu as décroché le gros lot : un homme riche, élégant, et qui t’a respectée.— Merci maman.— Félicitations, mon cœur. Bon Dieu, elle s’est mariée !Je souris en l’écoutant s’extasier. Mais évidemment, papa ne tarde pas à se manifester.— Je veux lui parler, dit-il en arrière-fond. Il ne peut pas épouser ma fille sans demander sa main à ses parents ! Ce n’est pas acceptable.Je n’ai même pas le te
AngèleJe prends la pommade, la réchauffe entre mes paumes avant de poser délicatement mes mains sur son dos nu. Je commence à le masser lentement, mes gestes circulaires épousant la tension de ses muscles. Il ferme les yeux, soupire, se détend sous mes doigts.— Nous aurons de la visite après-demain, murmure-t-il sans ouvrir les yeux.Mon cousin vient avec sa copine. Ils veulent rencontrer ma femme.Sa voix glisse dans l’air comme une promesse. Ma main continue son va-et-vient, jusqu’à ce que la sienne remonte sur mon épaule. Il me caresse, doucement. Je ferme les yeux à mon tour, m’abandonnant à son toucher.— Je peux avoir mon téléphone maintenant ? Pour appeler mes parents ? Je pense que tu as eu ce que tu voulais…Il se redresse légèrement, son regard brillant d’un feu que je connais trop bien.— Oui, j’ai eu ce que je voulais, répond-il en pinçant brusquement mon téton. Je sursaute, mon corps réagit malgré moi. Il le sait. Tu peux appeler tes parents… et ton amie.Sa main glisse
LuciferAlors, comment était la lune de miel ? Me demande mon bras droit.- C'était très bien, je me suis tapé deux putes en plus de ma femme, donc je peux dire que ça s'est bien passé.- Et elle ne s'est pas fâchée, elle n'a pas boudé ?- Je n'y ai pas prêté attention, de toutes les manières, cela ne me ferait ni chaud ni froid. Si elle ne veut pas que j'aille voir ailleurs, qu'elle soit à ma disposition vingt-quatre heures sur vingt-quatre.Mais, de toi à moi, tu crois que le mariage peut me changer ? Tu sais que j'aime les chattes, qu'elle s'estime heureuse que je me protège à chaque fois, même avec Lexis, je prends mes précautions, je ne veux pas qu'on m'apporte une grossesse dont je ne veux pas. - Selon toi, comment réagira Lexis ? - Mais qu'est-ce que tu veux que ça me fasse ? Qu'elle soit heureuse ou mécontente, ce n'est pas mon problème.De toutes les manières, j'ai trop duré avec elle ! Deux ans, c'est trop, je me demande comment elle a pû m'embobiner pendant deux ans, il m
Angèle Il m'installe, puis prend une éponge, commence à me frotter délicatement, tout le corps, j'ai les yeux fermés profitant de cet instant de douceur, je ne sais pas quand je pourrais encore en avoir.Après le bain, nous avons passé la journée au spa, à se faire chouchouter, masser, bains de vapeur. Pour moi, ils ont fait un relooking complet : Changement de la couleur des cheveux qui est devenueUn plus clair, parsemé de trait blondLe résultat est magnifique, mes ongles ont été bien taillés, avec un vernis qui a la même couleur que ma peau, ça me donne une touche d'élégance et de raffinement, et le maquillage est tellement pur, qu'on a l'impression que je ne suis pas maquillée .Quand les esthéticiennes ont fini, elles ont apporté une robe sublime, que je devais porter, sous commande de mon mari, j'enfile la robe, et me regarde, c'est vrai que je suis éblouissante, je le reconnais.Je le retrouve à l'entrée, il est dans un nouveau costume qui révèle plus son côté sombre . Pas un
Angèle Je serai heureuse, heureuse qu'il ait mal comme j'ai mal actuellement. Oui j'ai malAu cœur.- Prends-le dans ta main et caresse-le doucement.Je fais ce qu'il me demande- Maintenant, fais sortir ta langue et lèche-le, mets-le dans ta bouche, maintenant, tu dois avoir beaucoup de crachats sur la langue, suce-le , doucement, tu ne sais pas qu'il est fragile ? Oui, comme ça, humm, oui... ouiOooh, Bordel de merde.Il vient d'éjaculer sur mon visage.Il n'est pas fatigué ? Avec tout ce temps qu'il a passé à baiser.- Tu sais que tu es merveilleuse ? Je reviens.Il rentre dans la douche, se nettoie.Quand il sort, il m'apporte une serviette mouillée, je me nettoie, il monte sur le lit et ouvre le drap, vient de près de moi te coucher, tu as eu une dure journée.Sans un mot, je me couche près de lui, il met sa main autour de moi, me serre contre lui et me dit :- Dors bien ma princesse.Je ne réponds pas, je n'en ai pas envie.Je pense plutôt à l'avenir, car de ce que je vois, il
Angèle Il se déshabille, et vient se positionner à mon entrée bien humide. Mon cœur bat à bâton rompu, j'appréhende ce qui va suivre, j'ai lu sur internet et aussi de la bouche de ma meilleure amie que les premières fois font très mal.- Attends s'il te plaît ! Je... j'ai peur, s'il te plaît, attends un peu. Il s'arrête un instant, il m'embrasse passionnément. Puis se redresse, je ne comprends plus rien, je le regarde se lever, il prend son portable, et passe un appel, puisque je ne sais de quoi, il se passe, je suis couchée, je prends un drap pour me couvrir.Quinze minutes plus tard, on frappe à la porte, il va ouvrir et grande est ma surprise quand je vois entrer dans notre chambre deux belles femmes avec de belles poitrines, très bien maquillées et portant des petites tenues, elles ressemblent à des prostituées.- Entrée mes jolies.- Vous faites une partie à quatre ? - Non , vous allez vous occuper Juste de moi, ma femme est vierge, vous allez lui apprendre comment bien s'occu
Angèle - Tu t'es assoupis, je suis venu te réveiller, tu aurais pu te noyer ainsi, fais attention, prochainement.Il me tend la serviette que je prends, m'enroule dedans et sors.Les plateaux de repas sont là, sur le lit trouve une nuisette.- Porte ça et viens manger.Je saisis la nuisette que j'enfile rapidement, ensuite je m'assois à la table à côté du lit pour manger, il en fait de même.- Comment vas-tu ?- À ton avis ? Comment est-ce que je peux aller ? Je me suis fait avoir comme une débutante, je t'ai laissé m'enlever sans m'en rendre compte, je te faisais confiance, et tu en as profité, tu es le diable en personne, ça ne te fait rien de voir que je ne veux pas de toi ? Que je ne veux être avec toi ? Que je ne veux pas coucher avec toi ? Pourquoi tu fais ça ?Il y a tellement de femmes dans ce monde qui sont prêtes à tout pour toi.Qu'est-ce que tu as à me forcer à faire ce que je ne veux pas.- Tu a parfaitement raison, Il y a des certaines de femmes qui tueraient père et mè