Profitant de ce qu’il a décroché le téléphone, Christina, les larmes aux yeux, s’est empressée de baisser sa jupe, l’a repoussé de toutes ses forces, et est sortie du bureau en courant. Alex ne l’a pas arrêtée et a vu son dos s’éloigner. Pour calmer son désir sexuel, il s’est dirigé vers la table, a sorti une cigarette, et l’a allumée : « Ça dépend de la situation. On doit utiliser à la fois les médicaments et le traitement psychologique, mais leur efficacité dépendra du patient. Si celui-ci ne veut pas s’en sortir, ce qu’on a fait ne servira à rien. » « Du coup, tu as commencé à te soucier d’elle ? », a ajouté Alex en riant. Avant que l’autre partie ne puisse lui répondre, Alex a ri encore plus fort : « En fait, j’avais prévu un tel jour depuis longtemps. Roland, n’oublie pas ton but ! Penses-tu que tu peux t’arrêter maintenant ? Tu as drogué Julie pendant douze ans, même si tu commences à être gentil avec elle, elle ne pourra pas te pardonner. » « Pour ce que tu as fait avec
« Maman... où es-tu allée ? Ne me quitte pas, s’il te plaît ! », a murmuré Julie. À ces mots, Roland semblait voir une Julie qui avait déjà perdu la raison. Il s’est lentement dirigé vers elle et lui a demandé : « Qu’est-ce que tu fais à genoux ? Lève-toi ! » « Pourquoi es-tu là ? Tu as fait peur à ma mère ! Regarde ! Elle est partie », a répondu Julie d’un ton calme. Roland l’a relevée et a poursuivi : « Réveille-toi et regarde bien cette chambre ! Il n’y a que toi et moi ici ! » « Ne dis pas de telles bêtises ! Je l’ai vraiment vue ! J’en suis très sûre ! Ma mère m’a dit beaucoup de choses ! Elle m’a dit que si je me fatiguais, elle irait me sortir d’ici ! C’est toi qui l’as chassée...c’est de ta faute ! Tu as fait fuir ma mère ! Pourquoi es-tu venu dans ma chambre ? », s’est-elle écriée. En regardant Julie se comporter ainsi, Roland s’est affligé. Bien qu’il atteigne son but pas à pas, il n’en était pas du tout content, parce qu’il savait très bien que c’était lui q
Roland n’a rien dit, s’est retourné, et est descendu par les escaliers. Lorsqu’il est arrivé en bas, il a dit à Céline : « Quand elle se réveille, prépare des œufs pour elle. »Céline a hoché la tête : « D’accord. »Jade s’est précipitée sur lui et l’a pris par le bras : « Roland, tu n’as pas encore répondu à ma question. Qu’est ce qui ne va pas avec Julie ? Elle est encore en colère au sujet des Olympiades de Mathématiques ? En fait, elle a encore une chance d’y participer. »« Ça y est ! Ne te mêle pas des affaires d’autrui. Je peux bien régler les affaires de Julie tout seul », a répondu Roland.Il était à l’origine contrarié. Maintenant, il était encore plus énervé après avoir entendu les mots de Jade.Jade s’est figée et avait les larmes aux yeux, parce que Roland ne l’avait jamais grondée ainsi, même s’il savait qu’elle avait eu tort, il ne l’aurait pas blâmée.« Roland, est-ce je tiens des propos inappropriés ? Pourquoi m’as-tu grondée comme ça ? » « Ce que je fais, c’est de
Elle a levé la tête et a regardé le ciel, gardant cette posture pendant un long moment.Roland a regardé dans sa direction et n’a rien vu, sauf un ciel sombre. Le temps était mauvais depuis un certain temps.Après avoir remarqué que quelque chose n’allait pas, il s’est dirigé vers elle.Elle était assise sur la balançoire sans la moindre réaction.Un peu plus tard, elle s’est levée, s’est retournée, et s’est rendue à la villa. Roland était tellement inquiet qu’il la suivait tout le temps.Elle s’est assise sur le canapé, a allumé la télévision, et a regardé l’émission télévisée, teint pâle et terne.Julie a éteint la télévision autour de quatre heures du matin, a enlevé les chaussures, et s’est allongée sur le canapé. En un clin d’œil, elle s’est endormie, tandis que Roland, s’appuyant contre la porte, fumait.Lorsqu’il a vu Julie endormie, il a jeté le reste de la cigarette sur le sol et l’a horizontalement serrée dans bras avant de monter à l’étage.Au moment où il l’a portée dans
Roland a fait asseoir Julie, a pris le couvert, et a mangé une bouchée de pain, en disant : « Regarde bien ! Puisque je peux le manger, il signifiera qu’il n’est pas toxique ! » Julie ne comprenait pas pourquoi il se comportait ainsi. Il voulait toujours qu’elle meure tôt, pourquoi s’occupait-il d’elle maintenant ? Les pâtisseries, les bonbons et les pains lui avaient été enlevés, et maintenant il lui apportait encore le petit-déjeuner.Julie n’a pu s’empêcher de se demander : « Qu’est ce qui ne va pas avec lui ? Il n’a jamais fait de telles choses avant. » Sans savoir si elle avait trop faim, elle n’avait pas du tout d’appétit, elle avait même envie de vomir.Sans trop d’émotions sur le visage, elle a croisé les bras et a vu le couvert qui avait été utilisé par lui, se disant : « Même si ce n’est pas toxique, je ne mangerai pas la nourriture qu’il a apportée. »Parce qu’elle connaissait très bien le caractère de Roland, quoi qu’il fasse, il avait toujours une idée derrière la t
Elle ne pouvait toujours pas s’échapper de Roland pour le reste de sa vie. À ce moment-là, la porte des toilettes s’est ouverte. Julie a levé la tête et a vu le regard agressif de Roland. « Pourquoi n’etait-il pas encore parti ? », a-t-elle murmuré. Roland a remarqué le bandeau violet qui avait été jeté dans la poubelle et voulait exploser en injures, mais il s’est maîtrisé. « Tu sors toi-même ou je t’aide à le faire ? » a-t-il demandé. À ces mots, Julie est sortie des toilettes sans rien dire. « Prends le médicament », a-t-il dit. Deux pilules étaient mises sur la table, une tasse d’eau à côté. Lorsqu’elle était très agitée ou déçue, elle en prenait une de plus. Elle a jeté un coup d’œil à sa montre, découvrant que c’était juste l’heure de prendre le médicament. « Merci », a-t-elle répondu. Tout en prenant le médicament, elle a pris une gorgée d’eau, celle-ci n’étant ni froide ni chaude. « Sors d’ici ! Laisse-moi tranquille ! » a dit Julie. « Tu t’es replié
Le tableau a été étalé sur la table, le numéro qui y figurait était celui de Julie.Chrétien a touché le tableau et a demandé : « Elle est la gagnante de cette compétition ? »Tant qu’il voyait quelque chose concernant Julie, il se calmerait.Lucas lui a répondu : « C’est l’organisateur qui nous l’a donné, voulant savoir ce que vous pensez. »En fait, Lucas avait su que Julie aurait certainement participé à ce concours depuis longtemps, celle-ci aimait bien peindre et pouvait même faire le poids face à des peintres professionnels. « Elle sait que le concours est organisé par notre entreprise ? », a demandé Chrétien. Lucas lui a répondu : « Personne n’est au courant, probablement elle non plus. » « D’accord, tu peux sortir maintenant », a dit Chrétien. « D’accord, monsieur », a répondu Lucas. Après avoir dit cela, Lucas est sorti et a fermé la porte du bureau derrière lui. Chrétien a observé tous les détails de ce tableau et a deviné que la raison pour laquelle elle ne l’
De toute façon, elle était la seule dans la maison maintenant, son père était parti pour l’étranger, et sa mère était décédée, elle pensait donc qu’elle n’avait plus besoin de serviteurs pour s’occuper d’elle. Lorsqu’elle a contourné Roland pour monter à l’étage, celui-ci lui a saisi la main, en disant : « Perrine a eu un accident de voiture, et elle est à l’hôpital maintenant. »À ces mots, Julie avait encore l’air très calme et lui a répondu : « Je vois, et je lui souhaite un prompt rétablissement ! Mais je n’irai pas la voir. »Depuis tant d’année, Julie considérait tout le temps Perrine comme sa mère, mais après avoir su qu’elle avait été droguée par celle-ci pendant une dizaines d’années, elle était trop triste, si bien qu’elle ne pouvait pas accepter un tel fait. Elle ne voulait plus la revoir, car elle serait encore plus triste.En plus de cela, elle était encore submergée par d’autres choses, même si elle tenait pour le moment, elle savait qu’elle s’effondrerait tôt ou tard.
« Lâche-moi ! », a crié Christina en se débattant, elle a senti une odeur qui n’appartenait pas à Alex, il s’agissait d’un parfum des roses, en même temps, elle a également vu une marque de rouge à lèvres laissée sur son cou et sa chemise chiffonnée. À en juger par tout cela, elle pouvait facilement imaginer à quel point leur mouvement avait été intense tout à l’heure. Elle a continué à se débattre, le regard plein de dégoût et mépris. « Tu es jalouse ? », a-t-il demandé.Christina lui a gratté le visage et l’a fait saigner, ce geste l’a amené à la lâcher toute de suite. Il s’est couvert le visage à cause de la douleur, le regard sombre.Furieuse, Christina s’est levée de ses genoux, a rangé ses vêtements, et l’a giflé : « Ne me touche pas avec tes mains sales ! »Après avoir pincé les lèvres, Alex n’était pas en colère, mais a souri : « C’est trop léger ! J’aime que tu me frappes encore plus fort. », son regard était rempli d’agressivité et de lubricité.Christina a froncé les sourc
Pendant les trois mois de convalescence, il ne l’avait vraiment pas déçue. Elle s’est toujours souvenue de ses paroles de réconfort depuis trois ans. À cette pensée, Jessie se sentait tellement gênée qu’elle a évité son regard. « Pourquoi évitez-vous mes yeux ? », a demandé Alex d’une voix magnétique en soulevant son menton. Jessie ne lui a pas répondu, le visage rouge. Au moment où elle a senti les lèvres d’Alex, elle était tellement surprise qu’elle a instantanément écarquillé les yeux. Avant qu’elle ne puisse réagir, l’homme a habilement mis la langue dans sa bouche et ne lui a pas laissée aucune chance pour le refuser. Sous l’impulsion du désir sexuel, Jessie a répondu à son bisou. En voyant qu’elle n’avait plus l’intention de se débattre, Alex l’a embrassée encore plus fort, il ne refuserait jamais une femme qui lui montrerait de l’amour. Tout à coup, il lui a soulevé la jupe et lui a frotté les fesses moues et sexy, ce qui l’a essoufflée. Elle ne le supportait plu
C’est à ce moment-là qu’Alex a reçu un message très intéressant.Nathalie, qui avait été emprisonnée, a été libérée maintenant...Un mois avant les fiançailles de Chrétien, elle était juste sortie de prison. Elle ferait certainement quelque chose, et il semblait qu’un bon spectacle commence bientôt.« Alex, une mademoiselle du nom de Jessie veut vous voir », a dit son assistante en se dirigeant vers lui. À ces mots, Alex a rangé son téléphone portable dans sa poche et a demandé : « Où est-elle maintenant ? »« Elle vous attend dans votre bureau », a-t-elle répondu.« D’accord, je vais là-bas toute de suite. »Cela dit, il est parti.Dès qu’il y est arrivé, il a vu une femme, qui portait une robe blanche, se tenir devant la porte-fenêtre avec un dos ressemblant extrêmement à une personne, elle avait les cheveux bruns bouclés et croisait ses bras.En entendant le pas derrière elle, elle s’est retournée et a dit d’un ton un peu agacé : « Bonjour, Alex ! Ça fait longtemps qu’on ne s’est
« Ne bouge pas », a répondu Roland en lui saisissant la main, puis il a pris le téléphone portable tendu et a dit : « Bonjour, papa. »Tout en parlant, il l’a repoussée et s’est levé, se dirigeant vers le couloir.Même s’il parlait d’une voix basse à François, Jade a vaguement entendu un peu ce qu’il avait dit au téléphone, au moment où la porte a été fermée, elle a entendu un nom Lana. François a dit : « Aller aux États-Unis pour se former au management te sera très favorable, c’est vraiment une bonne occasion de connaître plus de gens dans le monde commercial. Quant à ton poste, je m’en suis déjà occupé pour toi. »À ces mots, Roland a répondu : « C’est votre décision ou celle de la famille Leduc ? »« Lana sera la future héritière de la famille Leduc, tu es mon fils, j’attends plus de toi que de Julie, j’espère que tu pourras me comprendre. Cette affaire est alors décidée, après que Julie se fiance avec Chrétien, tu iras aux États-Unis avec Lana pendant six mois, en même temps, je
Jade avait essayé de se suicider ?Avant qu’elle ne puisse les saluer, Jade avait été emmenée dans l’hôpital.Julie n’a jamais vu qu’elle était dans un tel état, et si elle ne l’avait pas vue de ses propres yeux, elle ne l’aurait pas cru. Elle n’a pu s’empêcher de se demander : « Roland tient toujours à Jade, mais pourquoi il l’a laissée se blesser de la sorte ? »La voix de Chrétien a interrompu ses pensées : « Devrions-nous aller les voir ? » Julie a secoué la tête et a répondu : « Non, ce n’est pas la peine, ils vont régler ça. »Après tout, c’étaient ses affaires, elle ne voulait pas du tout s’y mêler.Quoi que Jade fasse, cela n’avait rien à voir avec elle.Cette fois-ci, les blessures de Jade étaient plus graves que la dernière fois.En soignant les blessures de Jade, l’infirmière a froncé des sourcils, parce que les anciennes blessures de Jade, qui ne se cicatrisaient pas encore, avaient de nouveau été coupées, révélant même l’os à l’intérieur, du sang ne cessant pas de couler,
Julie n’a pu s’empêcher de se demander : « C’est vraiment la vérité ? Mais pourquoi Roland voudrait-il le tuer ? Pour aider la police ? Ce n’est pas logique. Roland semblait haïr l’homme à mort, sinon, il n’aurait pas demandé à Victor d’emmener une bande de personnes pour l’arrêter. »Avant de venir à l’hôpital, Julie s’était rendue dans un magasin de fleurs et avait acheté un bouquet de tournesols, qui était le dernier bouquet du magasin. Lorsqu’elle est arrivée dans la chambre de Béatrice, elle a vu que la famille de Béatrice était là, ainsi que Cédric et Bastien. Béatrice était en train de manger une pomme, une pêche dans l’autre main.En voyant qu’elle avait un si bon appétit, Julie se sentait soulagée, mais elle était encore un peu coupable, parce que sans elle, Béatrice n’aurait pas été hospitalisée. Dès que Béatrice a vu Julie, elle s’est épanouie comme une fleur : « Julie ! »Chrétien n’aimait pas les endroits bondés, il attendait donc dehors avec Yves.Julie est entrée
Julie a éteint la lumière, ne sachant pas s’il est parti.En craignant qu’il ne vienne vraiment, elle s’est rendue dans la chambre de Chrétien.Au moment où elle s’est allongée sur le lit, Chrétien l’a serrée par derrière et a demandé d’un ton paresseux : « Où es-tu allée ? » Julie lui a répondu avec un air distrait : « J’avais peur de t’éveiller, je suis donc retournée dans ma chambre pour prendre une douche. Va te coucher. » « D’accord », a-t-il répondu, il sentait l’odeur agréable de Julie et s’est de nouveau endormi en un clin d’œil. Julie a tendu une main et a éteint la lumière sur la table de chevet, toute la pièce étant immédiatement dans l’obscurité. Elle a fermé les yeux et s’est forcée à ne pas se faire des idées. Avec les capacités actuelles de Roland, il n’osait pas encore offenser la famille Verne. De plus, elle serait la madame Verne et n’aurait plus de relation avec lui. Même si elle avait très peur qu’il la menace, elle devait apprendre à se défendre et ne pou
À ces mots, Chrétien a souri et a hoché la tête : « D’accord, quoi que tu fasses, je te soutiendrai toujours...ma future madame Verne ! » Ne sachant pas combien de temps s’est écoulé, ils ont bavardé de beaucoup de choses. Par exemple, qu’est-ce qu’ils vont manger demain matin ? Après l’obtention du diplôme de Julie, où voyageront-ils ? Quelles sont les attentes concernant leur avenir ? Etc. Lorsque Chrétien a baissé la tête et l’a regardée, il a découvert qu’elle s’était déjà endormie, mais elle fronçait encore les sourcils dans son sommeil et semblait ne pas bien dormir. Chrétien a écarté ses longs cheveux qui avaient couvert son visage, et lui a fait un bisou, puis il l’a horizontalement portée dans ses bras, est monté à l’étage, et est retourné dans la chambre. Depuis ces jours, ils partageaient la même chambre et dormaient dans un même lit, mais ils n’ont pas encore fait l’amour. Pour l’instant, il s’est contenté de la serrer dans ses bras. Il l’avait attendue si longtemps,
Dans un sous-sol caché. Victor a reçu un coup de pied et est tombé par terre. Il n’a pas résisté, s’est couvert la poitrine douloureuse, et a essayé de se relever. Avant qu’il ne puisse le faire, il a de nouveau reçu un coup de pied, ce qui l’a fait s’allonger sur le sol, du sang coulant de sa bouche. Les personnes qui se tenaient sur le côté, ont baissé la tête et n’osaient pas faire un pas en avant pour l’aider, ne sachant pas pourquoi Roland se mettait si en colère aujourd’hui. Dans ce cas-là, personne n’osait faire quelque chose ou dire quelque chose devant lui, voulant se protéger d’abord. Roland a regardé l’homme allongé sur le sol, et a dit avec désinvolture : « C’est la dernière fois. », l’aura se dégageant de lui était froide et horrible. C’est à ce moment-là qu’un homme mince a couru vers lui et a dit : « Enzo est mort. » Roland a froncé les sourcils et a demandé, mécontent : « Qui l’a tué ? » L’homme a répondu : « J’ai vu la voiture, il s’agit de la famille