Léo a composé le numéro du Dragon Chauve devant le Tigre Malade en lui demandant de venir avec ses hommes pour résoudre un petit problème.Le Tigre Malade a ricané : « Tu veux faire venir des hommes ici ? Écoute-moi bien. Devant moi, il ne sert à rien de faire venir qui que ce soit. Qui dans la Région de Sud-Fleuve ne me respecte pas ? »Léo a raccroché le téléphone et a commencé à attendre tranquillement.Emma a marmonné avec inquiétude : « Qui Léo a-il appelé ? »Luc a ricané : « Léo, il est tellement pauvre qu'il ne peut pas faire venir personne, mais il est très doué comme poseur. »Au bout de moins de dix minutes, trois camionnettes blanches sont arrivées.Les portières se sont ouvertes et un groupe d'hommes chauves en était sorti, chacun avec une arme à la main.Au début, le Tigre Malade était un peu effrayé en les voyant, mais il était soulagé quand il a découvert que c’était le Dragon Chauve qui est arrivé.Il l’a salué en souriant : « Frère Dragon, qu'est-ce qui vous a
Le Dragon Chauve a soulevé le Tigre Malade et l’a fait s’agenouiller devant Léo en disant : « Vite, excuse-toi auprès de mon grand-père. »Le Tigre Malade bégayait et ne pouvait rien dire.« Tu veux toujours te faire tabasser, hein ? »« Non, non, non, je m'excuse, je m'excuse. » Le Tigre Malade a levé les yeux pour regarder Léo et a dit en tremblant de peur : « Grand-père, veuillez m’épargner, s’il vous plaît ! Je promets que je ne viendrai plus chez vous, sinon que le tonnerre me brise ! » Après tout, le Tigre Malade n'était qu’un sbire du Groupe Ciel-bleu. Léo ne voulait pas lui faire une leçon.« Va-t-en ! » « Ok, d’accord ! » Le Tigre Malade s'est empressé de partir en rampant avec ses hommes.Le Dragon Chauve a dit en souriant : « Grand-père, ai-je bien fait aujourd’hui ? »Léo s'est touché le nez et a toussé : « Ne m'appelle plus grand-père à partir de maintenant, appelle-moi Léo. »« Comment est-ce possible ? Je dois au moins vous appeler respectueusement Frère Léo »
Dans le sous-comptoir de la région de Sud-Fleuve de la Banque Suisse situé au N°188 Avenue de Gaulle.Léo s'est dirigé directement vers l’accès de VIP.« Soyez le bienvenue, je peux vous aider, monsieur... »Un employé de la banque l'a accueilli avec le sourire. En général, ceux qui pouvaient venir à l’accès VIP étaient tous riches, ou bien nobles. Alors les employés de la banque accueillaient leur client VIP toujours avec le sourire...Mais cet employé a vu que Léo s’habillait de façon très ordinaire et sans un seul garde du corps ou assistant à ses côtés, il avait immédiatement une mine maussade.« Je suis désolé, monsieur. C'est un accès de VIP, vous ne devez pas venir ici. »« Si vous avez des affaires à régler, allez au comptoir là-bas. »Puisque des clients se trompaient souvent accidentellement de comptoir, c'est-à-dire des clients ordinaires qui empruntaient l’accès de VIP. Alors les employés devaient distinguer si le client était vraiment un VIP ou s’il s'était simpleme
Il a regardé l’employé froidement en lui disant : « Dégage d’ici, tu as été licencié. »« Pardonnez-moi, Monsieur Bruno, je... »« Quoi ? Tu veux que je te force à le faire ? »L’employé n’a pas osé répondre, il n'avait rien à dire sur son licenciement, il devait s'en prendre à lui-même pour être trop aveugle.S'il avait été un peu plus poli ou s’il avait parlé normalement, il ne serait pas licencié.Bruno a ignoré l’employé et a conduit Léo directement dans la salle VIP exclusive la plus suprême de la banque.C'était une chambre avec la meilleure confidentialité où on n’avait pas besoin de s'inquiéter de la fuite de secrets.Après avoir demandé à Léo de s'asseoir, Bruno a demandé : « Monsieur Léo, que puis-je faire pour vous ? »Léo a dit en souriant : « Je suis venu pour récupérer ma carte, il devrait y avoir encore de l'argent depuis tant d’années, non ? »Bruno a souri : « Ne vous inquiétez pas, Monsieur Léo. Je m'occupe personnellement de vos affaires depuis ces dernière
À ces mots, Léo était stupéfait. Il savait qu'il avait de l'argent dans sa carte, mais il ne s'attendait pas à ce qu'il soit aussi riche.Même s'il a combattu pendant plusieurs années et qu'il avait développé l'habileté de ne pas montrer sa joie ou sa colère, il n'a pas pu s'empêcher d'être surpris à cet instant.Il a dit avec un sourire embarrassé : « Bruno, merci pour vos soins au fil de ces années. Pour être honnête, je ne connais rien à l’investissement et sans votre aide, cet argent serait de l'argent mort. »Bruno était surpris de recevoir un tel remerciement, il a dit en souriant : « Monsieur Léo, vous m’avez flatté, sans parler de vous aider avec votre argent. Même si je devais vous dédier ma vie, je serais heureux de le faire. »« Je vous remercie ! »Bruno a poursuivi : « M. Léo, vous pouvez garder cette carte et l'utiliser comme bon vous semble. Quant à l'ensemble de vos biens, vous pouvez toujours me les confier, ce qui vous assurera des bénéfices constants. De cette f
Téléphone raccroché, Emma a mis ses chaussures d'une manière confuse et a conduit jusqu'au Café Procope. Alors qu’elle était en train de garer la voiture, elle a vu Luc s'approcher.« Papa, pourquoi tu m’as demandé de venir ici ? »Luc a regardé Emma de haut en bas et a hoché la tête : « Bien, tu t’es habillée convenablement, viens avec moi. »Sans expliquer, il a pris Emma par le bras et est entré dans le café. Puis il l'a faite assoir dans une salle. En face d’Emma était assis un homme aux cheveux mi-longs, ressemblant un peu à un artiste de performance, qui n'était pas trop vieux, moins de 30 ans.Luc l'a présenté : « Emma, voici Clément Petit dont je t’ai parlé, c'est le fils de notre directeur. Vous allez bien discuter. »Emma était abasourdie, qu’est ce qui s’est passé ?Elle était demandée à venir pour discuter avec un homme inconnu ? Qu'est-ce qu'il y avait à discuter ? Clément a regardé Emma attentivement et a hoché la tête : « Eh bien, elle est très jolie et répond
Clément était convaincu qu’Emma accepterait de se remarier avec lui. C'était une occasion idéale pour elle d’entrer dans une famille riche et de sortir sa famille d'un énorme conflit de dette.Seule une idiote refuserait.Mais... Emma a souri en secouant la tête et a repoussé le chèque : « Je suis désolée, si je dois vivre ma vie avec un homme aussi mal élevé que vous, je préfère porter une énorme dette et sauter du haut d’un grand immeuble. »Cela voulait dire qu’Emma préfère se suicider au lieu de se marier avec Clément.Clément était furieux et a déchiré le chèque en morceaux, puis il s'est levé en disant vicieusement : « Je vous ai donné une chance parce que vous avez encore une certaine allure. Mais vous ne la chérissez pas. Vous croyez que je me soucie de vous ? Allez vous faire foutre avec votre mari perdant ! »Luc a essayé d’empêcher Clément, mais ce dernier l'a repoussé.Clément a pointé du doigt Luc en disant : « Vieil imbécile ! Vous voulez encore travailler ? Oh, att
Ce n’était pas impossible de préparer un programme approprié. En tout cas, on ne pouvait lui dire qu’il devrait rembourser ses dettes toute sa vie, n’est-ce pas ? D’ailleurs, il était très probable qu’il ne pourrait pas rembourser tous les neuf cent millions.Luc Balbutiait.Pendant ce temps, Nathan a jeté un coup d'œil sur les alentours : « Où est donc Léo Martin le débiteur ? »À entendre le nom de Léo Martin, Luc est devenu furieux : « Ce gamin est parti on ne sait pas où. »« On ne sait pas ? » Nathan a dit froidement : « Vous n’allez jamais vous tirer d’affaire. Il s’agit d’un crime grave de s’enfuir sans rembourser les dettes. Un conseil pour vous : Livrez-moi rapidement Léo Martin, sinon vous allez passer la nuit à la station de police aujourd’hui. »« Comment... » Luc ne savait pas quoi dire, serrant les dents.Léo était parti tôt le matin, sans avoir dit où il allait se rendre. En plus, son portable était éteint depuis. Comment pouvait-on le retrouver dans ces conditions ?Luc
La voiture roulait à mi-chemin lorsque Joseph a aperçu la Ferrari dans son rétroviseur et n’a pu s'empêcher d'être amusé.« Ha, ha, quel chien enragé ! Comment oses-tu me rattraper ? Te prends-tu pour qui ? »Ceci dit, il a fortement appuyé son pied sur l'accélérateur et sa vitesse a grimpé en flèche, dépassant largement la Ferrari derrière lui.Après tout, c'était un pilote de course professionnel de F1, sa classe était totalement supérieure aux pilotes de course que Léo avait rencontrés auparavant. Il n’avait pratiquement aucun problème sur la voie droite, même dans les virages, il était presque parfait. En y ajoutant les superbes performances de la Lamborghini, cela lui a permis de rester en tête. Pour Léo, il n'y avait aucun moyen de le rattraper.Dans la Ferrari, Félix a secoué la tête à plusieurs reprises : « Docteur Martin, laissez tomber ! Bien que vos compétences médicales soient excellentes, lorsqu'il s'agit de techniques de conduite, l’autre partie est un pilote de course p
Les deux parties se sont regardées et se sont figées.Le jeune homme était Joseph Roux, un pilote de course professionnel de F1.La Ferrari était le leader de la F1, mais l'équipe a décliné après qu’un accident de route ait frappé leur champion l'année précédente. Cela a permis aux autres équipes de le rattraper.En fait, l’écart de puissance entre la Lamborghini et la Ferrari était très petit, et surtout la Lamborghini a engagé un excellent pilot de course à prix astronomique, ce dernier représentant la Lamborghini a successivement remporté le championnat.Tout le monde ne s'était pas attendu à rencontrer un pilote de course de F1 de Lamborghini dans un tel endroit.Félix a dit avec dédain : « Mec, ne sois pas trop arrogant ! Une bonne voiture n’est rien du tout ! »À ce moment, une voix légèrement douce est sortie de l'intérieur de la Lamborghini : « Même si ma voiture n’est pas bien, elle est toujours meilleure que la tienne, n'est-ce pas ? »Ceci dit, un autre homme en est sorti.C
Après avoir quitté la rivière, Léo a pris un taxi et est arrivé à la Clinique de Roussel, où il a vu de loin un grand tissu rouge couvrant quelque chose.Dès qu'il est entré dans la salle, Félix l’a accueilli d’un air joyeux : « Docteur Martin, enfin vous voilà ! Vous m'avez fait attendre depuis longtemps ! » Léo a souri : « Monsieur Lemaire, pourquoi vous me demandez de prendre le cadeau en personne ? »Nydia a secoué légèrement la tête : « C'est un objet très important, ce n'est pas quelque chose que les gens ordinaires peuvent simplement avoir. » Léo était confus, vu qu'ils parlaient du cadeau de manière mystérieuse, il ne devinait exactement pas quel était le cadeau.Félix l’a conduit à l'extérieur et a pointé du doigt le tissu rouge : « Ouvrez-le et montrez-le au docteur Martin ! »Les serveurs ont immédiatement arraché le tissu rouge, révélant à l'intérieur un coupé ayant une carrosserie bien profilée !C’était un cabriolet à toit ouvert Ferrari !Les portières du cabriolet s’o
« Léo, tu te souviens de la réaction de grand-père ? Il était rouge comme un coq à cause de la colère. » Léo a ri : « Depuis quand es-tu devenu si mauvais ? Ne me disais-tu pas d'être poli avec grand-père ? »Emma a soupiré : « Oui, tu as raison. De toute façon, il est toujours mon grand-père, le parent le plus proche. Mais ce qui s’est passé aujourd’hui est trop exaspérant. Je ne sais vraiment pas ce que j’aurais fait si je n’ai pas eu de l’aide des trente propriétaires dans la Résidence Empire. »En parlant de cela, Emma est devenue encore plus perplexe : « En fait, je ne comprends pas non plus ce qui s’est passé. Léo, je ne sais pas pourquoi les autres ont été refusés par les propriétaires, mais si je pars, ces derniers accepteront de signer. »Léo lui a répondu : « Parce que... Tu es tellement belle qu’ils sont tous captivés par ta beauté, n'est-ce pas ? »Emma a tapoté la tête de Léo : « Toi, tout ce que tu fais, c'est de dire des bêtises toute la journée pour me rendre heureuse.
Est-ce que c’était l'attitude de demander de l’aide à quelqu'un d’autre ? Léo a ricané dans son cœur et se disait : « Grand-père est encore si arrogant même s’il se trouve dans une situation difficile. »Et ensuite Léo s’est levé, a pris la main d’Emma et s'est apprêté à partir, ce qui les a surpris tous les trois. Ils avaient été punis pendant trois heures pour attendre qu’Emma se réveille, et maintenant Léo et Emma étaient sur le point de partir sans rien faire, c’était une plaisanterie ? « Léo, que fais-tu ? » a crié Mathias avec inquiétude.Léo a répondu avec indifférence : « Certaines personnes peu éduquées sont restées dans le bureau, alors l’air ici n’est pas bon, je vais sortir pour faire une promenade avec Emma. » C'était évidemment une réprimande aux trois. Mathias n’était rien pour lui.À ces mots, Mathias était tellement en colère qu’il a même voulu tuer Léo immédiatement. Mais pour l'instant, il devrait le supporter car il voulait lui demander de l'aide. Il a poussé un
« Si un ou deux propriétaires n’ont désigné qu’Emma, je croirais que ce serait possible. Mais le problème est que trente propriétaires désignent Emma en même temps, les choses ne peuvent pas être aussi simples. »« D'ailleurs, ces trente personnes, y compris des femmes et des hommes de soixante-dix ans, auraient-elles pu faire quelque chose comme ça ? Paul, Bella, vous ne direz plus encore de telles bêtises à l’avenir, vous comprenez ? » Bella et Paul ont hoché la tête.Bien que Mathias déteste Emma, c'était après tout sa propre petite-fille, s’il lui était arrivé quelque chose de honteux, ce ne serait pas seulement Emma qui serait déshonorée, mais toute la famille Dupont.C'était pourquoi Mathias ne permettait pas à Bella et aux autres de dire des bêtises comme ça. La raison pour laquelle les trois ne pouvaient pas comprendre le comportement des propriétaires était qu’ils ne savaient pas que le nœud du problème venait de Léo et non d’Emma. Comment pouvait-on penser au résultat corre
Et ensuite, Paul a exposé les travaux de la rénovation en détails d’une manière très polie et appropriée.Oscar l’écoutait attentivement à l'autre bout du fil et n’a rien dit.Paul était sûr qu’il pouvait le persuader d’accepter la modification. Parce que cette modification était une bonne chose pour les propriétaires, il ne trouvait aucune raison pour qu’Oscar puisse le refuser. Cependant, les choses ne se déroulaient pas comme prévu. Oscar lui a répondu d’un ton peu aimable : « Je ne l’accepte pas. »Paul a changé de teint, son sourire se figeant, il n’a vraiment pas compris pourquoi il lui a refusé et s’est demandé : « Pourquoi ? Il est fou ou quoi ? »Paul l’a encore voulu persuader, mais Oscar lui a répondu fermement : « Je l'ai dit, je refuse, ce n’est pas la peine de m'en reparler. De plus, je ne répondrai à aucun appel de quelqu'un d'autre dans votre famille Dupont autre que Madame Emma Dupont, vous comprenez ? »« Mais, monsieur Lefort, c'est... »Bip, bip, bip, l'interlocut
Paul s’est levé et est allé préparer la proposition de projet.D’un air satisfait, Mathias a pris une gorgée de café et a regardé Bella en souriant : « Tu es également ma petite-fille comme Emma, tu me rends toujours heureux et doux, et alors Emma, elle me met toujours en colère ! »Bella a souri : « Vous me flattez, grand-père. »« Hé, ce n’est pas la peine d’être modeste. C'est dommage que tu sois une fille, si tu étais un homme, je t'aurais déjà donné ce poste de patriarche de la famille. Hélas, Paul n'est pas aussi bon que toi dans tous les domaines, je m’inquiète pour lui. »« Grand-père, Paul est juste impulsif, mais il n'est pas mauvais. »Mathias a soupiré : « J'aimerais qu'il puisse être équilibré comme toi. »De l’autre côté.D’un air mécontent, Emma est retournée à son bureau, jetant le plan du projet par terre et le piétinant avec ses talons hauts pour évacuer sa colère. Elle n’a jamais été aussi mal à l'aise que maintenant ! Peu importe qu’elle a été brimée par les autres
Alors que les trois baignaient dans l’allégresse et que Emma était furieuse, des pas clairs venaient à leurs oreilles. Immédiatement après, l'homme que Mathias a détesté le plus est apparu, c’était bien Léo. Il se tenait à côté d’Emma avec le même calme inaltérable sur le visage, et a tendu la main pour tenir la main froide et tremblante d’Emma.« Bonjour, grand-père. »Mathias a reniflé froidement : « Bonjour. »Et ensuite, Léo a esquissé un sourire et a dit quelque chose qui a déconcerté les personnes présentes.« Grand-père, pour mon défunt frère François, il vous a fallu beaucoup de peine pour préparer deux zones de planification de cimetière, vous m’avez beaucoup aidé, merci ! »Deux zones ? D’un air perplexe, tout le monde s’est regardé. Paul a ricané : « Léo, tu as dit des bêtises ? »« N'est-ce pas ? » Léo a dit, faisant semblant d'être perplexe, « non seulement la Résidence Empire va être transformée en zone de planification du cimetière, mais un autre terrain serait spéciale