De toute façon, elle était la seule dans la maison maintenant, son père était parti pour l’étranger, et sa mère était décédée, elle pensait donc qu’elle n’avait plus besoin de serviteurs pour s’occuper d’elle. Lorsqu’elle a contourné Roland pour monter à l’étage, celui-ci lui a saisi la main, en disant : « Perrine a eu un accident de voiture, et elle est à l’hôpital maintenant. »À ces mots, Julie avait encore l’air très calme et lui a répondu : « Je vois, et je lui souhaite un prompt rétablissement ! Mais je n’irai pas la voir. »Depuis tant d’année, Julie considérait tout le temps Perrine comme sa mère, mais après avoir su qu’elle avait été droguée par celle-ci pendant une dizaines d’années, elle était trop triste, si bien qu’elle ne pouvait pas accepter un tel fait. Elle ne voulait plus la revoir, car elle serait encore plus triste.En plus de cela, elle était encore submergée par d’autres choses, même si elle tenait pour le moment, elle savait qu’elle s’effondrerait tôt ou tard.
Si quelque chose arrivait à Julie, celle-ci ne penserait qu’à s’échapper. En fait, elle se sentait tellement impuissante qu’elle se détestait de ne pouvoir rien faire. Personne ne lui dirait quoi faire, elle ne pouvait que battre en retraite comme une tortue timide. Du coup, non seulement Inès la sous-estimait, même les gens de Roland se moquaient d’elle. C’était dans cet environnement qu’elle avait grandi, subissant tout en silence, incapable de changer. Julie, qui serrait l’oreiller dans ses bars, a baissé la tête pour éviter le regard lubrique de Roland. Au moment où elle était sur le point de partir avec son oreiller, Roland s’est immédiatement avancé et l’a arrêtée, lui saisissant le bras et l’entraînant dans la salle de bain. Julie s’est battue de toute ses forces, mais n’arrivait pas à empêcher qu’il lui enlève ses vêtements. Elle a été forcée à révéler ses seins. « Ne me touche pas, s’il te plaît ! », s’est écriée Julie en lui grattant le visage et en lui jetant le p
Sans savoir pourquoi, Julie voulait bien connaitre sa réponse.Mais Roland lui a séché les cheveux et n’avait pas l’intention de lui répondre, toute la pièce était silencieuse. Les cheveux de Julie étaient à la fois épais et longs, il n’était donc pas facile de les sécher. À peu près une heure plus tard, la plupart de ses cheveux ont été séchés, Julie s’est allongée sur lit et a fermé les yeux.Il était minuit.Voyant la chambre sale et désordonnée, Roland a décidé d’emmener Julie dans sa chambre, il est sorti de la chambre en la portant horizontalement dans ses bras. Julie n’a rien dit, le laissant faire ce qu’il voulait, parce qu’elle savait très bien qu’elle n’arriverait pas à l’arrêter, quoi qu’elle fasse. Lorsqu’il est descendu par les escaliers avec Julie, il a juste rencontré Céline, qui s’apprêtait à monter à l’étage.« Oh là là, qu’est-ce qui s’est passé ? Pourquoi ont-ils l’air aussi intime ? », s’est demandé Céline, mais elle a tout de même fait de son mieux pour garder so
Cela dit, il a forcé Julie à boire la soupe de poulet. Dans la seconde suivante, Julie avait mal à l’estomac. Elle s’est redressée dans son lit, et a vomi. Ce qu’elle a vomi, c’était l’acide gastrique, parce qu’elle n’avait pas mangé pendant toute la journée.Après cela, sa bouche était remplie d’une saveur amère.Sentant cette odeur dégoûtante, Julie a soulevé la couverture, voulant sortir du lit.Roland a deviné ce qu’elle irait faire, et l’a horizontalement portée dans ses bras jusqu’aux toilettes.Julie s’est accroupie et a continué à vomir, sentant que tout son estomac sortait de son corps.Sans savoir combien de temps s’était écoulé, elle a respiré de plus en plus lourdement et ne pouvait même pas se lever. Roland s’est empressé de la relever, mais peu de temps après, elle a soudainement perdu conscience.« Julie ! », a crié Roland.Mais Julie n’avait aucune réaction. Roland n’osait pas gaspiller le temps et l’a immédiatement envoyée à l’hôpital.À l’hôpital de Paix.Roland a e
« Désormais, je te paierai chaque mois », a répondu Julie.Céline s’est tapée la cuisse et a dit : « D’accord, je vais le faire tout de suite. Si monsieur me blâme, vous devrez m’aider à le lui expliquer, de toute façon, je ne veux pas perdre ce travail, parce que j’ai mes enfants à élever. » « Pas de problème », a répondu Julie.Trois heures plus tard, Céline est retournée à l’hôpital, trempée de sueurs : « Mademoiselle Dubois, c’est fait, le mot de passe a même été changé comme vous l’avez dit. »« Merci ! », a répondu Julie en lui donnant de l’argent.Céline l’a refusé et a dit : « Ce n’est pas la peine, c’est mon travail. »Julie a insisté : « Tiens-le ! Tu le mérites. »Cela dit, Julie a changé les vêtements de l’hôpital et a rempli les formalités pour quitter l’hôpital. Elle a payé les frais d’hôpital avec la carte que lui avait donnée François. Ce dernier lui donnait de l’argent chaque mois. Julie n’en dépensait pas beaucoup dans la vie quotidienne et a donc beaucoup économis
L’enseignant de l’école appelait encore la villa de temps en temps, Julie ne voulait qu’être tranquille et a débranché toutes les lignes téléphoniques, elle a même éteint son téléphone portable, complètement isolée de l’extérieur.Chaque jour, elle lisait, peignait, dormait et arrosait parfois des fleurs dans le jardin. Dans la société Azure.Roland, une main dans la poche, est sorti de la salle de conférence, suivi par Yves.« Comment va Julie récemment ? »Yves lui a répondu : « Depuis que mademoiselle Dubois est sortie de l’hôpital, elle s’est enfermée dans la villa et n’est pas sortie depuis très longtemps. »Roland était plongé dans ses pensées. Un peu plus tard, il lui a répondu avec désinvolture : « Je vois. »À son retour dans son bureau, Roland s’est assis devant la table, a accidentellement déplacé la souris, et a vu ce que Julie faisait par l’écran de la vidéosurveillance. Celle-ci portant un pyjama était assise sur le canapé et était en train de peindre quelque chose. Rol
Tout en parlant, Céline a sorti son téléphone portable pour le montrer à Julie.Julie lui a jeté un coup d’œil et a immédiatement compris, il s’agissait du numéro de Chrétien.Si Chrétien avait décidé de rompre avec elle, il n’aurait pas dû la contacter.Il était vraiment un bon homme, mais il n’était pas fait pour elle.De toute façon, Julie ne le regrettait pas, parce qu’elle avait été très sincère au sujet de leur amour.Trois jours plus tard, à six heures de l’après-midi. Comme il faisait froid, Julie portait beaucoup de vêtements, y compris un manteau noir, un pull-over blanc et un pantalon gris, cela la rendait très ordinaire. À part cela, elle avait mis un peu de rouge à lèvres pour rehausser son look et ne s’était pas trop maquillée. C’était sa première sortie depuis sa sortie de l’hôpital et son retour au Domaine de Mont-Sud, et c’était une belle journée ensoleillée et elle se sentait bien au soleil. Elle a ensuite hélé un taxi et s’est rendue au Studio d'Art NS, mais il
Le grand écran derrière elle affichait exactement ce qu’elle avait dessiné. Le tableau était stupéfiant à première vue, non seulement par ses couleurs, mais aussi parce qu’il s’agissait d’une peinture qui n’aurait pu être réalisée sans au moins trente ou quarante ans de travail acharné. Julie a pris une profonde inspiration, mais ne pouvait pas encore ignorer les deux personnes assises sur les sièges principaux, c’était la première fois qu’elle voyait Nathalie, pensant que l’aura se dégageant d’elle était semblable à celle de Chrétien, et qu’ils étaient vraiment fait l’un pour l’autre. Après avoir vécu autant de choses, Julie est devenue plus mûre et prudente et pouvait enfin garder son calme lors de sa rencontre avec Chrétien. Elle leur a froidement jeté un coup d’œil et s’est empressée de s’excuser : « Je suis désolée pour le retard, il y a eu des embouteillages sur la route. » Au moment où tous les invités présents voyaient Julie, ils étaient tous très surpris de sa beauté