*Capitale, hôtel Confort.
(Krist et Marianna arrivèrent à l’hôtel confort et garèrent au parking. Krist descendit, ouvrit la potière et prit la main de Marianna pour qu’elle descende).
Marianna : merci.
Krist : vous êtes déjà venu dans cet hôtel une fois ?
Marianna : oui, avec mon petit ami. On était venu passé la fête ici.
Krist : je vois.
(Ils entrèrent et allèrent à la réception. Les employés saluèrent Krist avec beaucoup de respect).
Marianna : waouh, on dirait que tu es quelqu’un de très important dans cet hôtel ?
Krist : je suis un fidèle client.
(Ils arrivèrent devant la réceptionniste).
Krist : bonsoir mademoiselle.
Eliane : bonsoir monsieur Krist, soyez le bienvenu.
Krist : merci.
Marianna : bonjour mademoiselle, nous voulons prendre une chambre.
Krist : deux chambres.
Eliane : euh, je…
*QG du BEST. (Le matin, quand tout le monde fut au travail, Samuel briffa son personnel). Samuel: bonjour à tous. Dans la nuit d’hier autour de 22h30, une jeune fille a été assassiné dans un bar. Comme d’habitude, notre travail consiste donc à retrouver l’assassin et nous devons mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour arriver à cette fin. La jeune fille s’appelle Charlie Larlem, âgée d’environ 20 ans. Alex, trouves-nous toutes les infos sur cette jeune fille. Au travail! (Ils s’attelèrent à la tâche. Samuel rejoignit Alex et lui envoya des photos du corps de la victime. Alex lança une reconnaissance faciale et trouva l’identité de la victime). Alex: la victime s’appelle bien Charlie Larlem, âgée de 20 ans, en première année d’université. Samuel: trouves qui sont ses parents. Alex: son père s’appelle Marc Djinodji et sa femme, Rosine Djinodji. Ils habitent à Atrone. Je vous donne leur adresse.
*Capitale, shopping. (Krist et Marianna allèrent dans un magasin de mode pour le shopping. Elle s’acheta de beaux habits, de chaussures, des bijoux, des matériels de beautés). Krist: tu veux refaire complètement ta valise ou quoi? Marianna: il y a tellement de choses qui me plaisent. Krist: tu ne peux pas tout avoir dans la vie, même si tu achètes le magasin, il y aura d’autres habits qui te manqueront. Marianna: c’est bon maintenant. (Ils partirent à la réception et elle paya la facture de ses achats. Krist amena tous ses habits dans sa voiture). Marianna: allons maintenant dans un magasin pour homme. Krist: pour quoi faire? Marianna: il faut que tu aies aussi de nouveaux habits. Krist: non, ce n’est pas la peine. Marianna: allons, je veux que tu en portes de nouveaux habits. (Ils partirent dans un magasin pour homme et co
*Capitale, Hôtel Confort. (On servit le repas à Krist et Marianna qui commencèrent à manger en discutant). Marianna: non mais sincèrement, t’es qui dans cet hôtel? Krist: je te l’ai déjà dit, je connais bien le directeur de l’hôtel et les employés d’ici sont très accueillants. Marianna: tu ne serais pas le proprio de l’hôtel par hasard? Krist: regarde-moi, est-ce que je ressemble à quelqu’un qui peut avoir un tel hôtel? Marianna: je sais que tu es le fils du défunt homme d’affaire Salomon alors peut-être que cet hôtel était le sien et qu’il te l’ait laissé? (Krist devint triste). Marianna: je suis sincèrement désolé pour ton père mon amour. Krist: merci. Marianna: ce soir, je veux sortir pour visiter la ville. Krist: très bien, comme tu veux. Marianna: merci. *Bélak, Domicile de Marc. (Alic
*Capitale, Hôtel Confort, suite de Krist. (Marianna se leva de son lit et se rendit devant la chambre de Krist et frappa). Krist: qui est-ce? Marianna: c’est moi, Marianna. (Krist alla ouvrir et la vit en soutien-gorge et en petite culotte). Krist: mon Dieu, qu’est-ce que t’es belle! (Elle commença directement à l’embrasser et Krist referma la porte. Ils s’embrassèrent et elle déshabilla Krist au fur et à mesure. Il la porta dans ses bras et la posa sur le lit. Il enleva son soutien-gorge et caressa ses seins et tout son corps. Il se déshabilla complètement et après un long moment de caresse, Marianna ne le supportait plus et l’obligea à la pénétrer. Il faisait ses va-et-vient et Marianna poussa des cris de gémissement et de plaisir). *Suite de Marianna. (Marianna se tordait de plaisir sur son lit en plein rêve. Krist entendit les cris de gémissement et croyait à des pleurs alors il se leva
*Capitale, hôtel Confort. (Le lendemain matin, les employés décorèrent l’hôtel petit à petit. Krist descendit pour prendre le soleil du matin et retrouva le directeur de l’hôtel). Krist: bonjour monsieur Robert. Robert: bonjour Krist, comment allez-vous? Krist: je vais bien merci. Y a-t-il un événement qui se prépare? Robert: oui, un mariage. Le marié a loué pour tout l’après-midi et toute la soirée. Krist: hum, c’est bien. Vous offrez vraiment un meilleur service dans cet hôtel, je suis fier. Robert: merci monsieur. Krist: bien, bonne journée. Robert: merci. Bonne journée à vous aussi. (Krist sortit de l’hôtel pour prendre l’air et il appela John pour avoir des infos sur l’avancement de l’enquête). John: allô Krist! Krist: bonjour John, comment vas-tu? John: bien et toi? Krist&
*Bélak, parc d’attraction. (Le samedi soir, Francis se rendit chez Isabelle. Elle le retrouva à la porte). Isabelle: bonsoir Francis. Francis: salut Isabelle, tu es ravissante! Isabelle: merci. On y va? Francis: montes! (Elle monta et ils se rendirent au parc d’attraction de Bélak). Francis: es-tu déjà venue ici? Isabelle: non, je ne suis pas encore venue ici. Francis: viens, tu vas adorer. (Ils jouèrent à différents jeux et passèrent un bon moment ensemble). Francis: laisses-moi te prendre en photo si tu veux. Isabelle: d’accord, vas-y! (Francis la prit en photo et firent aussi des selfies). Isabelle: fais voir! Francis: ok. (Francis entra dans la galerie et lui remit son téléphone pour qu’il visionna les photos). Isabelle: waouh, ton télépho
*Capitale, hôtel Confort. (Le matin, Krist alla voir Marianna). Krist: bonjour Marianna. Marianna: bonjour Krist. Krist: apprêtes-toi, nous partons dans un instant. Marianna: pardonnes-moi Krist. (Il s’en alla et descendit pour retrouver le directeur de l’hôtel). Krist: bonjour monsieur Robert. Robert: bonjour Krist. Krist: je quitte l’hôtel aujourd’hui. Merci pour vos services. Robert: je vous en prie, c’était un honneur de vous recevoir. (Krist retourna dans sa suite et c’est là qu’il se rappela d’Alicia). Krist: hey merde, Alicia! (Il l’appela). Alicia: allô! Krist: bonjour Nat, c’est Joseph. Alicia: ah Joseph, comment tu vas? Krist: je vais bien et toi? Alicia: ça va bien également. Krist: tu fais quoi aujourd’hui&nbs
*Clinique privée la Grâce. (Marianna fut amenée à la clinique privée la grâce qui fut non loin de la résidence du gouverneur et qui offrit de meilleur prestation de service. Cette clinique qui fut autre fois à Salomon est maintenant à la famille de Richard. On apporta un brancard pour la porter et l’amener dans une salle. On appela le docteur Philémon qui arriva). Docteur: madame, qu’est-ce qu’elle a? Daronne: elle a été violée docteur. Docteur: très bien, nous allons appeler notre gynécologue qui va s’occuper d’elle. (Le gynécologue fut appelé et il entra dans la salle pour examiner Marianna. Elle se releva du lit et s’assit). Marianna: docteur, vous vous appelez comment? Docteur: docteur Martial. Marianna: écoutez docteur Martial, j’ai quelque chose à vous dire. Martial: très bien, je vous écoute. Marianna: en fait, je ne suis pas violée.
*Domicile de Krist. (Krist rentra à la maison et trouva sa femme toujours debout). Krist: tu es toujours debout chérie? Isabelle: oui, j'avais besoin de te voir rentrer sain et sauf. Regarde à quelle heure tu rentres chéri, il est 02h du matin. Krist: c'est finit bébé, on a mit fin à cette affaire de drogue donc dès demain, je quitte définitivement le BEST. Isabelle: je l'espère de tout mon cœur. Krist: ne t'inquiètes pas. Emmanuel n'a pas sommeil? Isabelle: non, il voulait voir son papa avant de dormir. Krist: allons nous reposer. Je vais embrasser ma princesse. (Krist alla embrasser sa fille avant de rejoindre sa femme dans leur chambre pour passer la nuit). *Domicile de Clarisse. (John et Éric ramenèrent leur mère à la maison et passèrent la nuit avec elle. Clarisse se leva très tôt pour préparer le petit déjeuner pour ses enfants qui mangè
*Supérette de Marcelin.(À 19h de la nuit, Marcelin et ses hommes se rendirent dans sa supérette avec un fourgon pour faire sortir l'argent. L’agent Carlos de la brigade anti-drogue resta assez loin pour les espionner. Les hommes de Marcelin firent sortirent l'argent et mirent tout dans le fourgon puis ils partirent à son domicile. Carlos les suivit jusque-là avant de retourner à la brigade).*Domicile de Marcelin.(Marcelin rejoignit son frère).Marcelin: ça y est, l'argent est là!Thomas: génial, il faut juste attendre l'heure pour aller récupérer la cargaison de drogue.Marcelin: qu’est-ce qu’on fait d’Éric et sa mère?Thomas: que veux-tu que je te dise? Ils ne me servent à rien tous les deux.Marcelin: compris! On s'en débarrasse.
*Domicile de Marcelin. (Levi et Osée amenèrent Éric dans une salle et attachèrent ses mains dans le dos, ensuite ils attachèrent ses pieds en haut et tournèrent sa tête vers le bas. Ils versèrent de l'eau sur lui et prirent des bâtons pour le frapper). *Brigade anti-drogue. Ally: patron, Éric est démasqué, il est en train d’être torturé. Il faut intervenir maintenant. Léon: non, si on intervient, on n'aura pas la chance de saisir la drogue, l'argent et d’arrêter Thomas et son frère ainsi qu'Eltchoko. Ally: nous savons que la drogue viendra par le port, nous savons aussi où se trouve la supérette et grâce à Éric on connaît le domicile de Thomas et son frère, il faut intervenir. Léon: le plus grand morceau dans tout ça c'est Eltchoko et nous ne savons pas où il est. Si on arrête Thomas et Marcelin, on ne pourra jamais le retrouver. Ally: donc, on laisse Éric mourir? Léon: espérons
*Quincaillerie service+. (Krist et John arrivèrent à la quincaillerie et trouvèrent une personne sur place). Krist: bonjour monsieur, comment allez-vous? Lui: je vais très bien. Krist: comment vous appelez-vous? Lui: Sosthène! Krist: ok, je suis le lieutenant Krist et voici le lieutenant John du BEST. Sosthène: ok, que puis-je pour vous? John: nous recherchons un certain Ferdinand, le connaissez-vous? Sosthène: ça se pourrait. Vous le cherchez pourquoi? Krist: où peut-on le trouver? Sosthène: il vient ici parfois mais pas chaque fois. John: mais vous savez où on peut le trouver n'est-ce-pas? Sosthène: le voilà d'ailleurs qui arrive. (Ferdinand arriva jusqu’à eux). Ferdinand: bonjour Sosthène. Sosthène: salut mon frère, comment
*Hôpital pédiatrique. (Krist arriva à l’hôpital. Il gara sa voiture au parking et courut jusqu’à l’intérieur. Il rejoignit la maîtresse et le directeur). Krist: Michelle, où est ma fille? Michelle: les docteurs s’occupent encore d'elle. Krist: que s'est-il passé, que lui est-il arrivé? Directeur: on n'en sait rien monsieur Krist mais j'ai trouvé ça. Krist: qu’est-ce c'est? Directeur: je n'en sais rien. (Krist prit la poudre et la sentit). Krist: de la drogue, ne me dites pas que ma fille a consommé de la drogue? Directeur: je n'en sais rien monsieur. Krist: comment de la drogue s'est retrouvé dans votre établissement? Directeur: je ne saurais vous répondre monsieur. (La mère de Fabien arriva). Cindy: où est mon fils, je veux voir mon fils? Maîtresse: calmez-v
*Salomon entreprise.(Ce matin, après le petit déjeuner en famille, Isabelle devança Krist au travail pendant qu’il amena leur fille à l’école. De l’école, il se rendit dans leur entreprise, habillé en homme d’affaires. Il salua au passage les employés qui le regardèrent avec stupéfaction. Il se rendit dans le bureau de sa sœur et sa secrétaire l’introduit).Krist: bonjour sœurette!Stella: waouh, dans la peau d’un gentleman! Tu es super Krist.Krist: merci, c’est l’œuvre d’Isabelle.Stella: hum, la beauté, l’élégance, le charisme, tout y est.Krist: merci.Stella: assieds-toi!Krist: merci.Stella: alors, tu te sens vraiment prêt pour cette nouvelle vie?Krist&nbs
PRESENTEMENT. *Domicile de John. (Éric rendit visite à son frère dans la nuit. Il lui ouvrit la porte). Éric: salut mon frère. John: salut, content de te voir. (Ils s’assirent pour discuter). John: alors, quelles sont les nouvelles du côté de Thomas et son frère? Éric: les choses bougent vraiment mon frère. Une grosse cargaison va arriver bientôt. John: quand? Éric: je ne sais pas encore. Mais Marcelin veut que nous liquidons le reste de sa marchandise avant qu’elle n’arrive et nous commencerons dès demain. John: ne me dit pas que tu fais circuler de la drogue dans les rues de Bélak Éric? Éric: bien sûr que non. Quand je récupère ma part, je contacte l’agence qui me fournit l’argent d’une valeur équivalente à la quantité de drogue et récupère la drogue. Conclusion, je fini toujours de tout vendre ma marchandise, c’est ainsi que j’a
*Bar. (L’ambulance arriva et les agents du BEST ainsi que le docteur Romuald et la police arrivèrent sur les lieux. Ils délimitèrent et examinèrent la scène de crime). Samuel: alors Romuald, qu’est-ce qu’on a? Romuald: morte par drogue. Samuel: encore cette saleté. Un instant. (Il s’éloigna et appela Léon. Léon fit appel à Éric et ils se rendirent dans le bar. Entre temps, Krist et John parlèrent à Damien). Krist: comment vous vous appelez? Damien: Damien. Krist: nous vous présentons nos sincères condoléances Damien. John: nous savons à quel point ça doit être difficile pour vous mais nous avons besoin de votre aide pour essayer de retrouver ceux qui ont fait ça à votre fiancée. Damien: qu’est-ce que je peux faire? Krist: parlez-nous d’abord de la victime, pardon de votre fiancée. Damien: elle s’appelle, e
*Résidence de Marcelin. (Ce soir, Thomas et son frère élaborèrent un plan de distribution de leur marchandise). Thomas: petit frère, montre-moi la marchandise restante. Marcelin: bien, suis-moi! (Marcelin et son frère montèrent dans sa voiture pour se rendre dans une supérette, l’une des plus grande de la ville). Marcelin: c’est ici que tout se passe. Thomas: tu stockes la marchandise dans cette supérette? Marcelin: bien sûr, suis-moi! (Ils continuèrent jusqu’au fond de la supérette et Marcelin écarta deux placards et voilà qu’une porte se trouva derrière. Ils entrèrent dans la pièce et elle est complètement vide, sauf un lit). Thomas: mais, il n’y a rien ici. Marcelin: un instant. (Marcelin souleva le tapis voilà une porte débouchant au sous-sol sous forme de carré. Il souleva la porte et ils descendirent au sous-sol et ce fut là que Th